Benjamin Griveaux
Emmanuel Macron voulait en finir avec les partis ? C’est chose faite. Le sien avec les autres.
Que cache la barbe de Philippe ?
À ce train et vu la forêt qui se dessine à l’horizon, les derniers Parisiens encore en mesure de se déplacer – à vélo, bien sûr – devront donc bientôt se munir d’une machette…
Alors comme elles s’invitent chez nous, les satanées bestioles s’invitent aujourd’hui dans la campagne des municipales.
Pour l’heure, les sondages donnent le maire sortant gagnant, suivi de Rachida Dati, Griveaux arrivant troisième.
On ne vitrifie pas, on verdifie.
Et pour en revenir à Paris, même si c’est l’année du rat, l’insalubrité de la capitale me semble être un problème plus sérieux à régler que le déplacement des gares à la campagne.
Alors, bienvenue à Macronie City !
Je n’ai aucun souci : nous ferons nettement plus que 5 %, le 15 mars, et les sondeurs mangeront leur chapeau.
À la manière d’un chauffeur de salle, le premier adjoint l’a annoncé sans détour : la mesure phare à couper le souffle du programme d’Anne
En attendant, les sondages se resserrent entre Anne Hidalgo et Rachida Dati…
J’ai la conviction que, dans les quatre mois qui nous restent, nous parviendrons aisément à dépasser les 10 % et à bouleverser la donne.
Ce François Bayrou , parti de rien pour n’arriver nulle part, mais ne devant son absence de destin qu’à lui-même, est décidément un enchantement de tous les instants.
Cette situation devrait redonner espoir à des forces alternatives : les sortants, bien sûr, mais aussi les alliances à droite qui fleurissent ici ou là.
Ils construisent donc la candidature de Villani comme ils ont construit celle de Macron aux élections…
Toute la Macronie doit se retrouver à cette université d’été rebaptisée « campus des territoires », tout le gouvernement et tous les petits et grands seigneurs de la Macronie et autres chefs à plume, notamment les candidats aux municipales.
Ce qui, en outre, est plutôt amusant, c’est que, comme on le dit maintenant, il « casse tous les codes ». Exactement ce que Macron disait vouloir faire, exactement ce qui est reproché à Villani par la Macronie.
On n’attend plus qu’il franchisse à la nage le Rubicon, ou plutôt la Seine.
Il faut tenir son rang, disait-on autrefois.
Ainsi, selon l’IFOP, 51 % des Parisiens auraient une bonne opinion de Cédric Villani, contre seulement 41 % pour Anne Hidalgo et 38 % pour ledit Benjamin Griveaux.
À la place du gandin, on se méfierait. Parce que des gommeux de son acabit, emplis de « morgue », d’autres morgues en sont emplis, de ces ex-futurs espoirs de la politique française…
Benjamin-Blaise Griveaux, ce n’est pas n’importe qui.
Benjamin Griveaux et Cédric Villani qui se disputent l’investiture élyséenne pour l’élection à la mairie de Paris en 2020 ? Un duel de titans tel
La France qui donne des leçons de morale à la Terre entière, se faire réprimander comme une vulgaire république bananière qu’elle n’est pas !
Le rapport de la commission d’enquête du Sénat sur « l’affaire Benalla » a été particulièrement critiqué par plusieurs membres du gouvernement. Au micro de Boulevard Voltaire,
L’affaire Benalla est bien une affaire d’État.
L’antisionisme, c’est avant tout la détestation d’Israël, et ce sentiment, qui est clairement de gauche, est puissant chez les musulmans, immigrés ou convertis.
Bref, mis à part remplacer Hidalgo par elle-même pour faire la même politique, Rachida Dati n’a pas grand-chose à avancer.
Emmanuel Macron voulait en finir avec les partis ? C’est chose faite. Le sien avec les autres.
Que cache la barbe de Philippe ?
À ce train et vu la forêt qui se dessine à l’horizon, les derniers Parisiens encore en mesure de se déplacer – à vélo, bien sûr – devront donc bientôt se munir d’une machette…
Alors comme elles s’invitent chez nous, les satanées bestioles s’invitent aujourd’hui dans la campagne des municipales.
Pour l’heure, les sondages donnent le maire sortant gagnant, suivi de Rachida Dati, Griveaux arrivant troisième.
On ne vitrifie pas, on verdifie.
Et pour en revenir à Paris, même si c’est l’année du rat, l’insalubrité de la capitale me semble être un problème plus sérieux à régler que le déplacement des gares à la campagne.
Alors, bienvenue à Macronie City !
Je n’ai aucun souci : nous ferons nettement plus que 5 %, le 15 mars, et les sondeurs mangeront leur chapeau.
À la manière d’un chauffeur de salle, le premier adjoint l’a annoncé sans détour : la mesure phare à couper le souffle du programme d’Anne
En attendant, les sondages se resserrent entre Anne Hidalgo et Rachida Dati…
J’ai la conviction que, dans les quatre mois qui nous restent, nous parviendrons aisément à dépasser les 10 % et à bouleverser la donne.
Ce François Bayrou , parti de rien pour n’arriver nulle part, mais ne devant son absence de destin qu’à lui-même, est décidément un enchantement de tous les instants.
Cette situation devrait redonner espoir à des forces alternatives : les sortants, bien sûr, mais aussi les alliances à droite qui fleurissent ici ou là.
Ils construisent donc la candidature de Villani comme ils ont construit celle de Macron aux élections…
Toute la Macronie doit se retrouver à cette université d’été rebaptisée « campus des territoires », tout le gouvernement et tous les petits et grands seigneurs de la Macronie et autres chefs à plume, notamment les candidats aux municipales.
Ce qui, en outre, est plutôt amusant, c’est que, comme on le dit maintenant, il « casse tous les codes ». Exactement ce que Macron disait vouloir faire, exactement ce qui est reproché à Villani par la Macronie.
On n’attend plus qu’il franchisse à la nage le Rubicon, ou plutôt la Seine.
Il faut tenir son rang, disait-on autrefois.
Ainsi, selon l’IFOP, 51 % des Parisiens auraient une bonne opinion de Cédric Villani, contre seulement 41 % pour Anne Hidalgo et 38 % pour ledit Benjamin Griveaux.
À la place du gandin, on se méfierait. Parce que des gommeux de son acabit, emplis de « morgue », d’autres morgues en sont emplis, de ces ex-futurs espoirs de la politique française…
Benjamin-Blaise Griveaux, ce n’est pas n’importe qui.
Benjamin Griveaux et Cédric Villani qui se disputent l’investiture élyséenne pour l’élection à la mairie de Paris en 2020 ? Un duel de titans tel
La France qui donne des leçons de morale à la Terre entière, se faire réprimander comme une vulgaire république bananière qu’elle n’est pas !
Le rapport de la commission d’enquête du Sénat sur « l’affaire Benalla » a été particulièrement critiqué par plusieurs membres du gouvernement. Au micro de Boulevard Voltaire,
L’affaire Benalla est bien une affaire d’État.
L’antisionisme, c’est avant tout la détestation d’Israël, et ce sentiment, qui est clairement de gauche, est puissant chez les musulmans, immigrés ou convertis.
Bref, mis à part remplacer Hidalgo par elle-même pour faire la même politique, Rachida Dati n’a pas grand-chose à avancer.
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