Assemblée nationale
L’attaché parlementaire de la députée LFI Ersilia Soudais a appelé à l’intifada lors d’une manifestation pro-Palestine.
Plus de gouvernement ? Les députés peuvent proposer et voter des lois.
Macron recevra les chefs de parti et les présidents des groupes parlementaires le vendredi 23 août.
Le RN, ostracisé par la Macronie et le « syndicat des sortants ». Quelle légitimité à l’Assemblée nationale ?
Le Président a jeté dans le paysage politique un trouble indescriptible, couronné par un intense désarroi des électeurs.
Le système résiste donc et va continuer à mal gouverner en faisant croître le ressentiment et la frustration.
En 1986, le président de l’Assemblée, Jacques Chaban-Delmas, nous y traitait avec distinction et courtoisie.
Au RN et au-delà, l’indignation est grande. Des constitutionnalistes s’élèvent contre ce détournement démocratique.
Après deux tours de scrutin, les six vice-présidents de l’Assemblée nationale sont Naïma Moutchou (Horizons), Clémence Guetté (LFI-NFP), Nadège Abomangoli (LFI-NFP), Xavier Breton (Droite républicaine), Annie
Marine Le Pen confie à BV : « Techniquement, c’est faisable. Mais, à mon avis, ce sera politiquement ravageur pour eux »
A quand les classements par sexualité, religion et état de santé ?
Le long monologue macronien, lors de sa conférence de presse, laisse l’impression que lui-même n’y croit plus.
De plus, Rachel Keke, députée LFI du 94, a brandi un drapeau palestinien, provoquant une suspension de séance.
Ce sondage reflète l’actuel état de l’opinion française, corroborant au passage les enquêtes sur les européennes.
Un an après, quels députés ont confirmé et lesquels ont déçu ?
Le RN est désormais pleinement ancré, y compris au sein de l’Assemblée nationale, dans le paysage politique.
La séquence des émeutes aura encore aggravé une fracture qui a largement dépassé le prisme social.
La proposition est loin de convaincre les députés de gauche, qui dénoncent « une loi d’extrême droite ».
La victoire à la Pyrrhus d’Emmanuel Macron et de son gouvernement montre la fragilité de ceux qui mènent la France vers l’abîme.
Évidemment, on peut être surpris d’être surpris.
Et à la triste grisaille technocratique répond aujourd’hui la triste pagaille gauchiste.
Dans le monde de Louis Boyard, la police est une bande de tueurs à gages…
Déjà, en septembre dernier, la menace avait été brandie.
Ayant écopé d’une « radiation temporaire » de quatre mois de la part de son parti, Adrien Quatennens devra siéger parmi les députés non inscrits dans les prochaines semaines.
Les deux chevaux de bataille du RN resteraient à l’écurie ?
L’attaché parlementaire de la députée LFI Ersilia Soudais a appelé à l’intifada lors d’une manifestation pro-Palestine.
Plus de gouvernement ? Les députés peuvent proposer et voter des lois.
Macron recevra les chefs de parti et les présidents des groupes parlementaires le vendredi 23 août.
Le RN, ostracisé par la Macronie et le « syndicat des sortants ». Quelle légitimité à l’Assemblée nationale ?
Le Président a jeté dans le paysage politique un trouble indescriptible, couronné par un intense désarroi des électeurs.
Le système résiste donc et va continuer à mal gouverner en faisant croître le ressentiment et la frustration.
En 1986, le président de l’Assemblée, Jacques Chaban-Delmas, nous y traitait avec distinction et courtoisie.
Au RN et au-delà, l’indignation est grande. Des constitutionnalistes s’élèvent contre ce détournement démocratique.
Après deux tours de scrutin, les six vice-présidents de l’Assemblée nationale sont Naïma Moutchou (Horizons), Clémence Guetté (LFI-NFP), Nadège Abomangoli (LFI-NFP), Xavier Breton (Droite républicaine), Annie
Marine Le Pen confie à BV : « Techniquement, c’est faisable. Mais, à mon avis, ce sera politiquement ravageur pour eux »
A quand les classements par sexualité, religion et état de santé ?
Le long monologue macronien, lors de sa conférence de presse, laisse l’impression que lui-même n’y croit plus.
De plus, Rachel Keke, députée LFI du 94, a brandi un drapeau palestinien, provoquant une suspension de séance.
Ce sondage reflète l’actuel état de l’opinion française, corroborant au passage les enquêtes sur les européennes.
Un an après, quels députés ont confirmé et lesquels ont déçu ?
Le RN est désormais pleinement ancré, y compris au sein de l’Assemblée nationale, dans le paysage politique.
La séquence des émeutes aura encore aggravé une fracture qui a largement dépassé le prisme social.
La proposition est loin de convaincre les députés de gauche, qui dénoncent « une loi d’extrême droite ».
La victoire à la Pyrrhus d’Emmanuel Macron et de son gouvernement montre la fragilité de ceux qui mènent la France vers l’abîme.
Évidemment, on peut être surpris d’être surpris.
Et à la triste grisaille technocratique répond aujourd’hui la triste pagaille gauchiste.
Dans le monde de Louis Boyard, la police est une bande de tueurs à gages…
Déjà, en septembre dernier, la menace avait été brandie.
Ayant écopé d’une « radiation temporaire » de quatre mois de la part de son parti, Adrien Quatennens devra siéger parmi les députés non inscrits dans les prochaines semaines.
Les deux chevaux de bataille du RN resteraient à l’écurie ?