Amérique
La société américaine est d’une grande violence, laquelle est peut-être son pire ennemi.
Cette nouvelle expansion du Puy du Fou n’est pas isolée. Le parc n’a de cesse d’élargir son champ d’activité.
Une vague de protestation populaire se répand depuis plusieurs semaines sous des formes diverses dans plusieurs pays d’Amérique latine.
Lorsque Donald Trump a annoncé la mort du chef djihadiste, il a rendu hommage à Kayla Mueller.
En avril 2017, Donald Trump avait qualifié le massacre des Arméniens d’« une des pires atrocités de masse du XXe siècle », mais il s’était gardé d’utiliser le terme de « génocide ».
Un petit garçon de 7 ans, James Younger, explique qu’il est une fille, que sa mère lui a dit qu’il est une fille, qu’elle l’habille en fille, le coiffe en fille, lui met du vernis à ongles.
L’opération al Baghdadi ne convaincra nullement ses adversaires que Trump soit doté de quelque compétence.
Trump est parti pour gagner l’élection de 2020.
Barricades, bus calcinés, magasins pillés et vandalisés, des milliers de manifestants dans les rues de Santiago et la plupart des grandes villes, l’armée déployée avec des chars…
Une connaissance approximative du monde, de ses rapports de force, une maîtrise très imparfaite des dossiers, une superficialité remarquée lors des sommets…
Selon l’ONG vénézuélienne Foro Penal, il y avait encore, fin septembre, 478 « prisonniers politiques » au Venezuela…
Trump représente un danger « existentiel » pour ces décisionnaires occultes et provoque, depuis trois ans, une allergie viscérale au sein de l’État profond.
Qui tombera le premier ?
Le merveilleux avantage de l’utopie socialiste : elle n’est astreinte à aucune obligation de résultat.
Qu’on ne s’y trompe pas : cette nouvelle pression sur les autorités vénézuéliennes n’aura que peu de résultats effectifs…
C’est la mise en accusation par l’homme théoriquement le plus puissant du monde de la trilogie infernale de la pensée unique, du politiquement correct et du terrorisme intellectuel.
Pour favoriser sa campagne 2020, Trump aurait tordu le bras du nouveau président ukrainien…
Donald Trump a bel et bien une méthode et une stratégie vis-à-vis de l’Iran ; mais il ne veut pas de morts et pense que les sanctions économiques finiront par aboutir à des meilleurs résultats.
Tabernacle ! Grimé en Aladin de carnaval et tout gribouillé au brou de noix, il se serait donc livré au pire des crimes qui soit : « l’appropriation culturelle »…
Trump crie, menace, mais préfère finalement négocier que frapper. Heureuse évolution dont on espère qu’elle soit appelée à durer.
Et donc, ce manteau, il a fait quoi, pour créer la polémique ? Son prix ? L’équivalent de dix ans de salaire d’une famille de migrants ayant franchi le Rio Grande ?
L’autre avantage, avec l’ancien magnat de l’immobilier, demeure son inculture encyclopédique des affaires du vaste monde : imperméable aux idéologies du moment, il préfère creuser le sillon du pragmatisme.
Au moins, le rhum brésilien aura été servi à bonne température. Ce qui permet de toujours passer agréablement le temps et d’éviter d’en perdre à faire de la politique.
Décidément, Trump marche dans les pas de notre Président sur certains sujets stratégiques.
La nouvelle crise qui s’ouvre souligne bien la difficile mise en œuvre et la fragilité de l’accord de paix signé en 2016 entre l’ancien président Juan Manuel Santos (2010-2018) et les FARC.
Quand Monsieur Bolsonaro évoque la désinformation, dans sa défense, il a donc bien raison car les faits parlent pour lui.
Emmanuel Macron souhaite-t-il instaurer un droit d’ingérence environnemental, à l’imitation du droit d’ingérence humanitaire inventé par Kouchner en son temps ?
Dans leur frénésie anti-Trump, des intellectuels et des médias s’en prennent non seulement au président américain mais aussi à la faiblesse, réelle ou supposée, des USA et de leur armée.
La société américaine est d’une grande violence, laquelle est peut-être son pire ennemi.
Cette nouvelle expansion du Puy du Fou n’est pas isolée. Le parc n’a de cesse d’élargir son champ d’activité.
Une vague de protestation populaire se répand depuis plusieurs semaines sous des formes diverses dans plusieurs pays d’Amérique latine.
Lorsque Donald Trump a annoncé la mort du chef djihadiste, il a rendu hommage à Kayla Mueller.
En avril 2017, Donald Trump avait qualifié le massacre des Arméniens d’« une des pires atrocités de masse du XXe siècle », mais il s’était gardé d’utiliser le terme de « génocide ».
Un petit garçon de 7 ans, James Younger, explique qu’il est une fille, que sa mère lui a dit qu’il est une fille, qu’elle l’habille en fille, le coiffe en fille, lui met du vernis à ongles.
L’opération al Baghdadi ne convaincra nullement ses adversaires que Trump soit doté de quelque compétence.
Trump est parti pour gagner l’élection de 2020.
Barricades, bus calcinés, magasins pillés et vandalisés, des milliers de manifestants dans les rues de Santiago et la plupart des grandes villes, l’armée déployée avec des chars…
Une connaissance approximative du monde, de ses rapports de force, une maîtrise très imparfaite des dossiers, une superficialité remarquée lors des sommets…
Selon l’ONG vénézuélienne Foro Penal, il y avait encore, fin septembre, 478 « prisonniers politiques » au Venezuela…
Trump représente un danger « existentiel » pour ces décisionnaires occultes et provoque, depuis trois ans, une allergie viscérale au sein de l’État profond.
Qui tombera le premier ?
Le merveilleux avantage de l’utopie socialiste : elle n’est astreinte à aucune obligation de résultat.
Qu’on ne s’y trompe pas : cette nouvelle pression sur les autorités vénézuéliennes n’aura que peu de résultats effectifs…
C’est la mise en accusation par l’homme théoriquement le plus puissant du monde de la trilogie infernale de la pensée unique, du politiquement correct et du terrorisme intellectuel.
Pour favoriser sa campagne 2020, Trump aurait tordu le bras du nouveau président ukrainien…
Donald Trump a bel et bien une méthode et une stratégie vis-à-vis de l’Iran ; mais il ne veut pas de morts et pense que les sanctions économiques finiront par aboutir à des meilleurs résultats.
Tabernacle ! Grimé en Aladin de carnaval et tout gribouillé au brou de noix, il se serait donc livré au pire des crimes qui soit : « l’appropriation culturelle »…
Trump crie, menace, mais préfère finalement négocier que frapper. Heureuse évolution dont on espère qu’elle soit appelée à durer.
Et donc, ce manteau, il a fait quoi, pour créer la polémique ? Son prix ? L’équivalent de dix ans de salaire d’une famille de migrants ayant franchi le Rio Grande ?
L’autre avantage, avec l’ancien magnat de l’immobilier, demeure son inculture encyclopédique des affaires du vaste monde : imperméable aux idéologies du moment, il préfère creuser le sillon du pragmatisme.
Au moins, le rhum brésilien aura été servi à bonne température. Ce qui permet de toujours passer agréablement le temps et d’éviter d’en perdre à faire de la politique.
Décidément, Trump marche dans les pas de notre Président sur certains sujets stratégiques.
La nouvelle crise qui s’ouvre souligne bien la difficile mise en œuvre et la fragilité de l’accord de paix signé en 2016 entre l’ancien président Juan Manuel Santos (2010-2018) et les FARC.
Quand Monsieur Bolsonaro évoque la désinformation, dans sa défense, il a donc bien raison car les faits parlent pour lui.
Emmanuel Macron souhaite-t-il instaurer un droit d’ingérence environnemental, à l’imitation du droit d’ingérence humanitaire inventé par Kouchner en son temps ?
Dans leur frénésie anti-Trump, des intellectuels et des médias s’en prennent non seulement au président américain mais aussi à la faiblesse, réelle ou supposée, des USA et de leur armée.
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