Benjamin Griveaux
N’en déplaise à Mme Belloubet, il faut créer, partout où c’est nécessaire, des « maisons de redressement » !
Les gens qui n’en peuvent plus de payer toujours plus cher pour aller travailler, conduire les enfants à l’école, au foot, chez le médecin, c’est de la petite jacquerie.
Comment un « chef des armées », qui a évité le service militaire, insulté la présence française en Algérie et salué la mémoire d’un traître, peut-il avoir le culot de minimiser le rôle et les sacrifices des poilus et de leurs chefs…
Heureusement qu’il est censé savoir compter car il faudra bientôt un supercalculateur pour gérer les candidatures macronistes.
« Rien de ce qui se passe depuis 48 heures ne s’apparente à une crise politique », a déclaré, mercredi, sans rire, Benjamin Griveaux
Dommage que son addiction au jeune Emmanuel l’ait si longtemps aveuglé.
Lundi 17 septembre, Bruno Julliard, le premier adjoint d’Anne Hidalgo, a claqué la porte de la mairie de Paris sous prétexte de « grandes divergences politiques ».
Comme quoi il ne suffit pas d’une couche de vernis pour faire d’un nervi un commis de l’État.
Le sacrifice, c’est beau.
…c’est sans doute ainsi que l’on doit désormais appeler la baisse du pouvoir d’achat, notamment pour les familles et les retraités.
Comment donner chair à un ectoplasme…
Il n’est pas certain que Benjamin Griveaux soit le mieux placé pour donner des cours de comportement et se référer à l’honneur.
Il faut donc être bien noté, si l’on veut être de nouveau investi, et montrer qu’on est non seulement utile, mais indispensable…
Contrairement à la fin du quinquennat Hollande, les acteurs sont sur scène, sans masque, et la comédie du nouveau monde en est à son deuxième acte. Il serait temps que la droite suive le spectacle en temps réel.
N’en déplaise à Mme Belloubet, il faut créer, partout où c’est nécessaire, des « maisons de redressement » !
Les gens qui n’en peuvent plus de payer toujours plus cher pour aller travailler, conduire les enfants à l’école, au foot, chez le médecin, c’est de la petite jacquerie.
Comment un « chef des armées », qui a évité le service militaire, insulté la présence française en Algérie et salué la mémoire d’un traître, peut-il avoir le culot de minimiser le rôle et les sacrifices des poilus et de leurs chefs…
Heureusement qu’il est censé savoir compter car il faudra bientôt un supercalculateur pour gérer les candidatures macronistes.
« Rien de ce qui se passe depuis 48 heures ne s’apparente à une crise politique », a déclaré, mercredi, sans rire, Benjamin Griveaux
Dommage que son addiction au jeune Emmanuel l’ait si longtemps aveuglé.
Lundi 17 septembre, Bruno Julliard, le premier adjoint d’Anne Hidalgo, a claqué la porte de la mairie de Paris sous prétexte de « grandes divergences politiques ».
Comme quoi il ne suffit pas d’une couche de vernis pour faire d’un nervi un commis de l’État.
Le sacrifice, c’est beau.
…c’est sans doute ainsi que l’on doit désormais appeler la baisse du pouvoir d’achat, notamment pour les familles et les retraités.
Comment donner chair à un ectoplasme…
Il n’est pas certain que Benjamin Griveaux soit le mieux placé pour donner des cours de comportement et se référer à l’honneur.
Il faut donc être bien noté, si l’on veut être de nouveau investi, et montrer qu’on est non seulement utile, mais indispensable…
Contrairement à la fin du quinquennat Hollande, les acteurs sont sur scène, sans masque, et la comédie du nouveau monde en est à son deuxième acte. Il serait temps que la droite suive le spectacle en temps réel.
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