Anasse Kazib
Anasse Kazib aura offensé tous les authentiques prisonniers politiques, lui, le faux rebelle subventionné.
Pour Anasse Kazib et tous ses suiveurs, la preuve est faite que le FN devenu RN est toujours le FN.
Bref, revenu de l’oubli médiatique, Anasse Kazib est tenté de saisir tous les prétextes pour exister.
Sciences Po Bordeaux a énergiquement refusé une conférence de Jordan Bardella mais pas celle du candidat trotskiste Anasse Kazib (qui considère que le NPA est « un peu trop à droite »).
Certes, il en faut du bagout pour aller décrocher ces fichues 500 signatures. Et certains s’y emploient parfois avec plus d’énergie que d’autres.
Anasse Kazib n’est pas seulement le héraut de la gauche révolutionnaire, c’est aussi le chouchou des médias.
Après avoir certifié à un Twittos, qui s’émouvait de l’absence du drapeau tricolore dans son meeting, qu’on n’en « verra pas », Anasse Kazib, candidat à l’élection présidentielle, s’en est expliqué sur le plateau de « Touche pas à mon poste ! »
Anasse Kazib aura offensé tous les authentiques prisonniers politiques, lui, le faux rebelle subventionné.
Pour Anasse Kazib et tous ses suiveurs, la preuve est faite que le FN devenu RN est toujours le FN.
Bref, revenu de l’oubli médiatique, Anasse Kazib est tenté de saisir tous les prétextes pour exister.
Sciences Po Bordeaux a énergiquement refusé une conférence de Jordan Bardella mais pas celle du candidat trotskiste Anasse Kazib (qui considère que le NPA est « un peu trop à droite »).
Certes, il en faut du bagout pour aller décrocher ces fichues 500 signatures. Et certains s’y emploient parfois avec plus d’énergie que d’autres.
Anasse Kazib n’est pas seulement le héraut de la gauche révolutionnaire, c’est aussi le chouchou des médias.
Après avoir certifié à un Twittos, qui s’émouvait de l’absence du drapeau tricolore dans son meeting, qu’on n’en « verra pas », Anasse Kazib, candidat à l’élection présidentielle, s’en est expliqué sur le plateau de « Touche pas à mon poste ! »
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