Alban Gervaise
Catholique, militaire, époux et père de famille, Alban Gervaise n’était sans doute pas la bonne victime.
Pour certains commentateurs juridiques, c’est l’avènement d’une différence entre les « bons fous » et les « mauvais fous ».
Tandis que le pouvoir s’ingénie à masquer la réalité des faits, la vie quotidienne des Français plonge peu à peu dans l’horreur.
Ce silence a de quoi surprendre. Il tient à au moins trois (mauvaises) raisons.
Le médecin militaire de 40 ans qui avait été égorgé, le 26 mai, devant deux de ses trois enfants (âgés de 3 et 7 ans)
Une de ses jeunes collègues émet une hypothèse : peut-être ce drame ne fait-il pas les gros titres tout simplement parce qu’à Marseille, les coups de couteau sont légion ?
Catholique, militaire, époux et père de famille, Alban Gervaise n’était sans doute pas la bonne victime.
Pour certains commentateurs juridiques, c’est l’avènement d’une différence entre les « bons fous » et les « mauvais fous ».
Tandis que le pouvoir s’ingénie à masquer la réalité des faits, la vie quotidienne des Français plonge peu à peu dans l’horreur.
Ce silence a de quoi surprendre. Il tient à au moins trois (mauvaises) raisons.
Le médecin militaire de 40 ans qui avait été égorgé, le 26 mai, devant deux de ses trois enfants (âgés de 3 et 7 ans)
Une de ses jeunes collègues émet une hypothèse : peut-être ce drame ne fait-il pas les gros titres tout simplement parce qu’à Marseille, les coups de couteau sont légion ?
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
LES PLUS LUS DU JOUR
Un vert manteau de mosquées