Alain Duhamel

« Il faut être gentil avec les gentils et méchant avec les méchants », lui rappelle son jardin d’enfants quand il faisait de la balançoire avec le petit Zemmour.

Pourraient-ils alors avoir la décence d’aller cultiver leur jardin ?

Se taper un couscous dans un clandé du XIXe arrondissement, oui ; des ortolans sous les ors et les lambris du Grand Siècle, non.
Selon Mediapart, il s’agit du même appartement que celui dans lequel se seraient déroulés les dîners clandestins sous la houlette de Pierre-Jean Chalençon.

« C’est non seulement de l’adhésion, mais c’est même de la ferveur »

Si l’on veut avoir une idée de ce que peut être le mépris d’une caste, il suffit d’écouter Alain Duhamel.

Qui oserait parler, aujourd’hui, de « mondialisation heureuse » ou d’immigration « chance pour la France » ?
Les gens veulent vivre tranquilles chez eux et garder leurs coutumes. On peut appeler ça une « crise ». On peut aussi appeler çà de légitimes revendications.

« Il faut être gentil avec les gentils et méchant avec les méchants », lui rappelle son jardin d’enfants quand il faisait de la balançoire avec le petit Zemmour.

Pourraient-ils alors avoir la décence d’aller cultiver leur jardin ?

Se taper un couscous dans un clandé du XIXe arrondissement, oui ; des ortolans sous les ors et les lambris du Grand Siècle, non.
Selon Mediapart, il s’agit du même appartement que celui dans lequel se seraient déroulés les dîners clandestins sous la houlette de Pierre-Jean Chalençon.

« C’est non seulement de l’adhésion, mais c’est même de la ferveur »

Si l’on veut avoir une idée de ce que peut être le mépris d’une caste, il suffit d’écouter Alain Duhamel.

Qui oserait parler, aujourd’hui, de « mondialisation heureuse » ou d’immigration « chance pour la France » ?
Les gens veulent vivre tranquilles chez eux et garder leurs coutumes. On peut appeler ça une « crise ». On peut aussi appeler çà de légitimes revendications.
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