Asie
L’Histoire n’en finit plus de se répéter.
Recep Tayyip Erdogan, l’actuel président turc, se voit comme un néo-sultan. Manifestement, il n’a pas la sagesse et la vision de ses augustes devanciers.
Le principal danger réside dans le secteur des entreprises d’Etat qui représente plus d’un tiers du PIB chinois et dont la plupart sont de véritables droguées par le crédit facile des banques publiques.
Erdogan a envoyé des milliers de soldats attaquer les troupes anti-daech dans le nord de la Syrie.
Débarqué à l’aéroport de Téhéran le 16 septembre dernier, les autorités iraniennes lui ont aussitôt confisqué son passeport avant d’entamer contre lui des poursuites judiciaires.
La Turquie, depuis les victoires électorales de l’AKP, a entamé une pente triplement glissante vers un pouvoir autocratique incompatible avec les libertés fondamentales.
Le spécialiste de l’Iran, Thomas Flichy de La Neuville, apporte pour Boulevard Voltaire son éclairage sur les manifestations.
L’ayatollah Khamenei pourrait-il connaître le funeste sort du chah d’Iran, en 1979 ?
Une image fait le tour du net, via les réseaux sociaux.
Le président turc a encore publié, au soir de Noël, un décret annonçant une nouvelle mise à pied de 2756 fonctionnaires.
La Corée du Nord cherche à infecter non seulement des ordinateurs séparés mais aussi à s’attaquer aux infrastructures critiques de ses adversaires.
L’empereur japonais Akihito, 83 ans, abdiquera le 30 avril 2019 après 30 ans de règne.
La posture nord-coréenne rappelle à certains égards celle de la France et de la création de sa Force de frappe.

Si l’on en croit Kim Jong-un, nul pays n’est à l’écart de sa portée, et en particulier les États-Unis.
Au-delà des emportements du moment, il y a le temps court et le temps long.
Élisabeth leur a permis de retrouver le sourire et une raison de vivre.
Il a fait mieux que 80 % des postulants humains sur des exercices qu’on estimait jusqu’ici propres aux hommes.

Cette fois, en Corée du Nord, il y a bien des « armes de destruction massive »…

Le funeste jeu de poker se conclura-t-il à Washington ou à New York ?

Un adolescent chrétien vient d’être assassiné par ses « camarades » musulmans. Son crime ? Avoir refusé d’apostasier.

Ankara n’a même pas pris la peine de commenter la sortie d’Angela Merkel.
Le destin des empires est de s’effondrer un jour ou l’autre, et celui que constitue l’Union indienne depuis 1947 connaîtra le même sort.

La Corée du Nord vient de procéder à un nouveau tir d’engin balistique…
La Chine raisonne sur le temps long, alors que ce qui demeure de l’Occident ne parvient qu’à raisonner sur le temps court.
Jupiter, paraît-il, aveuglait ceux qu’il voulait rendre fous ; Allah aussi, manifestement.

Des purges dignes des grandes heures du stalinisme s’abattent sur l’Université, la fonction publique, la presse…

Pourquoi nos hommes politiques sont-ils si naïfs ?
« En Turquie, on ne fait pas de politique, on fait la guerre », s’inquiète le journaliste pro-gouvernement Hasan Kahraman.
L’Histoire n’en finit plus de se répéter.
Recep Tayyip Erdogan, l’actuel président turc, se voit comme un néo-sultan. Manifestement, il n’a pas la sagesse et la vision de ses augustes devanciers.
Le principal danger réside dans le secteur des entreprises d’Etat qui représente plus d’un tiers du PIB chinois et dont la plupart sont de véritables droguées par le crédit facile des banques publiques.
Erdogan a envoyé des milliers de soldats attaquer les troupes anti-daech dans le nord de la Syrie.
Débarqué à l’aéroport de Téhéran le 16 septembre dernier, les autorités iraniennes lui ont aussitôt confisqué son passeport avant d’entamer contre lui des poursuites judiciaires.
La Turquie, depuis les victoires électorales de l’AKP, a entamé une pente triplement glissante vers un pouvoir autocratique incompatible avec les libertés fondamentales.
Le spécialiste de l’Iran, Thomas Flichy de La Neuville, apporte pour Boulevard Voltaire son éclairage sur les manifestations.
L’ayatollah Khamenei pourrait-il connaître le funeste sort du chah d’Iran, en 1979 ?
Une image fait le tour du net, via les réseaux sociaux.
Le président turc a encore publié, au soir de Noël, un décret annonçant une nouvelle mise à pied de 2756 fonctionnaires.
La Corée du Nord cherche à infecter non seulement des ordinateurs séparés mais aussi à s’attaquer aux infrastructures critiques de ses adversaires.
L’empereur japonais Akihito, 83 ans, abdiquera le 30 avril 2019 après 30 ans de règne.
La posture nord-coréenne rappelle à certains égards celle de la France et de la création de sa Force de frappe.

Si l’on en croit Kim Jong-un, nul pays n’est à l’écart de sa portée, et en particulier les États-Unis.
Au-delà des emportements du moment, il y a le temps court et le temps long.
Élisabeth leur a permis de retrouver le sourire et une raison de vivre.
Il a fait mieux que 80 % des postulants humains sur des exercices qu’on estimait jusqu’ici propres aux hommes.

Cette fois, en Corée du Nord, il y a bien des « armes de destruction massive »…

Le funeste jeu de poker se conclura-t-il à Washington ou à New York ?

Un adolescent chrétien vient d’être assassiné par ses « camarades » musulmans. Son crime ? Avoir refusé d’apostasier.

Ankara n’a même pas pris la peine de commenter la sortie d’Angela Merkel.
Le destin des empires est de s’effondrer un jour ou l’autre, et celui que constitue l’Union indienne depuis 1947 connaîtra le même sort.

La Corée du Nord vient de procéder à un nouveau tir d’engin balistique…
La Chine raisonne sur le temps long, alors que ce qui demeure de l’Occident ne parvient qu’à raisonner sur le temps court.
Jupiter, paraît-il, aveuglait ceux qu’il voulait rendre fous ; Allah aussi, manifestement.

Des purges dignes des grandes heures du stalinisme s’abattent sur l’Université, la fonction publique, la presse…

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