Agnès Buzyn
L’ancien ministre de la Santé publie, aujourd’hui, sa version des faits
Entre nous soit dit, ce sera sans doute une bien belle cérémonie.
Ce qui est intéressant, c’est que le voile de fiction qui avait été jeté sur le Covid, le faux sérieux des attestations, des slogans neuneus, etc., ce voile commence à se soulever.
Cette nouvelle nomination est indécente car Agnès Buzyn, professeur de médecine, n’est pas issue de ce corps et n’a aucune compétence en matière de comptes publics.
En décorant Agnès Buzyn – ainsi que Jean-François Delfraissy, qui préside le Conseil scientifique Covid-19, c’est lui-même qu’Emmanuel Macron décore pour couvrir cette longue période de gestion calamiteuse.
On se souvient que le ministre de la Santé avait démissionné en pleine pandémie.
Le ministre ne peut pas tout faire, tout savoir, tout contrôler. Mais lorsqu’il est en fonctions depuis trois ans, il a reçu et lu des rapports, des notes d’information et des alertes en provenance de ses services. Il a été informé des risques sanitaires.
L’irresponsabilité des puissants qui s’imaginent au-dessus de la loi, ça suffit.
Agnès Buzyn, ancien ministre de la Santé, a été mise en examen « pour mise en danger de la vie d’autrui » pour son rôle
Agnès Buzyn est convoquée pour « mise en danger de la vie d’autrui ».
En retrait de la vie politique depuis son échec électoral, elle avait, un temps, repris son activité de médecin à l’hôpital Percy.
Il est prétendu que les sénateurs seraient restés sur leur faim après cette audition. On peine à le croire.
Si Agnès Buzyn était la seule que Macron envisage de recaser, mais non !
Au moins Buzyn a-t-elle eu le bon goût de ne pas accuser de lampistes, ce qui prouve qu’elle a encore des progrès à faire pour être une vraie politique.
Cette triangulaire aura au moins laissé un cadavre au bord de la route : Agnès Buzyn et ses 13,70 %.
Ça, alors ! Serions-nous en présence d’une candidate biodégradable qui tente de séduire la clientèle écolo ?
Pour son déconfinement, la Macronie a opté pour un véritable festival off. Et, pour une fois, le spectacle n’est pas assuré par la porte-parole Sibeth Ndiaye.
Il y a quelque chose de pathétique dans cette tactique qui révèle le désir de se faire pardonner par un pouvoir qu’elle a « plombé ».
Il est à craindre que le retour en force d’Agnès Buzyn dans la Ville lumière ne présente rien qui ne puisse bousculer les prochains équilibres géopolitiques et mondiaux à venir.
Parisienne, la dame n’en joue pas moins l’Arlésienne. Ira, n’ira pas ? Un coup je te vois, un coup je te vois pas.
55 : c’est le nombre de plaintes contre des ministres déposées à ce jour par des particuliers, associations et collectifs, selon le journal 20 Minutes.
Au bout du bout de la comédie dramatique qui nous est présentée depuis le 17 mars… la vérité nous est servie par une interview du Président…
Tout se passe comme si nos gouvernants cherchaient à culpabiliser les Français pour mieux dissimuler leurs propres erreurs.
La guerre dans laquelle nous sommes entrés est sanitaire mais elle est aussi psychologique. Et, il faut bien le reconnaître, ça démarre très mal.
Cette crise sanitaire va probablement sonner le glas de ce gouvernement…
Le temps mis à choisir le costume aura peut-être coûté la vie à des Français ! L’ex-ministre prévoit des milliers de morts !
On se pince, on relit : Mme Buzyn savait, aurait alerté, prévenu MM. Macron et Philippe dès le mois de janvier et les choses auraient continué comme ça ?
La politique ne se fait peut-être pas à la corbeille, comme disait de Gaulle, mais désormais, nos politiques nous expliquent comment jeter notre mouchoir en papier après usage.
L’ancien ministre de la Santé publie, aujourd’hui, sa version des faits
Entre nous soit dit, ce sera sans doute une bien belle cérémonie.
Ce qui est intéressant, c’est que le voile de fiction qui avait été jeté sur le Covid, le faux sérieux des attestations, des slogans neuneus, etc., ce voile commence à se soulever.
Cette nouvelle nomination est indécente car Agnès Buzyn, professeur de médecine, n’est pas issue de ce corps et n’a aucune compétence en matière de comptes publics.
En décorant Agnès Buzyn – ainsi que Jean-François Delfraissy, qui préside le Conseil scientifique Covid-19, c’est lui-même qu’Emmanuel Macron décore pour couvrir cette longue période de gestion calamiteuse.
On se souvient que le ministre de la Santé avait démissionné en pleine pandémie.
Le ministre ne peut pas tout faire, tout savoir, tout contrôler. Mais lorsqu’il est en fonctions depuis trois ans, il a reçu et lu des rapports, des notes d’information et des alertes en provenance de ses services. Il a été informé des risques sanitaires.
L’irresponsabilité des puissants qui s’imaginent au-dessus de la loi, ça suffit.
Agnès Buzyn, ancien ministre de la Santé, a été mise en examen « pour mise en danger de la vie d’autrui » pour son rôle
Agnès Buzyn est convoquée pour « mise en danger de la vie d’autrui ».
En retrait de la vie politique depuis son échec électoral, elle avait, un temps, repris son activité de médecin à l’hôpital Percy.
Il est prétendu que les sénateurs seraient restés sur leur faim après cette audition. On peine à le croire.
Si Agnès Buzyn était la seule que Macron envisage de recaser, mais non !
Au moins Buzyn a-t-elle eu le bon goût de ne pas accuser de lampistes, ce qui prouve qu’elle a encore des progrès à faire pour être une vraie politique.
Cette triangulaire aura au moins laissé un cadavre au bord de la route : Agnès Buzyn et ses 13,70 %.
Ça, alors ! Serions-nous en présence d’une candidate biodégradable qui tente de séduire la clientèle écolo ?
Pour son déconfinement, la Macronie a opté pour un véritable festival off. Et, pour une fois, le spectacle n’est pas assuré par la porte-parole Sibeth Ndiaye.
Il y a quelque chose de pathétique dans cette tactique qui révèle le désir de se faire pardonner par un pouvoir qu’elle a « plombé ».
Il est à craindre que le retour en force d’Agnès Buzyn dans la Ville lumière ne présente rien qui ne puisse bousculer les prochains équilibres géopolitiques et mondiaux à venir.
Parisienne, la dame n’en joue pas moins l’Arlésienne. Ira, n’ira pas ? Un coup je te vois, un coup je te vois pas.
55 : c’est le nombre de plaintes contre des ministres déposées à ce jour par des particuliers, associations et collectifs, selon le journal 20 Minutes.
Au bout du bout de la comédie dramatique qui nous est présentée depuis le 17 mars… la vérité nous est servie par une interview du Président…
Tout se passe comme si nos gouvernants cherchaient à culpabiliser les Français pour mieux dissimuler leurs propres erreurs.
La guerre dans laquelle nous sommes entrés est sanitaire mais elle est aussi psychologique. Et, il faut bien le reconnaître, ça démarre très mal.
Cette crise sanitaire va probablement sonner le glas de ce gouvernement…
Le temps mis à choisir le costume aura peut-être coûté la vie à des Français ! L’ex-ministre prévoit des milliers de morts !
On se pince, on relit : Mme Buzyn savait, aurait alerté, prévenu MM. Macron et Philippe dès le mois de janvier et les choses auraient continué comme ça ?
La politique ne se fait peut-être pas à la corbeille, comme disait de Gaulle, mais désormais, nos politiques nous expliquent comment jeter notre mouchoir en papier après usage.
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