Assa Traoré
Youssouf, frère d’Assa, a été interpellé et placé quelques heures en garde à vue.
Assa Traoré a appelé à un rassemblement, place de la République à Paris, soutenu par La France insoumise.
Elle a été condamnée à verser à l’adjudante 5.000 euros de dommages et intérêts et 4.000 euros en frais d’avocats.
La 17e chambre semble elle-même choisir les préoccupations sociales et sociétales d’importance dans la France d’aujourd’hui : Assa Traoré est autorisée à diffamer. On peut comprendre pourquoi les gendarmes ont interjeté appel de cette décision.
Assa Traoré, ce vendredi 18 novembre, est entendue à l’ONU dans le cadre de la Convention internationale sur l’élimination de toutes les formes de discrimination raciale en France.
Donc, ces gens jouissent d’un totem d’immunité à vie, ils peuvent être impliqués dans des actes délictueux ou les couvrir, les médias bien-pensants n’ont pas le droit d’en parler.
Un escarpin au « décolleté généreux » issu de la collection Walk a Mile in My Shoes qui, selon la griffe, « communique cette saison l’empathie et la solidarité ».
Pour l’instant, hormis Le Dauphiné libéré et Boulevard Voltaire, peu ont relevé l’information.
L’association Citoyens résistants d’hier et d’aujourd’hui, qui organise chaque année depuis 2007 des rencontres et manifestations sur le plateau des Glières, en Savoie, a déclenché une polémique en dévoilant son programme pour cette année 2021.
« Sans justice, vous n’aurez pas la paix », dit pompeusement le pompeux comité Adama. Le cas d’Assa Traoré est examiné par la Justice. Espérons qu’elle nous fichera la paix.
Le glissement narratif est très clair : un Traoré qui a maille à partir avec la Justice est présumé persécuté.
On se souvient dans ces pays de quelque chose qui s’appelle la liberté, le bon sens, l’esprit critique.
Assa Traoré a été condamnée par la cour d’appel de Paris à verser la somme globale de 4.000 euros…
Dans une interview donnée à Jeune Afrique, la militante Assa Traoré critique les violences policières contre les personnes issues de l’immigration. Elle a déclaré :
Si, en France, les Noirs et les Arabes ne sont pas en sécurité, pourquoi donc tant de migrants de ces origines cherchent à venir en France ?
Depuis les fresques de Stains et de Noisy-le-Sec, l’icône de l’antiracisme a fait du chemin.
Il va devenir compliqué pour Assa Traoré, déjà plombée par le feuilleton judiciaire familial, de continuer à jouer à la Cosette des banlieues en proie au racisme systémique de l’État colonial français.
Interpellé sur les réseaux sociaux, ce gouvernement, si prompt pourtant à réagir à chaque fois qu’Éric Zemmour éternue, n’a pas bronché.
Cette fresque avait été inaugurée, le jeudi 18 juin, en présence du maire Azzédine Taïbi (PCF) et d’Assa Traoré…
Mahamadou Fofana s’est noyé dans la Seine, dans la nuit de dimanche à lundi, en tentant d’échapper à la police. Assa Traoré, cousine de Mahamadou
À court d’idées, le réalisateur Mathieu Kassovitz ? Aussi est-ce lui qui se chargera de la récupération politico-cinématographique de l’affaire Traoré ?
La seule solution acceptable pour la famille Traoré, complaisamment médiatisée, est celle de la culpabilité par l’accusation constante d’Assa.
On notera surtout que tout ce remue-ménage autour de l’affaire Traoré n’alimente qu’un parisianisme gaucho-ethnico-bobo dont l’Afrique semble se foutre éperdument.
Parmi les manifestants, des « gilets jaunes » et des écologistes.
Pourquoi cette insistance à accuser la France de racisme ?
Comment ne se sentirait-elle pas pousser des ailes ?
Je ne suis pas naïf, mais il y a des causes, des dénonciations, des analyses qui gagneraient à être moins sûres d’elles. Pour être davantage partagées.
Naguère, c’étaient les héros et les saints que célébrait l’imaginaire collectif. Aujourd’hui, l’heure serait plutôt aux victimes…
Youssouf, frère d’Assa, a été interpellé et placé quelques heures en garde à vue.
Assa Traoré a appelé à un rassemblement, place de la République à Paris, soutenu par La France insoumise.
Elle a été condamnée à verser à l’adjudante 5.000 euros de dommages et intérêts et 4.000 euros en frais d’avocats.
La 17e chambre semble elle-même choisir les préoccupations sociales et sociétales d’importance dans la France d’aujourd’hui : Assa Traoré est autorisée à diffamer. On peut comprendre pourquoi les gendarmes ont interjeté appel de cette décision.
Assa Traoré, ce vendredi 18 novembre, est entendue à l’ONU dans le cadre de la Convention internationale sur l’élimination de toutes les formes de discrimination raciale en France.
Donc, ces gens jouissent d’un totem d’immunité à vie, ils peuvent être impliqués dans des actes délictueux ou les couvrir, les médias bien-pensants n’ont pas le droit d’en parler.
Un escarpin au « décolleté généreux » issu de la collection Walk a Mile in My Shoes qui, selon la griffe, « communique cette saison l’empathie et la solidarité ».
Pour l’instant, hormis Le Dauphiné libéré et Boulevard Voltaire, peu ont relevé l’information.
L’association Citoyens résistants d’hier et d’aujourd’hui, qui organise chaque année depuis 2007 des rencontres et manifestations sur le plateau des Glières, en Savoie, a déclenché une polémique en dévoilant son programme pour cette année 2021.
« Sans justice, vous n’aurez pas la paix », dit pompeusement le pompeux comité Adama. Le cas d’Assa Traoré est examiné par la Justice. Espérons qu’elle nous fichera la paix.
Le glissement narratif est très clair : un Traoré qui a maille à partir avec la Justice est présumé persécuté.
On se souvient dans ces pays de quelque chose qui s’appelle la liberté, le bon sens, l’esprit critique.
Assa Traoré a été condamnée par la cour d’appel de Paris à verser la somme globale de 4.000 euros…
Dans une interview donnée à Jeune Afrique, la militante Assa Traoré critique les violences policières contre les personnes issues de l’immigration. Elle a déclaré :
Si, en France, les Noirs et les Arabes ne sont pas en sécurité, pourquoi donc tant de migrants de ces origines cherchent à venir en France ?
Depuis les fresques de Stains et de Noisy-le-Sec, l’icône de l’antiracisme a fait du chemin.
Il va devenir compliqué pour Assa Traoré, déjà plombée par le feuilleton judiciaire familial, de continuer à jouer à la Cosette des banlieues en proie au racisme systémique de l’État colonial français.
Interpellé sur les réseaux sociaux, ce gouvernement, si prompt pourtant à réagir à chaque fois qu’Éric Zemmour éternue, n’a pas bronché.
Cette fresque avait été inaugurée, le jeudi 18 juin, en présence du maire Azzédine Taïbi (PCF) et d’Assa Traoré…
Mahamadou Fofana s’est noyé dans la Seine, dans la nuit de dimanche à lundi, en tentant d’échapper à la police. Assa Traoré, cousine de Mahamadou
À court d’idées, le réalisateur Mathieu Kassovitz ? Aussi est-ce lui qui se chargera de la récupération politico-cinématographique de l’affaire Traoré ?
La seule solution acceptable pour la famille Traoré, complaisamment médiatisée, est celle de la culpabilité par l’accusation constante d’Assa.
On notera surtout que tout ce remue-ménage autour de l’affaire Traoré n’alimente qu’un parisianisme gaucho-ethnico-bobo dont l’Afrique semble se foutre éperdument.
Parmi les manifestants, des « gilets jaunes » et des écologistes.
Pourquoi cette insistance à accuser la France de racisme ?
Comment ne se sentirait-elle pas pousser des ailes ?
Je ne suis pas naïf, mais il y a des causes, des dénonciations, des analyses qui gagneraient à être moins sûres d’elles. Pour être davantage partagées.
Naguère, c’étaient les héros et les saints que célébrait l’imaginaire collectif. Aujourd’hui, l’heure serait plutôt aux victimes…