Bardella

Une petite-fille de Le Pen à Jérusalem ? Dans un monde sans manichéisme, BHL est déboussolé.

Si Bayrou parle de « fanatisme », sans nommer l’islamiste algérien sous OQTF, Retailleau met la pression sur l’Algérie.

Chez Christine Kelly, Jordan Bardella a montré qu’il n’avait pas pris que de la barbe.

Le député RN J.-P. Tanguy a déniché 25 milliards d’euros d’économies sur l’Europe, les éoliennes ou… l’immigration.

Marine Le Pen a ainsi beau jeu de le rappeler : « Macron a choisi le chaos. »

Malgré la victoire confisquée, malgré les diversions de l’été, il y a toujours 39 % de Français pour vouloir Bardella !

Les patrons, si précieux et brillants soient-ils, ne sont en charge ni de la France ni de l’intérêt général.

Le RN est donné à 33-35 %, devant la gauche à 25 % et les macronistes à 20 %. La gauche effraie, le RN est vu en rempart

N’en déplaise aux féministes de la vieille école, les électrices sont séduites par Marine Le Pen et Jordan Bardella.

Jamais les conditions d’une grande union des droites n’ont été à ce point réunies.

Les colloques de conseillers techniques ont remplacé les débats où Giscard, Mitterrand et Chirac combattaient avec art.

Le vote Bardella dans l’agglomération parisienne atteint le score inédit de 22 %, faisant un bond spectaculaire de 8 %

La robe noire de Marion, Mila n’entend pas l’hommage de Bellamy, L’Express jalouse BV et autres anecdotes.

Les trois candidats ne se sont pas ménagés. Immigration, charia, Europe : revue de leurs meilleures mots, sans tabous.

Si la liste macroniste était nettement battue par celle de Bardella, la question de son maintien à Matignon se poserait.

Le plus jeune président de la Ve République fait désormais face à un défi majeur : le péril jeune !

La rhétorique macronienne, proférée par Hayer ou Attal, relève typiquement du complotisme et du populisme.

Il chercherait un Breton. Au RN, on n’a pas ce souci : non seulement on a la tête de liste, mais on a aussi les Bretons

À six mois des élections européennes, le président du RN craint une campagne de coups bas médiatiques.

« Attal est populaire quand il parle comme le RN » : le parti de Marine Le Pen reste zen face à ce SCUD macroniste.

Un problème pour le RN, la popularité insolente de Jordan Bardella ? Euh, d’abord un problème pour les autres !
Reconquête, avec Marion Maréchal, décolle. Le Rassemblement national, avec Jordan Bardella, culmine à 30 %.

Ce 5 décembre, il a fait un sans-faute sur TF1 devant 5,35 millions de Français. La poussée du RN inquiète la Macronie.

Au moins les choses sont claires et le macronisme est nu : immigrationniste et progressiste à outrance ; de gauche, quoi

Le RN ne pouvait rêver d’être aussi officiellement intronisé comme le principal opposant à Emmanuel Macron.

Aurélien Taché ne pouvait laisser passer cet écart intolérable vers la liberté.
Le président du Rassemblement national (RN), Jordan Bardella, a annoncé qu’en « cas de dissolution de l’Assemblée nationale », son parti « ne présentera[it] pas de

Jordan Bardella et Louis Aliot sont deux candidats sur la même ligne, ils n’ont pas de points de divergence idéologique.

Une petite-fille de Le Pen à Jérusalem ? Dans un monde sans manichéisme, BHL est déboussolé.

Si Bayrou parle de « fanatisme », sans nommer l’islamiste algérien sous OQTF, Retailleau met la pression sur l’Algérie.

Chez Christine Kelly, Jordan Bardella a montré qu’il n’avait pas pris que de la barbe.

Le député RN J.-P. Tanguy a déniché 25 milliards d’euros d’économies sur l’Europe, les éoliennes ou… l’immigration.

Marine Le Pen a ainsi beau jeu de le rappeler : « Macron a choisi le chaos. »

Malgré la victoire confisquée, malgré les diversions de l’été, il y a toujours 39 % de Français pour vouloir Bardella !

Les patrons, si précieux et brillants soient-ils, ne sont en charge ni de la France ni de l’intérêt général.

Le RN est donné à 33-35 %, devant la gauche à 25 % et les macronistes à 20 %. La gauche effraie, le RN est vu en rempart

N’en déplaise aux féministes de la vieille école, les électrices sont séduites par Marine Le Pen et Jordan Bardella.

Jamais les conditions d’une grande union des droites n’ont été à ce point réunies.

Les colloques de conseillers techniques ont remplacé les débats où Giscard, Mitterrand et Chirac combattaient avec art.

Le vote Bardella dans l’agglomération parisienne atteint le score inédit de 22 %, faisant un bond spectaculaire de 8 %

La robe noire de Marion, Mila n’entend pas l’hommage de Bellamy, L’Express jalouse BV et autres anecdotes.

Les trois candidats ne se sont pas ménagés. Immigration, charia, Europe : revue de leurs meilleures mots, sans tabous.

Si la liste macroniste était nettement battue par celle de Bardella, la question de son maintien à Matignon se poserait.

Le plus jeune président de la Ve République fait désormais face à un défi majeur : le péril jeune !

La rhétorique macronienne, proférée par Hayer ou Attal, relève typiquement du complotisme et du populisme.

Il chercherait un Breton. Au RN, on n’a pas ce souci : non seulement on a la tête de liste, mais on a aussi les Bretons

À six mois des élections européennes, le président du RN craint une campagne de coups bas médiatiques.

« Attal est populaire quand il parle comme le RN » : le parti de Marine Le Pen reste zen face à ce SCUD macroniste.

Un problème pour le RN, la popularité insolente de Jordan Bardella ? Euh, d’abord un problème pour les autres !
Reconquête, avec Marion Maréchal, décolle. Le Rassemblement national, avec Jordan Bardella, culmine à 30 %.

Ce 5 décembre, il a fait un sans-faute sur TF1 devant 5,35 millions de Français. La poussée du RN inquiète la Macronie.

Au moins les choses sont claires et le macronisme est nu : immigrationniste et progressiste à outrance ; de gauche, quoi

Le RN ne pouvait rêver d’être aussi officiellement intronisé comme le principal opposant à Emmanuel Macron.

Aurélien Taché ne pouvait laisser passer cet écart intolérable vers la liberté.
Le président du Rassemblement national (RN), Jordan Bardella, a annoncé qu’en « cas de dissolution de l’Assemblée nationale », son parti « ne présentera[it] pas de

Jordan Bardella et Louis Aliot sont deux candidats sur la même ligne, ils n’ont pas de points de divergence idéologique.
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