Avortement
La vie de l’enfant n’est plus respectée, ce dernier n’est plus accueilli pour lui-même mais en fonction de ce qu’il est convenu d’appeler, aujourd’hui, le « projet parental ».
Des sénateurs communistes – il en reste grâce à la bienveillance du PS – proposent d’inscrire dans la Constitution l’avortement « principe fondamental de notre République ».
La grande majorité des avortements est compensée par des naissances futures qui ne seraient pas survenues si ces avortements n’avaient pas eu lieu.
« J’aurais aimé que les évêques de France s’appuient sur les textes de Vatican II. Je rappelle que les textes de Vatican II sont très clairs sur l’avortement. »
Merci Monseigneur !
L’amour relié au foyer naturel, primitif, celui constitué d’un homme et d’une femme, est aujourd’hui devenu tabou et évoquer la possibilité de ne pas avorter devient un blasphème.
Le pape François aurait nommé Dame commandeur dans l’ordre de Saint-Grégoire-le-Grand l’ancien ministre néerlandais Elisabeth Maria, dite « Lilianne » Ploumen : la nouvelle icône européenne de la promotion de l’avortement !
Dès le mois d’octobre, le président Andrzej Duda avait annoncé son intention de ratifier, si elle est adoptée par le parlement, la loi interdisant les avortements eugéniques.
Il a porté de sa créativité et de son énergie à peu près toutes les causes indéfendables.
Maeva Anissa est condamnée parce que considérant que l’avortement n’est pas un droit, seulement une solution de dernier recours en cas de détresse ultime.
Une forte probabilité que l’enfant soit trisomique suffit aujourd’hui à justifier son meurtre.
Sommes-nous obligés d’être idiots parce que les autres sont stupides, excessifs parce qu’ils sont caricaturaux, agressifs parce qu’ils sont violents ?
Émile Duport a créé un site sur Simone Veil pour rétablir la vérité sur la loi Veil.
Mais que veut cet homme ? Être lynché par la bien-pensance ?
L’IVG, au fil des années, est devenu un acronyme administratif, un droit à tuer.
Le plus grand hommage qu’on puisse rendre à Simone Veil, c’est de ne pas la réduire, en bien ou en mal, à l’image qu’on veut en donner.
Si l’IVG est érigé en droit fondamental et ne peut pas être remis en question, comment avons nous pu remettre en question la peine de mort ?
L’avortement est un sujet humanitaire et social plus que politique, et une question trop passionnelle pour faire l’objet d’un débat de fond sur les réseaux sociaux.
Après la Roumanie, la Pologne et la Moldavie c’est en Croatie que des dizaines de milliers de personnes sont descendues dans la rue contre l’avortement.
Les « Survivants » ont recouvert le métro de Paris avec les vainqueurs du premier tour en les appelant à prendre à bras-le-corps le sujet de l’avortement.
La vie de l’enfant n’est plus respectée, ce dernier n’est plus accueilli pour lui-même mais en fonction de ce qu’il est convenu d’appeler, aujourd’hui, le « projet parental ».
Des sénateurs communistes – il en reste grâce à la bienveillance du PS – proposent d’inscrire dans la Constitution l’avortement « principe fondamental de notre République ».
La grande majorité des avortements est compensée par des naissances futures qui ne seraient pas survenues si ces avortements n’avaient pas eu lieu.
« J’aurais aimé que les évêques de France s’appuient sur les textes de Vatican II. Je rappelle que les textes de Vatican II sont très clairs sur l’avortement. »
Merci Monseigneur !
L’amour relié au foyer naturel, primitif, celui constitué d’un homme et d’une femme, est aujourd’hui devenu tabou et évoquer la possibilité de ne pas avorter devient un blasphème.
Le pape François aurait nommé Dame commandeur dans l’ordre de Saint-Grégoire-le-Grand l’ancien ministre néerlandais Elisabeth Maria, dite « Lilianne » Ploumen : la nouvelle icône européenne de la promotion de l’avortement !
Dès le mois d’octobre, le président Andrzej Duda avait annoncé son intention de ratifier, si elle est adoptée par le parlement, la loi interdisant les avortements eugéniques.
Il a porté de sa créativité et de son énergie à peu près toutes les causes indéfendables.
Maeva Anissa est condamnée parce que considérant que l’avortement n’est pas un droit, seulement une solution de dernier recours en cas de détresse ultime.
Une forte probabilité que l’enfant soit trisomique suffit aujourd’hui à justifier son meurtre.
Sommes-nous obligés d’être idiots parce que les autres sont stupides, excessifs parce qu’ils sont caricaturaux, agressifs parce qu’ils sont violents ?
Émile Duport a créé un site sur Simone Veil pour rétablir la vérité sur la loi Veil.
Mais que veut cet homme ? Être lynché par la bien-pensance ?
L’IVG, au fil des années, est devenu un acronyme administratif, un droit à tuer.
Le plus grand hommage qu’on puisse rendre à Simone Veil, c’est de ne pas la réduire, en bien ou en mal, à l’image qu’on veut en donner.
Si l’IVG est érigé en droit fondamental et ne peut pas être remis en question, comment avons nous pu remettre en question la peine de mort ?
L’avortement est un sujet humanitaire et social plus que politique, et une question trop passionnelle pour faire l’objet d’un débat de fond sur les réseaux sociaux.
Après la Roumanie, la Pologne et la Moldavie c’est en Croatie que des dizaines de milliers de personnes sont descendues dans la rue contre l’avortement.
Les « Survivants » ont recouvert le métro de Paris avec les vainqueurs du premier tour en les appelant à prendre à bras-le-corps le sujet de l’avortement.
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