Banlieues
Le rapport décrit une France assise sur une poudrière en banlieue et invite à « sécuriser les armureries ».
Dans les quartiers populaires, la gauche radicale de Jean-Luc-Mélenchon a supplanté la gauche modérée.
Quatre ans après Les Misérables, notre vertueux réalisateur tente de retrouver le succès avec Bâtiment 5.
Cette approche du traitement des émeutes relève au mieux d’une grande naïveté et au pire d’une grave incompétence.
Drapées dans leurs drapeaux algériens et marocains, les trois « splendides » laissent là le spectateur, abasourdi par tous ces qualificatifs, après lui avoir largement fait comprendre qu’il n’était chez lui que par sursis.
L’année passée, un raid cycliste vers les côtes normandes se monta à 25.000 euros. À l’escalade de la violence, celle-ci répond par une offre de dépaysement toujours plus coûteuse.
La date de mise à feu du pétard mouillé est fixée au 22 septembre.
Le rodéo urbain procure des émotions plus fortes qu’un vulgaire tir au mortier d’artifice contre une gendarmerie. Evidemment, c’est un peu plus coûteux.
Une audace qui n’a évidemment pas été relevée par les médias, ceux-ci préférant souligner cette expression de l’artiste : « La France, ce pays exotique et paradoxal, rempli de gens heureux… qui adorent être malheureux. »
En déplacement aux Mureaux, le 19 mai dernier, une ville frappée par la délinquance, Élisabeth Borne préférait parler égalité femme-homme et changement climatique.
Abandonnées vraiment, les banlieues d’immigration ? Combien de milliards déversés et à venir ? Nous avons fait le point.
Aucune réforme des banlieues ne pourra se mettre en place, si la paix publique n’est pas revenue et si les lois de la république n’y sont pas respectées dans les moindre recoins.
Tout candidat à la présidence de la République devrait s’assigner l’objectif de sortir de la lutte des classes ou du mépris de classe pour chercher à réunir toutes les Français.
Depuis plusieurs semaines, les forces de sécurité font face à une spirale infernale de violences urbaines dans « les quartiers de reconquête républicaine », partout
« On propose aux jeunes de se retrousser les manches et de retrouver le sens de leur Histoire…
Où sont passés les saint Vincent de Paul, ses petites sœurs des pauvres, les filles de la Charité ?
Qui est le plus responsable : le lion qui dévore dans la cage ou le dompteur défaillant ?
Certaines cités se sont tellement habituées à transgresser en autarcie que tout retour de l’autorité est perçu comme un scandale.
Il y a les Français qui doivent respecter la loi et ceux qui ont le droit d’y déroger. Tout dépend de leur quartier.
C’est l’armée qui devrait être envoyée dans ces territoires perdus de la République.
Une dizaine de jours plus tard, les services d’urgence et de réanimation de Seine-Saint-Denis se retrouvent surchargés et « il n’y a plus une seule place de réanimation dans le 93 », titre Le Monde, ce 26 mars.
On trouvera quelques irresponsables pour expliquer que ces actes de violence sont regrettables mais sont la conséquence d’une politique de la ville insuffisante…
A la suite du plan banlieue, spécifique au département de la Seine-Saint-Denis, Boulevard Voltaire a recueilli la réaction et les explications de Sébastien Meurant. Par
Bilan de la soirée : pompiers et forces de l’ordre sont tenus en échec.
On peut être en échec scolaire et réussir dans les affaires…
Lanceuse d’alerte ou danseuse alerte ?
Le rapport décrit une France assise sur une poudrière en banlieue et invite à « sécuriser les armureries ».
Dans les quartiers populaires, la gauche radicale de Jean-Luc-Mélenchon a supplanté la gauche modérée.
Quatre ans après Les Misérables, notre vertueux réalisateur tente de retrouver le succès avec Bâtiment 5.
Cette approche du traitement des émeutes relève au mieux d’une grande naïveté et au pire d’une grave incompétence.
Drapées dans leurs drapeaux algériens et marocains, les trois « splendides » laissent là le spectateur, abasourdi par tous ces qualificatifs, après lui avoir largement fait comprendre qu’il n’était chez lui que par sursis.
L’année passée, un raid cycliste vers les côtes normandes se monta à 25.000 euros. À l’escalade de la violence, celle-ci répond par une offre de dépaysement toujours plus coûteuse.
La date de mise à feu du pétard mouillé est fixée au 22 septembre.
Le rodéo urbain procure des émotions plus fortes qu’un vulgaire tir au mortier d’artifice contre une gendarmerie. Evidemment, c’est un peu plus coûteux.
Une audace qui n’a évidemment pas été relevée par les médias, ceux-ci préférant souligner cette expression de l’artiste : « La France, ce pays exotique et paradoxal, rempli de gens heureux… qui adorent être malheureux. »
En déplacement aux Mureaux, le 19 mai dernier, une ville frappée par la délinquance, Élisabeth Borne préférait parler égalité femme-homme et changement climatique.
Abandonnées vraiment, les banlieues d’immigration ? Combien de milliards déversés et à venir ? Nous avons fait le point.
Aucune réforme des banlieues ne pourra se mettre en place, si la paix publique n’est pas revenue et si les lois de la république n’y sont pas respectées dans les moindre recoins.
Tout candidat à la présidence de la République devrait s’assigner l’objectif de sortir de la lutte des classes ou du mépris de classe pour chercher à réunir toutes les Français.
Depuis plusieurs semaines, les forces de sécurité font face à une spirale infernale de violences urbaines dans « les quartiers de reconquête républicaine », partout
« On propose aux jeunes de se retrousser les manches et de retrouver le sens de leur Histoire…
Où sont passés les saint Vincent de Paul, ses petites sœurs des pauvres, les filles de la Charité ?
Qui est le plus responsable : le lion qui dévore dans la cage ou le dompteur défaillant ?
Certaines cités se sont tellement habituées à transgresser en autarcie que tout retour de l’autorité est perçu comme un scandale.
Il y a les Français qui doivent respecter la loi et ceux qui ont le droit d’y déroger. Tout dépend de leur quartier.
C’est l’armée qui devrait être envoyée dans ces territoires perdus de la République.
Une dizaine de jours plus tard, les services d’urgence et de réanimation de Seine-Saint-Denis se retrouvent surchargés et « il n’y a plus une seule place de réanimation dans le 93 », titre Le Monde, ce 26 mars.
On trouvera quelques irresponsables pour expliquer que ces actes de violence sont regrettables mais sont la conséquence d’une politique de la ville insuffisante…
A la suite du plan banlieue, spécifique au département de la Seine-Saint-Denis, Boulevard Voltaire a recueilli la réaction et les explications de Sébastien Meurant. Par
Bilan de la soirée : pompiers et forces de l’ordre sont tenus en échec.
On peut être en échec scolaire et réussir dans les affaires…
Lanceuse d’alerte ou danseuse alerte ?
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