Amérique
Depuis soixante ans, il existe une exception cubaine. Un peu comme le village d’Astérix, celui de La Havane résiste au puissant voisin états-unien.
Son livre qui se lance dans des commérages incroyables pour un homme de sa « hauteur » remplit en fait deux fonctions : vendre le bouquin, et glisser dans la masse la thèse de l’entrave à la justice.
Pour la première fois depuis 1959, le nouveau président n’est ni un membre de la dynastie Castro ni une figure historique de la révolution cubaine.
Ainsi, tout comme Obama l’avait fait pendant huit ans, Mattis et Trump viennent de céder aux néoconservateurs tout en faisant semblant de faire la guerre.
Pourrait-il, alors, s’agir d’une communication plus subtile, subliminale en quelque sorte, en direction de Washington et du président Trump ?
Cette nomination est tout à fait surprenante car le candidat Trump, n’avait pas eu de mots assez durs contre la destruction de l’Irak.
La géopolitique est moins simple qu’une fusion-acquisition.
Qui entraîne qui dans son piège ?
Trump ne fait que se débattre, feignant d’organiser ce qu’il ne contrôle plus, pas même l’immigration. Un roi nu ?
C’est la dernière polémique qui agite la communauté noire aux États-Unis.
Un homme de 42 ans, Roger Foley, atteint d’une maladie rare et incurable, se voit proposer le choix entre l’euthanasie ou la prise en charge du coût de son hospitalisation, soit 1.800 dollars canadiens par jour.
Le nouveau Trump, privé du compas de Steve Bannon, entre dans une logique militariste, et s’entoure de faucons pour l’exécuter. La base trumpienne est furieuse…
L’ancien patron de la CIA, James Woolsey, est récemment parti d’un éclat de rire à la télévision lorsque la journaliste Laura Ingraham lui a demandé si les États-Unis « s’ingéraient dans les élections des autres pays ».
Dans l’histoire du Venezuela et des pays d’Amérique du Sud, l’armée s’est parfois comportée en agent du changement lorsque les choses allaient mal et que les dirigeants n’étaient plus en mesure de servir leur peuple.
L’avantage, avec les éléphants lâchés dans les magasins de porcelaine, c’est que l’on ne sait jamais à l’avance ce qu’ils vont renverser.
Il ne s’agit plus seulement d’accepter le différent, le marginal (voire l’obscène), mais de le glorifier. Nous sommes entrés dans une société de l’anormal (qui n’a pas de norme).
L’Amérique comptait dix des quinze plus grandes aciéries au monde. Aujourd’hui elle n’en compte que deux… et la Chine dix !
Le président Trump s’est constamment élevé contre la doxa du parti républicain, adepte du libre-échangisme.
Tuer Trump à la casserole est un exercice difficile. Il lance tellement de leurres que ses adversaires, déconcentrés, ne savent pas quel manche saisir.
Donald Trump avait dit : « Je veux une parade comme en France ». Un ordre clair et précis, comme on aime les recevoir dans toutes les armées du monde.
Trump a eu une bonne semaine.
Le monde entier rit de lui.
Le spectre du défaut de paiement se profile dangereusement avec, en perspective, le remboursement de 9,5 milliards de dettes (dont 1,5 milliard d’intérêts) en 2018.
Dans le contexte d’attentats terroristes que connaît les États-Unis, il ne faut pas s’attendre à ce que les choses changent rapidement…
Marion, le retour. Tous aux abris, sauve qui peut. Elle n’est pas franchement gaulée comme Schwarzy ou Stallone, mais c’est du pareil au même.
Une lycéenne a pris à partie Trump, ce samedi, suite à la tuerie de Floride.
Entre la thèse du coup d’État anti-Trump et celle de sa collusion russe, laquelle va prévaloir?
Browder fut le plus grand investisseur de portefeuille en Russie, avec de forts retours. Puis Poutine arriva et voulut l’encabaner pour fraude fiscale comme un vulgaire voleur russe…
Depuis soixante ans, il existe une exception cubaine. Un peu comme le village d’Astérix, celui de La Havane résiste au puissant voisin états-unien.
Son livre qui se lance dans des commérages incroyables pour un homme de sa « hauteur » remplit en fait deux fonctions : vendre le bouquin, et glisser dans la masse la thèse de l’entrave à la justice.
Pour la première fois depuis 1959, le nouveau président n’est ni un membre de la dynastie Castro ni une figure historique de la révolution cubaine.
Ainsi, tout comme Obama l’avait fait pendant huit ans, Mattis et Trump viennent de céder aux néoconservateurs tout en faisant semblant de faire la guerre.
Pourrait-il, alors, s’agir d’une communication plus subtile, subliminale en quelque sorte, en direction de Washington et du président Trump ?
Cette nomination est tout à fait surprenante car le candidat Trump, n’avait pas eu de mots assez durs contre la destruction de l’Irak.
La géopolitique est moins simple qu’une fusion-acquisition.
Qui entraîne qui dans son piège ?
Trump ne fait que se débattre, feignant d’organiser ce qu’il ne contrôle plus, pas même l’immigration. Un roi nu ?
C’est la dernière polémique qui agite la communauté noire aux États-Unis.
Un homme de 42 ans, Roger Foley, atteint d’une maladie rare et incurable, se voit proposer le choix entre l’euthanasie ou la prise en charge du coût de son hospitalisation, soit 1.800 dollars canadiens par jour.
Le nouveau Trump, privé du compas de Steve Bannon, entre dans une logique militariste, et s’entoure de faucons pour l’exécuter. La base trumpienne est furieuse…
L’ancien patron de la CIA, James Woolsey, est récemment parti d’un éclat de rire à la télévision lorsque la journaliste Laura Ingraham lui a demandé si les États-Unis « s’ingéraient dans les élections des autres pays ».
Dans l’histoire du Venezuela et des pays d’Amérique du Sud, l’armée s’est parfois comportée en agent du changement lorsque les choses allaient mal et que les dirigeants n’étaient plus en mesure de servir leur peuple.
L’avantage, avec les éléphants lâchés dans les magasins de porcelaine, c’est que l’on ne sait jamais à l’avance ce qu’ils vont renverser.
Il ne s’agit plus seulement d’accepter le différent, le marginal (voire l’obscène), mais de le glorifier. Nous sommes entrés dans une société de l’anormal (qui n’a pas de norme).
L’Amérique comptait dix des quinze plus grandes aciéries au monde. Aujourd’hui elle n’en compte que deux… et la Chine dix !
Le président Trump s’est constamment élevé contre la doxa du parti républicain, adepte du libre-échangisme.
Tuer Trump à la casserole est un exercice difficile. Il lance tellement de leurres que ses adversaires, déconcentrés, ne savent pas quel manche saisir.
Donald Trump avait dit : « Je veux une parade comme en France ». Un ordre clair et précis, comme on aime les recevoir dans toutes les armées du monde.
Trump a eu une bonne semaine.
Le monde entier rit de lui.
Le spectre du défaut de paiement se profile dangereusement avec, en perspective, le remboursement de 9,5 milliards de dettes (dont 1,5 milliard d’intérêts) en 2018.
Dans le contexte d’attentats terroristes que connaît les États-Unis, il ne faut pas s’attendre à ce que les choses changent rapidement…
Marion, le retour. Tous aux abris, sauve qui peut. Elle n’est pas franchement gaulée comme Schwarzy ou Stallone, mais c’est du pareil au même.
Une lycéenne a pris à partie Trump, ce samedi, suite à la tuerie de Floride.
Entre la thèse du coup d’État anti-Trump et celle de sa collusion russe, laquelle va prévaloir?
Browder fut le plus grand investisseur de portefeuille en Russie, avec de forts retours. Puis Poutine arriva et voulut l’encabaner pour fraude fiscale comme un vulgaire voleur russe…
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