Agriculteurs en colère
Les paysans seuls face à un accord qui plantera « le dernier clou dans le cercueil de l’agriculture française ».
« Le hasard, c’est Dieu qui se promène incognito », disait Einstein.
Les contrôles abusifs continuent de pousser les agriculteurs à bout. Les campagnes grondent à nouveau.
Las d’attendre en vain du concret, les Jeunes Agriculteurs relancent leur mouvement.
Dans un bel ensemble, le tandem infernal Macron-Canfin prend la parole pour régler la question agricole.
C’est bien de montrer son soutien à l’Ukraine, mais si c’est pour concurrencer nos éleveurs il y a peut-être mieux…
Des échauffourées ont déjà éclaté plusieurs fois entre forces de l’ordre et manifestants.
L’enjeu, désormais, c’est que le mouvement prenne de l’ampleur et, surtout, qu’il persiste.
Cette semaine, l’opposition entre la paysannerie et les technocrates du gouvernement a fait couler beaucoup d’encre.
Entre le pseudo-étudiant Black Bloc et le paysan qui veut survivre, il y a une différence.
Tout militant anti-bassine qui se respecte les eût caillassés, grillés, hachés menu.
La cérémonie a eu lieu dans une stricte intimité familiale.
Cette Europe commune que l’Union européenne a échoué à construire se bâtit non pas grâce à elle mais contre elle.
Au micro de BV, de nombreux agriculteurs disent leur colère face à la technocratie bruxelloise.
87 % des sondés estiment que la situation du monde paysan est « mauvaise ».
Dans l’effondrement général du pays, toutes les impérities se télescopent et entrent en collision.
Les paysans seuls face à un accord qui plantera « le dernier clou dans le cercueil de l’agriculture française ».
« Le hasard, c’est Dieu qui se promène incognito », disait Einstein.
Les contrôles abusifs continuent de pousser les agriculteurs à bout. Les campagnes grondent à nouveau.
Las d’attendre en vain du concret, les Jeunes Agriculteurs relancent leur mouvement.
Dans un bel ensemble, le tandem infernal Macron-Canfin prend la parole pour régler la question agricole.
C’est bien de montrer son soutien à l’Ukraine, mais si c’est pour concurrencer nos éleveurs il y a peut-être mieux…
Des échauffourées ont déjà éclaté plusieurs fois entre forces de l’ordre et manifestants.
L’enjeu, désormais, c’est que le mouvement prenne de l’ampleur et, surtout, qu’il persiste.
Cette semaine, l’opposition entre la paysannerie et les technocrates du gouvernement a fait couler beaucoup d’encre.
Entre le pseudo-étudiant Black Bloc et le paysan qui veut survivre, il y a une différence.
Tout militant anti-bassine qui se respecte les eût caillassés, grillés, hachés menu.
La cérémonie a eu lieu dans une stricte intimité familiale.
Cette Europe commune que l’Union européenne a échoué à construire se bâtit non pas grâce à elle mais contre elle.
Au micro de BV, de nombreux agriculteurs disent leur colère face à la technocratie bruxelloise.
87 % des sondés estiment que la situation du monde paysan est « mauvaise ».
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