amazon
Plutôt que de trancher et de clarifier la situation, il semblerait qu’Amazon ait choisi la voie du laisser-faire.
Dans un long message, la rebelle de l’entre-soi distrayant donne les raisons qui l’amènent à refuser le pactole
La plate-forme a ainsi fait des merveilles pour soigner l’image de marque du ministre, qui a sorti un livre le 8 septembre dernier, poétiquement nommé Par-delà les vagues.
On ne peut que s’étonner et admirer cette conversion au localisme et au patriotisme économique.
Adapté aux moyens de l’époque, Amazon eut un célèbre prédécesseur français, que je feuilletais avec gourmandise et rêveries dans mon enfance : le catalogue de Manufrance !
Si l’on s’acharne sur Amazon au point de lui faire quitter la France, cela ne lésera que les commerçants français qui perdront leurs clients et les employés français de la firme qui perdront leur travail.
Un syndicat n’a pas trouvé mieux que d’emmerder les gens en leur coupant l’approvisionnement. Et un tribunal lui a emboîté le pas en sifflotant !
Interrogeons-nous avant de cliquer sur notre panier, sachant que pour se faire livrer tranquillement dans notre canapé, confits et bien au chaud, nous imposerons à d’autres, livreurs, routiers, de sortir travailler.
Plutôt que de trancher et de clarifier la situation, il semblerait qu’Amazon ait choisi la voie du laisser-faire.
Dans un long message, la rebelle de l’entre-soi distrayant donne les raisons qui l’amènent à refuser le pactole
La plate-forme a ainsi fait des merveilles pour soigner l’image de marque du ministre, qui a sorti un livre le 8 septembre dernier, poétiquement nommé Par-delà les vagues.
On ne peut que s’étonner et admirer cette conversion au localisme et au patriotisme économique.
Adapté aux moyens de l’époque, Amazon eut un célèbre prédécesseur français, que je feuilletais avec gourmandise et rêveries dans mon enfance : le catalogue de Manufrance !
Si l’on s’acharne sur Amazon au point de lui faire quitter la France, cela ne lésera que les commerçants français qui perdront leurs clients et les employés français de la firme qui perdront leur travail.
Un syndicat n’a pas trouvé mieux que d’emmerder les gens en leur coupant l’approvisionnement. Et un tribunal lui a emboîté le pas en sifflotant !
Interrogeons-nous avant de cliquer sur notre panier, sachant que pour se faire livrer tranquillement dans notre canapé, confits et bien au chaud, nous imposerons à d’autres, livreurs, routiers, de sortir travailler.
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