Bernard-Henri Levy
Le philosophe français à la chemise blanche a estimé qu’Israël a eu tort de rester neutre dans le conflit entre l’Ukraine et la Russie…
C’était l’union des gauches et du centre contre le méchant habitant du Kremlin, qualifié d’« ogre », de « dictateur », de « tyran paranoïaque » ou encore d’« imbécile ».
On aurait tort de prendre Dominique de Villepin pour sa propre caricature.
Dans ce grand jeu diplomatico-militaire, il ne manquait plus qu’une voix, forcément autorisée : celle de Bernard-Henri Lévy. C’est fait.
Ah, comme c’était dur, de garder son calme face à Éric Zemmour…
Dans ce climat nauséabond de victimisation frénétique, tout martyr vaut de l’or…
Un jour, peut-être, Trudeau finira par se repentir de s’être trop souvent repenti…
Chacun sait qu’il n’y a pas grand chemin du Capitole à la roche Tarpéienne !
Comme il ne vous suffit pas d’être un intellectuel médiatique, un philosophe de salon et un oracle de Delphes sans Pythie, vous voudriez aussi être un grand artiste…
De l’ex-Yougoslavie au Moyen-Orient en passant par le Rwanda, les méandres diplomatiques du « machin » qu’on appelle l’ONU n’ont obtenu que deux résultats : soit le chaos permanent, soit la victoire de l’un des adversaires, et pas nécessairement le meilleur.
Les donneurs de leçons judiciaires et humanistes avaient tout faux sur Cesare Battisti !
Sur le fond, BHL s’en tient au manichéisme cher aux intellectuels du temps, l’argument guerrier en bandoulière : l’Europe, c’est bien parce que c’est la paix. Point.
Sans avoir eu l’intention de le faire, le roi Philippe VI a répondu aux propos tenus par Sa Majesté Bernard–Henri Lévy, plus connu comme BHL l’Entarté.
BHL et Onfray se détestent maintenant, mais peuvent très bien faire la paix demain.
L’instrumentalisation de l’Histoire à des fins politiciennes est source d’indignation autant que d’inquiétude…
Le simple fait que Bernard-Henri Lévy puisse affirmer que l’indépendance des Kurdes de l’Irak et l’indépendance de la Catalogne, ce n’est pas la même chose, dénote qu’il se consume dans ses propres contradictions.
Rien ne serait plus accablant pour la démocratie – réflexe bête – que de constituer l’antisionisme comme un délit alors qu’il n’est pas TOUJOURS un antisémitisme.
Pour ces gens-là, finalement, la démocratie n’est pas un forum mais une cour dans laquelle le maître siffle la fin de la récréation quand il le souhaite.
Le gilet jaune fut l’omelette de trop, la tarte au citron qui ne passe pas. Ce trop-plein d’écœurement face à ces gens qu’ils ne connaissent pas devait être évacué.
D’après lui, pas de quoi fouetter un chat. Sûrement « pas une affaire d’État » !
le philosophe se produisait sur les planches londoniennes pour démonter consciencieusement le Brexit.
Au fait, le projet de loi sur les fake news, voulu tout spécialement par Emmanuel Macron, est en discussion à la commission des affaires culturelles de l’Assemblée nationale.
Cette représentation permettra à nouveau au mari d’Arielle (d’où la blancheur de sa chemise) de magnifier sa personne.
Je révèle cette information élémentaire mais qui change tout : Éric Dupond-Moretti n’est pas Abdelkader Merah.
Cette fois-ci, c’est à Belgrade. regardez.
La face du monde, assurément, va s’en trouver changée.
Le philosophe français à la chemise blanche a estimé qu’Israël a eu tort de rester neutre dans le conflit entre l’Ukraine et la Russie…
C’était l’union des gauches et du centre contre le méchant habitant du Kremlin, qualifié d’« ogre », de « dictateur », de « tyran paranoïaque » ou encore d’« imbécile ».
On aurait tort de prendre Dominique de Villepin pour sa propre caricature.
Dans ce grand jeu diplomatico-militaire, il ne manquait plus qu’une voix, forcément autorisée : celle de Bernard-Henri Lévy. C’est fait.
Ah, comme c’était dur, de garder son calme face à Éric Zemmour…
Dans ce climat nauséabond de victimisation frénétique, tout martyr vaut de l’or…
Un jour, peut-être, Trudeau finira par se repentir de s’être trop souvent repenti…
Chacun sait qu’il n’y a pas grand chemin du Capitole à la roche Tarpéienne !
Comme il ne vous suffit pas d’être un intellectuel médiatique, un philosophe de salon et un oracle de Delphes sans Pythie, vous voudriez aussi être un grand artiste…
De l’ex-Yougoslavie au Moyen-Orient en passant par le Rwanda, les méandres diplomatiques du « machin » qu’on appelle l’ONU n’ont obtenu que deux résultats : soit le chaos permanent, soit la victoire de l’un des adversaires, et pas nécessairement le meilleur.
Les donneurs de leçons judiciaires et humanistes avaient tout faux sur Cesare Battisti !
Sur le fond, BHL s’en tient au manichéisme cher aux intellectuels du temps, l’argument guerrier en bandoulière : l’Europe, c’est bien parce que c’est la paix. Point.
Sans avoir eu l’intention de le faire, le roi Philippe VI a répondu aux propos tenus par Sa Majesté Bernard–Henri Lévy, plus connu comme BHL l’Entarté.
BHL et Onfray se détestent maintenant, mais peuvent très bien faire la paix demain.
L’instrumentalisation de l’Histoire à des fins politiciennes est source d’indignation autant que d’inquiétude…
Le simple fait que Bernard-Henri Lévy puisse affirmer que l’indépendance des Kurdes de l’Irak et l’indépendance de la Catalogne, ce n’est pas la même chose, dénote qu’il se consume dans ses propres contradictions.
Rien ne serait plus accablant pour la démocratie – réflexe bête – que de constituer l’antisionisme comme un délit alors qu’il n’est pas TOUJOURS un antisémitisme.
Pour ces gens-là, finalement, la démocratie n’est pas un forum mais une cour dans laquelle le maître siffle la fin de la récréation quand il le souhaite.
Le gilet jaune fut l’omelette de trop, la tarte au citron qui ne passe pas. Ce trop-plein d’écœurement face à ces gens qu’ils ne connaissent pas devait être évacué.
D’après lui, pas de quoi fouetter un chat. Sûrement « pas une affaire d’État » !
le philosophe se produisait sur les planches londoniennes pour démonter consciencieusement le Brexit.
Au fait, le projet de loi sur les fake news, voulu tout spécialement par Emmanuel Macron, est en discussion à la commission des affaires culturelles de l’Assemblée nationale.
Cette représentation permettra à nouveau au mari d’Arielle (d’où la blancheur de sa chemise) de magnifier sa personne.
Je révèle cette information élémentaire mais qui change tout : Éric Dupond-Moretti n’est pas Abdelkader Merah.
Cette fois-ci, c’est à Belgrade. regardez.
La face du monde, assurément, va s’en trouver changée.
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