11-Novembre
Pour Jean-François Copé, « 65 millions de Français au pied des monuments aux morts le 11 novembre, ça se saurait ».
Il existe un bien commun supérieur à nos désirs personnels qui s’appelle la France.
Le maréchal Foch remercia saint Martin à l’issue de la Grande Guerre en offrant un ex-voto à la basilique de Tours.
La ficelle est un peu grosse. Dans une nation digne de ce nom, l’héroïsme ne se divise pas.
Le 11 novembre est trop grand pour lui.
À Bry-sur-Marne, dans le Val-de-Marne, on ne s’excuse pas d’être français.
Les Ruellan, sont six frères morts pour la France au champ d’honneur et deux frères morts des suites de leur blessure.
Ces cérémonies nous rappellent un temps où l’on croyait encore en la patrie, où l’on était prêt à donner sa vie pour elle, dans une mort glorieuse…
Mais avouons qu’il y a un vrai paradoxe, et même un certain cynisme, en ce 11 novembre, à rendre hommage à ceux qui se sont battus pour défendre farouchement nos frontières et à brader celles-ci allègrement…
Hasard du calendrier ? Main du destin ou de la providence ? En tout cas, c’est un fait : l’armistice fut signé le 11 novembre, jour de la Saint-Martin.
Le sacrifice des poilus nous honore et nous oblige… à ne pas brader ce pour quoi ils sont morts.
C’est à l’occasion du premier anniversaire de l’armistice qu’a aussi eu lieu, pour la première fois en France, une minute de silence, un peu partout en France.
J’entends l’orateur évoquer avec gravité les bombardements allemands, les tranchées, le courage des poilus. Des « Wallah » étouffent son discours.
Vivre-ensemble… ou pas.
Pourquoi les Français ont-ils supporté tant de souffrances avec rage et courage jusqu’à la victoire ?
Les anciens combattants et des associations patriotiques vont boycotter les cérémonies du 11 novembre prochain.
Pour Jean-François Copé, « 65 millions de Français au pied des monuments aux morts le 11 novembre, ça se saurait ».
Il existe un bien commun supérieur à nos désirs personnels qui s’appelle la France.
Le maréchal Foch remercia saint Martin à l’issue de la Grande Guerre en offrant un ex-voto à la basilique de Tours.
La ficelle est un peu grosse. Dans une nation digne de ce nom, l’héroïsme ne se divise pas.
Le 11 novembre est trop grand pour lui.
À Bry-sur-Marne, dans le Val-de-Marne, on ne s’excuse pas d’être français.
Les Ruellan, sont six frères morts pour la France au champ d’honneur et deux frères morts des suites de leur blessure.
Ces cérémonies nous rappellent un temps où l’on croyait encore en la patrie, où l’on était prêt à donner sa vie pour elle, dans une mort glorieuse…
Mais avouons qu’il y a un vrai paradoxe, et même un certain cynisme, en ce 11 novembre, à rendre hommage à ceux qui se sont battus pour défendre farouchement nos frontières et à brader celles-ci allègrement…
Hasard du calendrier ? Main du destin ou de la providence ? En tout cas, c’est un fait : l’armistice fut signé le 11 novembre, jour de la Saint-Martin.
Le sacrifice des poilus nous honore et nous oblige… à ne pas brader ce pour quoi ils sont morts.
C’est à l’occasion du premier anniversaire de l’armistice qu’a aussi eu lieu, pour la première fois en France, une minute de silence, un peu partout en France.
J’entends l’orateur évoquer avec gravité les bombardements allemands, les tranchées, le courage des poilus. Des « Wallah » étouffent son discours.
Vivre-ensemble… ou pas.
Pourquoi les Français ont-ils supporté tant de souffrances avec rage et courage jusqu’à la victoire ?
Les anciens combattants et des associations patriotiques vont boycotter les cérémonies du 11 novembre prochain.
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