Asie

Désormais, le parti au pouvoir à New Delhi est clairement hindouiste.

Macron, qui se croit un leader, s’entretient régulièrement avec son homologue iranien, Hassan Rohani, et rêve de jouer le rôle de médiateur dans la crise en cours.

Imram Abdul Hamid a déclenché un tollé dans son propre pays et à l’échelon international…

Moscou et Téhéran se seraient mis d’accord pour que les Russes implantent en Iran deux bases militaires navales, accueillant navires de guerre et sous-marins nucléaires, et une base aérienne garnie de 35 Sukhoi Su-57.

Le bilan humain fut considérable : près de 250.000 morts…

On peut se demander s’il va se trouver un homme politique en Europe pour engager une action résolue afin de mettre un terme à cette invraisemblable situation.

Le Parisien du 2 août titre : « Tout comprendre en cinq minutes à la guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine. »

Seulement, au-delà de ce conflit géopolitique doivent s’entendre les causes d’un nouvel ordre mondial…

Au-delà de cette pittoresque bataille de drones et de pétroliers, on peut se demander jusqu’où ira ce bras de fer entre les deux ennemis – car il faut bien les appeler ainsi.

Les Américains sont, naturellement, très en colère et multiplient les pressions sur la Turquie pour la contraindre de renoncer à cette acquisition de haute valeur symbolique.

Hypocrites jusqu’au fond du tiers-mondisme (mot disparu avec la mondialisation heureuse), nous avons fait de l’Asie notre poubelle.

Les Chinois sont patients.

Autant le Pentagone ne souhaite pas quitter totalement la Syrie afin de ne pas laisser le terrain libre à la Russie et à l’Iran, autant une intervention contre l’Iran l’inquiète beaucoup.

Il y a, certes, la guerre qui menace d’éclater entre les USA et l’Iran. Mais il y a surtout celle en cours à la Maison-Blanche, entre Donald Trump et une partie de son entourage…

il existe une loi biologique indépassable : celle de la légitimité de la survie.

Ce sponsoring des Jeux olympiques montre que le centre de gravité de la puissance économique du monde se déplace lentement vers la Chine…

La presse parisienne se perdant en conjectures sur la politique américaine fait intervenir ses « experts » pour tenter enfin de la décoder.

Le golfe Persique en train de nous emmener vers une déflagration mondiale ?

La vraie question, aujourd’hui, est de savoir ce que veut Donald Trump : veut-il attaquer l’Iran ou simplement le menacer ?

Tandis qu’ils soufflent le chaud et le froid, ils continuent d’avancer leurs pions, forts de leur ancestrale tradition d’encerclement.

Deux supertankers, l’un norvégien et l’autre japonais, ont été l’objet d’attaques…

Ne pas condamner de tels comportements, c’est accepter sans broncher que la France soit humiliée…

Le nouveau Parlement européen sera-t-il plus sensé que celui qui s’en va en ayant échoué sur tout ?

Le risque principal ne viendra ni de la Chine ni de l’Iran, mais des États-Unis eux-mêmes.

Voilà maintenant plus de deux ans qu’il a disparu en Iran.

Paradoxalement, l’heure serait plus aux diplomates qu’aux pyromanes.

Ne pouvant envisager une invasion contre un pays de 80 millions d’habitants au nationalisme ombrageux, il utilise l’arme des sanctions, interdisant à tout pays de la planète de commercer avec l’Iran.

l’Union européenne se contentera, vraisemblablement, de suivre, comme d’habitude, les USA. Elle risque fort de se trouver, à nouveau, entraînée dans un conflit dont elle ne maîtrisera rien. Rien que du déjà-vu.

Désormais, le parti au pouvoir à New Delhi est clairement hindouiste.

Macron, qui se croit un leader, s’entretient régulièrement avec son homologue iranien, Hassan Rohani, et rêve de jouer le rôle de médiateur dans la crise en cours.

Imram Abdul Hamid a déclenché un tollé dans son propre pays et à l’échelon international…

Moscou et Téhéran se seraient mis d’accord pour que les Russes implantent en Iran deux bases militaires navales, accueillant navires de guerre et sous-marins nucléaires, et une base aérienne garnie de 35 Sukhoi Su-57.

Le bilan humain fut considérable : près de 250.000 morts…

On peut se demander s’il va se trouver un homme politique en Europe pour engager une action résolue afin de mettre un terme à cette invraisemblable situation.

Le Parisien du 2 août titre : « Tout comprendre en cinq minutes à la guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine. »

Seulement, au-delà de ce conflit géopolitique doivent s’entendre les causes d’un nouvel ordre mondial…

Au-delà de cette pittoresque bataille de drones et de pétroliers, on peut se demander jusqu’où ira ce bras de fer entre les deux ennemis – car il faut bien les appeler ainsi.

Les Américains sont, naturellement, très en colère et multiplient les pressions sur la Turquie pour la contraindre de renoncer à cette acquisition de haute valeur symbolique.

Hypocrites jusqu’au fond du tiers-mondisme (mot disparu avec la mondialisation heureuse), nous avons fait de l’Asie notre poubelle.

Les Chinois sont patients.

Autant le Pentagone ne souhaite pas quitter totalement la Syrie afin de ne pas laisser le terrain libre à la Russie et à l’Iran, autant une intervention contre l’Iran l’inquiète beaucoup.

Il y a, certes, la guerre qui menace d’éclater entre les USA et l’Iran. Mais il y a surtout celle en cours à la Maison-Blanche, entre Donald Trump et une partie de son entourage…

il existe une loi biologique indépassable : celle de la légitimité de la survie.

Ce sponsoring des Jeux olympiques montre que le centre de gravité de la puissance économique du monde se déplace lentement vers la Chine…

La presse parisienne se perdant en conjectures sur la politique américaine fait intervenir ses « experts » pour tenter enfin de la décoder.

Le golfe Persique en train de nous emmener vers une déflagration mondiale ?

La vraie question, aujourd’hui, est de savoir ce que veut Donald Trump : veut-il attaquer l’Iran ou simplement le menacer ?

Tandis qu’ils soufflent le chaud et le froid, ils continuent d’avancer leurs pions, forts de leur ancestrale tradition d’encerclement.

Deux supertankers, l’un norvégien et l’autre japonais, ont été l’objet d’attaques…

Ne pas condamner de tels comportements, c’est accepter sans broncher que la France soit humiliée…

Le nouveau Parlement européen sera-t-il plus sensé que celui qui s’en va en ayant échoué sur tout ?

Le risque principal ne viendra ni de la Chine ni de l’Iran, mais des États-Unis eux-mêmes.

Voilà maintenant plus de deux ans qu’il a disparu en Iran.

Paradoxalement, l’heure serait plus aux diplomates qu’aux pyromanes.

Ne pouvant envisager une invasion contre un pays de 80 millions d’habitants au nationalisme ombrageux, il utilise l’arme des sanctions, interdisant à tout pays de la planète de commercer avec l’Iran.

l’Union européenne se contentera, vraisemblablement, de suivre, comme d’habitude, les USA. Elle risque fort de se trouver, à nouveau, entraînée dans un conflit dont elle ne maîtrisera rien. Rien que du déjà-vu.
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