Angela Merkel
…la rapide évolution de la photo de famille montre à quel point notre Président s’inscrit désormais à rebours de ce sens de l’Histoire que la gauche sociétale invoque…
le 14 juillet 2019 a fait voir qu’il y a désormais trois France qui se font face : place de la Concorde, celle du système patricien, sifflé ; sur les Champs, celle de la plèbe malheureuse, matraquée ; et à l’Étoile, celle des banlieues…
Mais l’essentiel, dans tout ça, c’est qu’on y ait introduit la parité.
La réalité est simple : l’Union européenne est devenue obèse et ingouvernable dans un système dominé par la technocratie.
Cette expression, née sous Giscard, n’est d’ailleurs presque jamais employée en Allemagne.
On peut juger que l’immigration est une excellente chose, qu’il faut ouvrir nos frontières en grand, mais il faut cesser de croire que c’est gratuit.
Le Premier ministre grec sans cravate, le fringant Aléxis Tsípras, n’a pas fini de nous surprendre.
Il faut être distrait pour ne pas voir que dans le duo, qui ne se détache que superficiellement du chœur des 27, c’est l’Allemagne qui pèse désormais le plus lourd.
Confier la prééminence à l’Allemagne dans les relations commerciales avec la Chine, c’est prendre plus qu’un risque : c’est être cocu à terme !
En clair, le maintien de Strasbourg, symbolique de la réconciliation franco-allemande, appartient au passé…
Le cocorico que Macron entonne fièrement risque fort de n’être qu’un piteux chant du cygne.
À quand Merkel venant présider le Conseil des ministres à l’Élysée ?
Il révèle au grand jour que le Président français n’a l’intention de rien céder sur ses positions essentielles.
Bientôt en allemand ! « Angela… t’as une belle langue, tu sais… »
Emmanuel Macron n’est pas Machiavel. Tout au plus un Savonarole de la pensée unique qui veut imposer sa vision de l’Europe à coups de menton et d’anathèmes.
Cette fois encore, la France signe un traité inégal dans lequel elle donne ce qu’elle a sans en recevoir la contrepartie.
Et dire que c’est sous la « gauche radicale » de Tsípras qu’on aura le plus privatisé.
La Grèce ne serait-elle pas juste bonne à devenir un Euroland du tourisme nordique, une immense maison de retraite pour les seniors qui trouvent que les Canaries ou les Baléares sont décidément devenues trop chères ?
Merkel aurait tort de se gêner alors qu’Emmanuel Macron ne cesse de plaider, notamment depuis le discours de la Sorbonne, pour une souveraineté européenne.
Et un Emmanuel Macron qui, à la façon d’un Jacques Brel, tente de « faire rejaillir le feu de l’ancien volcan »…
La liturgie mémorielle du 11 Novembre visait les échéances européennes qui apparaissent de plus en plus comme les élections de mi-mandat d’Emmanuel Macron.
Si la presse régionale relate ces actes parmi les faits divers, les médias nationaux considèrent quasiment à chaque fois qu’il s’agit d’un cas unique…
L’Allemagne se révèle être l’un des principaux bénéficiaires de la crise grecque.
À Verdun, le jeu de tabou consistera probablement à ne pas prononcer le nom de ce maréchal de France qui défila sur un cheval blanc le 14 juillet 1919 sous l’Arc de Triomphe.
Le gouvernement allemand et sa chancelière Angela Merkel luttent désormais pour leur survie.
Ce n’est pas le nationalisme qui explique la montée du populisme opposé à l’immigration et au multiculturalisme, c’est le conservatisme.
Le rejet de l’immigration, né de l’ouverture des frontières par la chancelière CDU Angela Merkel, a conduit à la percée du parti patriotique Alternative pour l’Allemagne (AfD), qui obtient 10,2 % et entre au sein du Parlement de Bavière.
On lâche Orbán et on déroule le tapis rouge à Erdoğan ?
…la rapide évolution de la photo de famille montre à quel point notre Président s’inscrit désormais à rebours de ce sens de l’Histoire que la gauche sociétale invoque…
le 14 juillet 2019 a fait voir qu’il y a désormais trois France qui se font face : place de la Concorde, celle du système patricien, sifflé ; sur les Champs, celle de la plèbe malheureuse, matraquée ; et à l’Étoile, celle des banlieues…
Mais l’essentiel, dans tout ça, c’est qu’on y ait introduit la parité.
La réalité est simple : l’Union européenne est devenue obèse et ingouvernable dans un système dominé par la technocratie.
Cette expression, née sous Giscard, n’est d’ailleurs presque jamais employée en Allemagne.
On peut juger que l’immigration est une excellente chose, qu’il faut ouvrir nos frontières en grand, mais il faut cesser de croire que c’est gratuit.
Le Premier ministre grec sans cravate, le fringant Aléxis Tsípras, n’a pas fini de nous surprendre.
Il faut être distrait pour ne pas voir que dans le duo, qui ne se détache que superficiellement du chœur des 27, c’est l’Allemagne qui pèse désormais le plus lourd.
Confier la prééminence à l’Allemagne dans les relations commerciales avec la Chine, c’est prendre plus qu’un risque : c’est être cocu à terme !
En clair, le maintien de Strasbourg, symbolique de la réconciliation franco-allemande, appartient au passé…
Le cocorico que Macron entonne fièrement risque fort de n’être qu’un piteux chant du cygne.
À quand Merkel venant présider le Conseil des ministres à l’Élysée ?
Il révèle au grand jour que le Président français n’a l’intention de rien céder sur ses positions essentielles.
Bientôt en allemand ! « Angela… t’as une belle langue, tu sais… »
Emmanuel Macron n’est pas Machiavel. Tout au plus un Savonarole de la pensée unique qui veut imposer sa vision de l’Europe à coups de menton et d’anathèmes.
Cette fois encore, la France signe un traité inégal dans lequel elle donne ce qu’elle a sans en recevoir la contrepartie.
Et dire que c’est sous la « gauche radicale » de Tsípras qu’on aura le plus privatisé.
La Grèce ne serait-elle pas juste bonne à devenir un Euroland du tourisme nordique, une immense maison de retraite pour les seniors qui trouvent que les Canaries ou les Baléares sont décidément devenues trop chères ?
Merkel aurait tort de se gêner alors qu’Emmanuel Macron ne cesse de plaider, notamment depuis le discours de la Sorbonne, pour une souveraineté européenne.
Et un Emmanuel Macron qui, à la façon d’un Jacques Brel, tente de « faire rejaillir le feu de l’ancien volcan »…
La liturgie mémorielle du 11 Novembre visait les échéances européennes qui apparaissent de plus en plus comme les élections de mi-mandat d’Emmanuel Macron.
Si la presse régionale relate ces actes parmi les faits divers, les médias nationaux considèrent quasiment à chaque fois qu’il s’agit d’un cas unique…
L’Allemagne se révèle être l’un des principaux bénéficiaires de la crise grecque.
À Verdun, le jeu de tabou consistera probablement à ne pas prononcer le nom de ce maréchal de France qui défila sur un cheval blanc le 14 juillet 1919 sous l’Arc de Triomphe.
Le gouvernement allemand et sa chancelière Angela Merkel luttent désormais pour leur survie.
Ce n’est pas le nationalisme qui explique la montée du populisme opposé à l’immigration et au multiculturalisme, c’est le conservatisme.
Le rejet de l’immigration, né de l’ouverture des frontières par la chancelière CDU Angela Merkel, a conduit à la percée du parti patriotique Alternative pour l’Allemagne (AfD), qui obtient 10,2 % et entre au sein du Parlement de Bavière.
On lâche Orbán et on déroule le tapis rouge à Erdoğan ?
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