Agriculture
Derrière cet accord se cache une réalité cynique.
« Si le mouvement repart, il repartira sans les syndicats et là, ce sera incontrôlable », lance un agriculteur de l’Allier
« Ah, Madame le Ministre, quel défi à relever que celui de la souveraineté alimentaire ! Je crains pour vous… »
Depuis six mois, une serre de 5.000 m2 préfigure le monde agricole de demain.
La colère des agriculteurs gronde à nouveau, faute d’avoir été réellement entendus
Ne faudrait-il pas quitter l’agriculture des traités de libre-échange et créer une véritable « exception agriculturelle »
Ces derniers jours, on a un peu tout vu, en termes d’agriculture.
Baroud d’honneur ? Combat d’arrière-garde ? Ou nouvelle jacquerie venue du fond des âges et des profondeurs du pays ?
À quelques jours du Salon de l’agriculture, il y avait urgence.
Derrière des cas particuliers, il faut bien admettre que puissent exister des forces autrement plus organisées,
Après plusieurs récoltes difficiles, la filière pomme est aujourd’hui au bord du gouffre. Les trésoreries sont à sec, les exploitants ne peuvent plus faire face à l’augmentation des coûts de production : engrais, carburants, électricité, certains coûts ont été multipliés par quatre.
Fantastique ! L’Assemblée a donc débattu et voté une loi. Le Sénat a fait de même. Le gouvernement et le ministre ont communiqué sur cette grande avancée pour les agriculteurs, mais la France est soumise à la tutelle bruxelloise. On oublie, on rentre à la niche.
Ce qui se passe aux Pays-Bas est symptomatique.
La gauche hors Fabien Roussel, en ne faisant même pas le voyage à Besançon, peine à masquer le désintérêt profond qu’elle éprouve pour nos agriculteurs.
Écoutez bien les explications de cet agriculteur de Seine-et-Marne… https://www.youtube.com/watch?v=15vTHQXNwms&feature=youtu.be
« Agri-bashing », agressions, mépris, culpabilisation… pour les agriculteurs, la coupe est pleine. Ils s’étaient donné rendez-vous à Paris, aujourd’hui, pour dénoncer le manque de
Les marchands de peur n’en finissent plus d’accuser le monde agricole.
Le président des Jeunes agriculteurs des Pyrénées-Orientales explique son opposition au CETA et réfute tout amalgame entre l’action des Jeunes agriculteurs et les vandalisations de
Le passé a encore de l’avenir, la preuve par cette nouvelle paysannerie renouant avec la tradition du travail bien fait, du bon produit et de l’assiette bien garnie.
Ça vous intéresse, vous, le calibrage des abricots ? Pour moi, ce qui compte est qu’ils soient mûrs, juteux, goûteux.
Nos députés peuvent, d’ailleurs, bien voter ce qu’ils veulent, le droit européen primera toujours sur le droit français.
Notre pauvre porc français se retrouve noyé sous la boue d’un mondialisme infra-culturel « fast, quick and fit » qui sacrifie nos traditions gastronomiques et, avec elles, notre paysannerie et notre artisanat.
Alors toute cette histoire pour un coup de rosé espagnol… D’autant qu’avec la France de Macron, l’Espagne est le dernier pays à feindre de croire en une Union européenne vierge de chauvins nauséabonds…
Mais le bio n’est nullement une agriculture sans pesticides, c’est seulement une agriculture avec les « autorisés ».
Derrière cet accord se cache une réalité cynique.
« Si le mouvement repart, il repartira sans les syndicats et là, ce sera incontrôlable », lance un agriculteur de l’Allier
« Ah, Madame le Ministre, quel défi à relever que celui de la souveraineté alimentaire ! Je crains pour vous… »
Depuis six mois, une serre de 5.000 m2 préfigure le monde agricole de demain.
La colère des agriculteurs gronde à nouveau, faute d’avoir été réellement entendus
Ne faudrait-il pas quitter l’agriculture des traités de libre-échange et créer une véritable « exception agriculturelle »
Ces derniers jours, on a un peu tout vu, en termes d’agriculture.
Baroud d’honneur ? Combat d’arrière-garde ? Ou nouvelle jacquerie venue du fond des âges et des profondeurs du pays ?
À quelques jours du Salon de l’agriculture, il y avait urgence.
Derrière des cas particuliers, il faut bien admettre que puissent exister des forces autrement plus organisées,
Après plusieurs récoltes difficiles, la filière pomme est aujourd’hui au bord du gouffre. Les trésoreries sont à sec, les exploitants ne peuvent plus faire face à l’augmentation des coûts de production : engrais, carburants, électricité, certains coûts ont été multipliés par quatre.
Fantastique ! L’Assemblée a donc débattu et voté une loi. Le Sénat a fait de même. Le gouvernement et le ministre ont communiqué sur cette grande avancée pour les agriculteurs, mais la France est soumise à la tutelle bruxelloise. On oublie, on rentre à la niche.
Ce qui se passe aux Pays-Bas est symptomatique.
La gauche hors Fabien Roussel, en ne faisant même pas le voyage à Besançon, peine à masquer le désintérêt profond qu’elle éprouve pour nos agriculteurs.
Écoutez bien les explications de cet agriculteur de Seine-et-Marne… https://www.youtube.com/watch?v=15vTHQXNwms&feature=youtu.be
« Agri-bashing », agressions, mépris, culpabilisation… pour les agriculteurs, la coupe est pleine. Ils s’étaient donné rendez-vous à Paris, aujourd’hui, pour dénoncer le manque de
Les marchands de peur n’en finissent plus d’accuser le monde agricole.
Le président des Jeunes agriculteurs des Pyrénées-Orientales explique son opposition au CETA et réfute tout amalgame entre l’action des Jeunes agriculteurs et les vandalisations de
Le passé a encore de l’avenir, la preuve par cette nouvelle paysannerie renouant avec la tradition du travail bien fait, du bon produit et de l’assiette bien garnie.
Ça vous intéresse, vous, le calibrage des abricots ? Pour moi, ce qui compte est qu’ils soient mûrs, juteux, goûteux.
Nos députés peuvent, d’ailleurs, bien voter ce qu’ils veulent, le droit européen primera toujours sur le droit français.
Notre pauvre porc français se retrouve noyé sous la boue d’un mondialisme infra-culturel « fast, quick and fit » qui sacrifie nos traditions gastronomiques et, avec elles, notre paysannerie et notre artisanat.
Alors toute cette histoire pour un coup de rosé espagnol… D’autant qu’avec la France de Macron, l’Espagne est le dernier pays à feindre de croire en une Union européenne vierge de chauvins nauséabonds…
Mais le bio n’est nullement une agriculture sans pesticides, c’est seulement une agriculture avec les « autorisés ».
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