Agnès Buzyn

Un jeune militant LREM parisien, faisant campagne pour Agnès Buzyn dans le 17e arrondissement à Paris, témoigne des raisons de son engagement au sein du

« Épatant », aurait dit feu Jean d’Ormesson.

Plus Bourdine que Bourdin, qu’elle remplaçait, Apolline déchaînait son courroux mythologique de déesse médiatique ulcérée…

À côté, la gestion du coronavirus, ça devait être des vacances.

Nous, les bouseux de province, on a l’habitude de juger un maire à l’aune de ses résultats. Alors, observons quelques chiffres.

L’arrivisme politique voit les militants LREM passer de l’un à l’autre sans aucun état d’âme. Vive lui ! Vive elle ! Que faut-il crier ? Quel nom, cette fois-ci ?

Agnès Buzyn mange son chapeau tout en peinant à digérer l’ingestion de son masque antimicrobien…

L’explosion en vol de la candidature de Benjamin Griveaux à la mairie de Paris a conduit la Macronie à jouer aux chaises musicales.

Une déstabilisation peut passer par la disqualification de l’adversaire au dernier moment, mais aussi par le retrait de son propre candidat au moment opportun…

Décidément cette campagne des municipales est passionnante.

C’est pas « un peu beaucoup » vieux monde, tout ça ?

Agnès Buzyn laissait entendre qu’on avait le devoir de dénoncer – c’est peu dire – l’Holocauste et les honteuses élucubrations le mettant en doute, ce qui était normal, mais que certains n’en avaient pas le droit…

Comment expliquer à mon chien Hunter, qui se remet bien de saignements grâce à la prise quotidienne et bien dosée de Pulsatilla 15ch, qu’il se trompait en accordant une foi aveugle en ces petites billes blanches qui parsèment sa ration quotidienne ?

Ce François Bayrou , parti de rien pour n’arriver nulle part, mais ne devant son absence de destin qu’à lui-même, est décidément un enchantement de tous les instants.

Voulons-nous d’une société fondée sur le diktat du désir ? Ou, au contraire, acceptons-nous les limites inhérentes à notre condition humaine ?

Aujourd’hui, on nous refait le coup de la chance pour la France. Mais pour un tout autre sujet : la PMA.

Il s’agirait d’une « rupture anthropologique majeure ».

Ce micmac procréatif engendre un pognon de dingue.

Ça y est, ils ont tranché. Ce sera « Mère » et « Mère ».

Aujourd’hui règne une sorte d’hygiénisme, teinté d’écologisme primaire fondé sur l’interdit : interdit de picoler, interdit de fumer, interdit de…

Mais alors, elle venait faire quoi, Mme Buzyn, chez Bourdin ? Faire la météo des plages pour fin août ? Chauffer la salle pour les futurs invités ?

La situation n’est pas près de s’améliorer, même si le gouvernement décide de débloquer des moyens financiers importants.

Elle a récemment déclaré, questionnée sur le remboursement de la PMA pour les couples de femmes et les femmes célibataires (2.000 chaque année), que « cela allait de soi ».

La présentation cavalière de cette loi était sidérante. Était-ce un ballon d’essai ?

On se demande, devant ce micmac législatif, si on n’assiste pas à un mauvais rêve.

Agnès Buzyn a décidé de réduire de 12 à 4 mois le délai permettant de donner son sang après la dernière relation sexuelle entre hommes.

Le problème des déserts médicaux n’est pas près d’être résolu par cette simple réforme.

…un père ne se réduit pas à un dossier…

Un jeune militant LREM parisien, faisant campagne pour Agnès Buzyn dans le 17e arrondissement à Paris, témoigne des raisons de son engagement au sein du

« Épatant », aurait dit feu Jean d’Ormesson.

Plus Bourdine que Bourdin, qu’elle remplaçait, Apolline déchaînait son courroux mythologique de déesse médiatique ulcérée…

À côté, la gestion du coronavirus, ça devait être des vacances.

Nous, les bouseux de province, on a l’habitude de juger un maire à l’aune de ses résultats. Alors, observons quelques chiffres.

L’arrivisme politique voit les militants LREM passer de l’un à l’autre sans aucun état d’âme. Vive lui ! Vive elle ! Que faut-il crier ? Quel nom, cette fois-ci ?

Agnès Buzyn mange son chapeau tout en peinant à digérer l’ingestion de son masque antimicrobien…

L’explosion en vol de la candidature de Benjamin Griveaux à la mairie de Paris a conduit la Macronie à jouer aux chaises musicales.

Une déstabilisation peut passer par la disqualification de l’adversaire au dernier moment, mais aussi par le retrait de son propre candidat au moment opportun…

Décidément cette campagne des municipales est passionnante.

C’est pas « un peu beaucoup » vieux monde, tout ça ?

Agnès Buzyn laissait entendre qu’on avait le devoir de dénoncer – c’est peu dire – l’Holocauste et les honteuses élucubrations le mettant en doute, ce qui était normal, mais que certains n’en avaient pas le droit…

Comment expliquer à mon chien Hunter, qui se remet bien de saignements grâce à la prise quotidienne et bien dosée de Pulsatilla 15ch, qu’il se trompait en accordant une foi aveugle en ces petites billes blanches qui parsèment sa ration quotidienne ?

Ce François Bayrou , parti de rien pour n’arriver nulle part, mais ne devant son absence de destin qu’à lui-même, est décidément un enchantement de tous les instants.

Voulons-nous d’une société fondée sur le diktat du désir ? Ou, au contraire, acceptons-nous les limites inhérentes à notre condition humaine ?

Aujourd’hui, on nous refait le coup de la chance pour la France. Mais pour un tout autre sujet : la PMA.

Il s’agirait d’une « rupture anthropologique majeure ».

Ce micmac procréatif engendre un pognon de dingue.

Ça y est, ils ont tranché. Ce sera « Mère » et « Mère ».

Aujourd’hui règne une sorte d’hygiénisme, teinté d’écologisme primaire fondé sur l’interdit : interdit de picoler, interdit de fumer, interdit de…

Mais alors, elle venait faire quoi, Mme Buzyn, chez Bourdin ? Faire la météo des plages pour fin août ? Chauffer la salle pour les futurs invités ?

La situation n’est pas près de s’améliorer, même si le gouvernement décide de débloquer des moyens financiers importants.

Elle a récemment déclaré, questionnée sur le remboursement de la PMA pour les couples de femmes et les femmes célibataires (2.000 chaque année), que « cela allait de soi ».

La présentation cavalière de cette loi était sidérante. Était-ce un ballon d’essai ?

On se demande, devant ce micmac législatif, si on n’assiste pas à un mauvais rêve.

Agnès Buzyn a décidé de réduire de 12 à 4 mois le délai permettant de donner son sang après la dernière relation sexuelle entre hommes.

Le problème des déserts médicaux n’est pas près d’être résolu par cette simple réforme.

…un père ne se réduit pas à un dossier…
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