Avortement
Le Sénat est, depuis Rome, le lieu de la pérennité et de la dignité. Ça ne fait pas de mal de s’en souvenir…
Le projet vient d’être présenté au Conseil des ministres. L’enjeu ? La liberté de conscience des professionnels de santé
« Le gouvernement n’aide pas la femme qui n’a pas les moyens d’avoir un enfant »
Dans sa tour d’ivoire idéologique, Anne Hidalgo serait-elle aussi déconnectée de la réalité ?
En interview, le cinéaste confiait : « je voulais que le film puisse clairement signifier que chaque naissance compte, que chaque vie a sa place »
Cette pagaille ne suffisant manifestement pas, les féministes ont dès lors trouvé le moyen de s’écharper entre elles.
Alors que l’annulation par la Cour suprême américaine de l’arrêté de 1973 Roe v. Wade faisant de l’avortement un droit national a créé l’émoi dans
Cet arrêté est tout simplement, pour le peuple souverain, avoir de nouveau la capacité de choisir.
Tout en feignant d’atténuer le coup de pied de l’âne qu’il porte à Renaissance en assurant que, par bonheur, « dans la majorité, on est libre de penser différemment les choses », François Bayrou a bel et bien rompu l’union sacrée entre amis manigancée dans le cénacle élyséen.
Malgré un combat compliqué à mener en France, une jeunesse décomplexée se lève et ne se décourage pas.
Vendredi, la Cour suprême des États-Unis d’Amérique a annulé le fameux arrêt Roe v. Wade, datant de 1973, qui jugeait le droit à l’avortement conforme à la Constitution américaine. Un véritable séisme aux États-Unis.
Cette initiative répond à la décision prise, vendredi, par la Cour suprême américaine de révoquer le droit à l’avortement au niveau fédéral.
La révélation de Politico n’est qu’une confirmation du fossé qui ce creuse entre deux Amériques. L’une qui demande aux écoles d’inclure les transgenres dans les équipes sportives, l’autre qui prive Disney de financement car jugé trop « woke »..
Le décret a en effet été publié au Journal officiel ce samedi.
En cette ère Covid où nul décompte des morts quotidiens ne nous est épargné, il n’est pas inintéressant de se rappeler que la première cause de mortalité dans le monde est l’avortement.
Si la thématique de l’avortement n’est quasiment jamais abordée par les candidats à la présidentielle, elle n’en demeure pas moins d’actualité : le 19 janvier
Nicolas Meizonnet s’est opposé, dans l’Hémicycle, à l’allongement du délai légal pour avorter de 12 à 14 semaines. Le texte prévoit aussi la suppression du
Depuis le 29 novembre dernier, la proposition de loi initiée par le député Albane Gaillot visant à « renforcer le droit à l’avortement » est de retour à l’Assemblée nationale après un passage au Sénat.
Ces militantes sont venues exprimer leur retenue quant à l’allongement des délais légaux d’accès à l’IVG de douze à quatorze semaines et la suppression de la clause de conscience des professionnels de santé.
L’Église, dernier rempart moral dans cette société, ne vient-elle pas d’ouvrir une brèche dans laquelle certains ne manqueront pas de s’engouffrer ?
Cette loi donne un cadre législatif pour promouvoir un business de la procréation…
Je suis étonné que les Français ne soient pas capables de faire un lien entre les enfants non nés (avortés pendant des décennies), et le flux migratoire orchestré par nos élites pour combler le vide démographique…
Bien évidemment, à aucun moment ne sera abordée la question du traumatisme de la femme devant avorter sous anesthésie locale en ambulatoire et qui rentrera, aussitôt fait, chez elle !
Si quinze femmes vont avorter à sept mois, il faudra faire une loi ?
À ne promouvoir que le relativisme, tu vas, chère France actuelle, créer une telle série d’équipes différentes de gilets jaunes que tu en perdras ce qui te reste de tête.
À mon avis, le pape aime bien faire péter les plombs. Et jamais aux mêmes…
La vie de l’enfant n’est plus respectée, ce dernier n’est plus accueilli pour lui-même mais en fonction de ce qu’il est convenu d’appeler, aujourd’hui, le « projet parental ».
Le Sénat est, depuis Rome, le lieu de la pérennité et de la dignité. Ça ne fait pas de mal de s’en souvenir…
Le projet vient d’être présenté au Conseil des ministres. L’enjeu ? La liberté de conscience des professionnels de santé
« Le gouvernement n’aide pas la femme qui n’a pas les moyens d’avoir un enfant »
Dans sa tour d’ivoire idéologique, Anne Hidalgo serait-elle aussi déconnectée de la réalité ?
En interview, le cinéaste confiait : « je voulais que le film puisse clairement signifier que chaque naissance compte, que chaque vie a sa place »
Cette pagaille ne suffisant manifestement pas, les féministes ont dès lors trouvé le moyen de s’écharper entre elles.
Alors que l’annulation par la Cour suprême américaine de l’arrêté de 1973 Roe v. Wade faisant de l’avortement un droit national a créé l’émoi dans
Cet arrêté est tout simplement, pour le peuple souverain, avoir de nouveau la capacité de choisir.
Tout en feignant d’atténuer le coup de pied de l’âne qu’il porte à Renaissance en assurant que, par bonheur, « dans la majorité, on est libre de penser différemment les choses », François Bayrou a bel et bien rompu l’union sacrée entre amis manigancée dans le cénacle élyséen.
Malgré un combat compliqué à mener en France, une jeunesse décomplexée se lève et ne se décourage pas.
Vendredi, la Cour suprême des États-Unis d’Amérique a annulé le fameux arrêt Roe v. Wade, datant de 1973, qui jugeait le droit à l’avortement conforme à la Constitution américaine. Un véritable séisme aux États-Unis.
Cette initiative répond à la décision prise, vendredi, par la Cour suprême américaine de révoquer le droit à l’avortement au niveau fédéral.
La révélation de Politico n’est qu’une confirmation du fossé qui ce creuse entre deux Amériques. L’une qui demande aux écoles d’inclure les transgenres dans les équipes sportives, l’autre qui prive Disney de financement car jugé trop « woke »..
Le décret a en effet été publié au Journal officiel ce samedi.
En cette ère Covid où nul décompte des morts quotidiens ne nous est épargné, il n’est pas inintéressant de se rappeler que la première cause de mortalité dans le monde est l’avortement.
Si la thématique de l’avortement n’est quasiment jamais abordée par les candidats à la présidentielle, elle n’en demeure pas moins d’actualité : le 19 janvier
Nicolas Meizonnet s’est opposé, dans l’Hémicycle, à l’allongement du délai légal pour avorter de 12 à 14 semaines. Le texte prévoit aussi la suppression du
Depuis le 29 novembre dernier, la proposition de loi initiée par le député Albane Gaillot visant à « renforcer le droit à l’avortement » est de retour à l’Assemblée nationale après un passage au Sénat.
Ces militantes sont venues exprimer leur retenue quant à l’allongement des délais légaux d’accès à l’IVG de douze à quatorze semaines et la suppression de la clause de conscience des professionnels de santé.
L’Église, dernier rempart moral dans cette société, ne vient-elle pas d’ouvrir une brèche dans laquelle certains ne manqueront pas de s’engouffrer ?
Cette loi donne un cadre législatif pour promouvoir un business de la procréation…
Je suis étonné que les Français ne soient pas capables de faire un lien entre les enfants non nés (avortés pendant des décennies), et le flux migratoire orchestré par nos élites pour combler le vide démographique…
Bien évidemment, à aucun moment ne sera abordée la question du traumatisme de la femme devant avorter sous anesthésie locale en ambulatoire et qui rentrera, aussitôt fait, chez elle !
Si quinze femmes vont avorter à sept mois, il faudra faire une loi ?
À ne promouvoir que le relativisme, tu vas, chère France actuelle, créer une telle série d’équipes différentes de gilets jaunes que tu en perdras ce qui te reste de tête.
À mon avis, le pape aime bien faire péter les plombs. Et jamais aux mêmes…
La vie de l’enfant n’est plus respectée, ce dernier n’est plus accueilli pour lui-même mais en fonction de ce qu’il est convenu d’appeler, aujourd’hui, le « projet parental ».