Anne Hidalgo
Les surenchères sont ouvertes. Le maire de Paris peut faire office de flèche. Elle n’a pas le vertige. Jack Lang a les qualités requises pour remplacer le coq en attendant que l’original soit réparé.
Cette époque est décidément folle. Folle de vitesse, de précipitation.
Derrière le discours de la reine mère, verbiage d’une Miss France qui aurait trop fréquenté le catéchisme, se niche aussi un fieffé cynisme.
La politique d’Anne Hidalgo ne vise que « sa » clientèle, les bobos boboïssimes…
Et je vous promets que les aménagements de voirie les plus ineptes seront évalués et corrigés. Par exemple sur le boulevard Voltaire !
Dans le langage des médias de 2019, les propos tenus par Anne Hidalgo s’appellent des « fake news ».
Bref, mis à part remplacer Hidalgo par elle-même pour faire la même politique, Rachida Dati n’a pas grand-chose à avancer.
Il y a des élus dingues qui, non contents d’avoir permis cela, l’ont ordonné et financé. On savait qu’ils n’avaient pas de cervelle. Il est à craindre qu’ils n’aient pas de cœur non plus.
Tout le reste est passé à la trappe. L’impéritie de notre édile ? Oubliée. Ses initiatives « époustouflifiantes », sa gestion 100 % bobo ? Renvoyées aux poubelles de l’Histoire.
Les annonces de 2019 ne consistent donc qu’à renommer police municipale un service qui existe déjà sous un autre nom.
Madame Hidalgo a annoncé pour 2019 tout un tas de choses mirobolantes.
L’enfer socialiste est pavé de bonnes intentions. Au lieu de faciliter l’accès au logement, cette politique n’a fait qu’attiser la crise immobilière…
S’il déclare que les enquêtes menées à son sujet étaient à charge, il faut bien le dire, son ouvrage l’est tout autant.
Et dire qu’il y en a qui se battent pour avoir la place…
Et l’on aurait tort, bien sûr, de voir là autre chose qu’un élan de générosité ou la preuve d’un altruisme parfaitement désintéressé. Ce n’est pas le genre de la dame.
Heureusement qu’il est censé savoir compter car il faudra bientôt un supercalculateur pour gérer les candidatures macronistes.
Peut être Manuel Valls aura-t-il besoin d’une première adjointe ?
Et encore une polémique sur fond d’ordre moral. Une de plus.
Lundi 17 septembre, Bruno Julliard, le premier adjoint d’Anne Hidalgo, a claqué la porte de la mairie de Paris sous prétexte de « grandes divergences politiques ».
En fait de respiration, il s’agit naturellement d’un enfumage total.
Bien visible, elle est rouge comme un camion de pompier, tout neuf et prêt pour la parade.
Sorti des Champs-Élysées et de la Concorde, Campion revient par les Tuileries.
Pour résumer d’un mot : c’est la débandade.
Et voilà le projet de Valérie Pécresse : interdire les véhicules diesel sur toute l’Île-de-France d’ici 2030. Anne Hidalgo battue sur son propre terrain, ridiculisée, roulée dans la farine bio sans gluten…
Dernière cartouche pour Anne Hidalgo face à au tsunami de critiques dont elle fait l’objet : la féminité.
Autolib’ devait être le symbole de l’alliance réussie de l’innovation technologique et de la révolution des transports à Paris, tout ça sous la houlette de la gauche bobo et moderne.
Aimer Paris a déjà des propositions concrètes pour sortir du sectarisme d’Hidalgo dans le domaine de la circulation, de la propreté, du logement, de l’immigration, de la culture, de la sécurité.
Les surenchères sont ouvertes. Le maire de Paris peut faire office de flèche. Elle n’a pas le vertige. Jack Lang a les qualités requises pour remplacer le coq en attendant que l’original soit réparé.
Cette époque est décidément folle. Folle de vitesse, de précipitation.
Derrière le discours de la reine mère, verbiage d’une Miss France qui aurait trop fréquenté le catéchisme, se niche aussi un fieffé cynisme.
La politique d’Anne Hidalgo ne vise que « sa » clientèle, les bobos boboïssimes…
Et je vous promets que les aménagements de voirie les plus ineptes seront évalués et corrigés. Par exemple sur le boulevard Voltaire !
Dans le langage des médias de 2019, les propos tenus par Anne Hidalgo s’appellent des « fake news ».
Bref, mis à part remplacer Hidalgo par elle-même pour faire la même politique, Rachida Dati n’a pas grand-chose à avancer.
Il y a des élus dingues qui, non contents d’avoir permis cela, l’ont ordonné et financé. On savait qu’ils n’avaient pas de cervelle. Il est à craindre qu’ils n’aient pas de cœur non plus.
Tout le reste est passé à la trappe. L’impéritie de notre édile ? Oubliée. Ses initiatives « époustouflifiantes », sa gestion 100 % bobo ? Renvoyées aux poubelles de l’Histoire.
Les annonces de 2019 ne consistent donc qu’à renommer police municipale un service qui existe déjà sous un autre nom.
Madame Hidalgo a annoncé pour 2019 tout un tas de choses mirobolantes.
L’enfer socialiste est pavé de bonnes intentions. Au lieu de faciliter l’accès au logement, cette politique n’a fait qu’attiser la crise immobilière…
S’il déclare que les enquêtes menées à son sujet étaient à charge, il faut bien le dire, son ouvrage l’est tout autant.
Et dire qu’il y en a qui se battent pour avoir la place…
Et l’on aurait tort, bien sûr, de voir là autre chose qu’un élan de générosité ou la preuve d’un altruisme parfaitement désintéressé. Ce n’est pas le genre de la dame.
Heureusement qu’il est censé savoir compter car il faudra bientôt un supercalculateur pour gérer les candidatures macronistes.
Peut être Manuel Valls aura-t-il besoin d’une première adjointe ?
Et encore une polémique sur fond d’ordre moral. Une de plus.
Lundi 17 septembre, Bruno Julliard, le premier adjoint d’Anne Hidalgo, a claqué la porte de la mairie de Paris sous prétexte de « grandes divergences politiques ».
En fait de respiration, il s’agit naturellement d’un enfumage total.
Bien visible, elle est rouge comme un camion de pompier, tout neuf et prêt pour la parade.
Sorti des Champs-Élysées et de la Concorde, Campion revient par les Tuileries.
Pour résumer d’un mot : c’est la débandade.
Et voilà le projet de Valérie Pécresse : interdire les véhicules diesel sur toute l’Île-de-France d’ici 2030. Anne Hidalgo battue sur son propre terrain, ridiculisée, roulée dans la farine bio sans gluten…
Dernière cartouche pour Anne Hidalgo face à au tsunami de critiques dont elle fait l’objet : la féminité.
Autolib’ devait être le symbole de l’alliance réussie de l’innovation technologique et de la révolution des transports à Paris, tout ça sous la houlette de la gauche bobo et moderne.
Aimer Paris a déjà des propositions concrètes pour sortir du sectarisme d’Hidalgo dans le domaine de la circulation, de la propreté, du logement, de l’immigration, de la culture, de la sécurité.
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