Aides sociales
Nicolas Daragon promeut également une politique d’expulsion des familles de leurs logements sociaux si l’un des membres est fauteur de troubles.
Il y a une chose que le pouvoir Macroniste craint encore plus que la crise sanitaire, c’est la « guérilla ».
Et on retrouve l’éternelle polémique : les plus pauvres qui ne travaillent pas recevraient des coups de pouce invisibles (cantine et transports gratuits) que n’ont pas les travailleurs pauvres, d’où un sentiment grandissant d’injustice en partie à l’origine de la révolte des gilets jaunes.
Ce vendredi matin, Génération identitaire occupe la CAF de Bobigny, en Seine-Saint-Denis (93), pour dénoncer, selon son porte-parole Romain Espino, « le pillage des aides sociales ».
En 2016, le Conseil départemental du Haut Rhin avait pris une délibération pour imposer à tous les bénéficiaires du RSA de faire sept heures de bénévolat par semaine dans une association.
En rendant public des propos qui devraient plaire à un certain électorat de droite, plus sensible aux arguments sonnants et trébuchants qu’aux questions dites sociétales, le Président n’en finit pas de passer pour celui qui fait ce que la soi-disant droite n’a jamais osé faire.
Le premier vrai scandale est l’hérédité du statut de pauvre.
Nicolas Daragon promeut également une politique d’expulsion des familles de leurs logements sociaux si l’un des membres est fauteur de troubles.
Il y a une chose que le pouvoir Macroniste craint encore plus que la crise sanitaire, c’est la « guérilla ».
Et on retrouve l’éternelle polémique : les plus pauvres qui ne travaillent pas recevraient des coups de pouce invisibles (cantine et transports gratuits) que n’ont pas les travailleurs pauvres, d’où un sentiment grandissant d’injustice en partie à l’origine de la révolte des gilets jaunes.
Ce vendredi matin, Génération identitaire occupe la CAF de Bobigny, en Seine-Saint-Denis (93), pour dénoncer, selon son porte-parole Romain Espino, « le pillage des aides sociales ».
En 2016, le Conseil départemental du Haut Rhin avait pris une délibération pour imposer à tous les bénéficiaires du RSA de faire sept heures de bénévolat par semaine dans une association.
En rendant public des propos qui devraient plaire à un certain électorat de droite, plus sensible aux arguments sonnants et trébuchants qu’aux questions dites sociétales, le Président n’en finit pas de passer pour celui qui fait ce que la soi-disant droite n’a jamais osé faire.
Le premier vrai scandale est l’hérédité du statut de pauvre.
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