blocage universités
Une pétition demande à la présidente « la libération immédiate et inconditionnelle » du bâtiment occupé et saccagé.
Une image fait le tour du monde : l’incendie de la porte séculaire du palais Rohan, l’hôtel de ville de Bordeaux.
Partout en France, une cinquantaine d’universités sont concernées par les blocages. Même les facultés historiquement moins ou peu militantes se retrouvent embrigadés par le mouvement.
On laisse ces jeunes gaucho-zadistes faire leur petite crise, imposer leur loi, casser, voler en toute impunité. On en rajoute dans la complaisance. Les universitaires de gauche se font tout discrets devant cette barbarie.
Au printemps dernier, le montant des dégâts avait été évalué entre 600.000 et 800.000 euros. Mardi matin, des militants d’extrême gauche ont tenté de recommencer
Pendant que ces jeunes dilettantes déprécient le savoir, des cohortes de brillants diplômés se préparent, en Asie, à prendre le relais de l’innovation et de la création.
Ils voudraient que, pour changer, on arrête de parler des faux étudiants bloqueurs pour parler d’eux, les vrais étudiants, ceux qui ont envie de travailler
Alors que dans le monde, les universités sont les pôles d’excellence, en France, elles sont devenues le dernier recours des étudiants les moins brillants.
Pour eux, le vol est le seul moyen qu’ils envisagent pour devenir propriétaires de quoi que ce soit.
Lilâ, elle est vraiment trop cool ! Je me demande pourquoi Jean-Jacques Bourdin ne l’a pas encore invitée pour parler de sa super proposition.
Vendredi matin, des étudiants opposés à la réforme de l’université, ont bloqué le centre d’examens d’Arcueil, empêchant les étudiants de Nanterre non grévistes d’ effectuer leurs partiels. Des cheminots, des postiers ainsi que député de la France Insoumise, Eric Coquerel, étaient présents pour soutenir l’action des bloqueurs. les examens ont dû être annulés.
Réaction de Samuel Lafont au micro de Boulevard Voltaire.
Toulouse n’est pas rouge que de ses briques. Elle l’est au cœur depuis toujours et le Mirail est, depuis sa création, la marmite où mitonne la potion magique des lendemains qui déchantent.
239 élèves et anciens élèves sont tombés au champ d’honneur durant la Première Guerre mondiale, et les noms sont inscrits sur ce monument par ordre de promotion.
Et lorsque la réalité ment, il faut lui faire dire la vérité dont on a besoin.
Il va sans dire que les “professeurs” dispensateurs de ces cours mirobolants sont des personnalités très marquées à gauche.
Et pourtant, ils l’auraient aimé ce blessé grave, voire même ce mort. De quoi rejouer l’affaire Malik Oussékine.
On pourrait au moins exiger des « occupants » la remise en état des lieux saccagés à leurs frais.
Qui est à la manœuvre ?
Dans les médias, on ne voit que les bloqueurs, et même des individus qui ne sont pas étudiants… Clément Armato, porte-parole de l’UNI, s’indigne de
Une pétition demande à la présidente « la libération immédiate et inconditionnelle » du bâtiment occupé et saccagé.
Une image fait le tour du monde : l’incendie de la porte séculaire du palais Rohan, l’hôtel de ville de Bordeaux.
Partout en France, une cinquantaine d’universités sont concernées par les blocages. Même les facultés historiquement moins ou peu militantes se retrouvent embrigadés par le mouvement.
On laisse ces jeunes gaucho-zadistes faire leur petite crise, imposer leur loi, casser, voler en toute impunité. On en rajoute dans la complaisance. Les universitaires de gauche se font tout discrets devant cette barbarie.
Au printemps dernier, le montant des dégâts avait été évalué entre 600.000 et 800.000 euros. Mardi matin, des militants d’extrême gauche ont tenté de recommencer
Pendant que ces jeunes dilettantes déprécient le savoir, des cohortes de brillants diplômés se préparent, en Asie, à prendre le relais de l’innovation et de la création.
Ils voudraient que, pour changer, on arrête de parler des faux étudiants bloqueurs pour parler d’eux, les vrais étudiants, ceux qui ont envie de travailler
Alors que dans le monde, les universités sont les pôles d’excellence, en France, elles sont devenues le dernier recours des étudiants les moins brillants.
Pour eux, le vol est le seul moyen qu’ils envisagent pour devenir propriétaires de quoi que ce soit.
Lilâ, elle est vraiment trop cool ! Je me demande pourquoi Jean-Jacques Bourdin ne l’a pas encore invitée pour parler de sa super proposition.
Vendredi matin, des étudiants opposés à la réforme de l’université, ont bloqué le centre d’examens d’Arcueil, empêchant les étudiants de Nanterre non grévistes d’ effectuer leurs partiels. Des cheminots, des postiers ainsi que député de la France Insoumise, Eric Coquerel, étaient présents pour soutenir l’action des bloqueurs. les examens ont dû être annulés.
Réaction de Samuel Lafont au micro de Boulevard Voltaire.
Toulouse n’est pas rouge que de ses briques. Elle l’est au cœur depuis toujours et le Mirail est, depuis sa création, la marmite où mitonne la potion magique des lendemains qui déchantent.
239 élèves et anciens élèves sont tombés au champ d’honneur durant la Première Guerre mondiale, et les noms sont inscrits sur ce monument par ordre de promotion.
Et lorsque la réalité ment, il faut lui faire dire la vérité dont on a besoin.
Il va sans dire que les “professeurs” dispensateurs de ces cours mirobolants sont des personnalités très marquées à gauche.
Et pourtant, ils l’auraient aimé ce blessé grave, voire même ce mort. De quoi rejouer l’affaire Malik Oussékine.
On pourrait au moins exiger des « occupants » la remise en état des lieux saccagés à leurs frais.
Qui est à la manœuvre ?
Dans les médias, on ne voit que les bloqueurs, et même des individus qui ne sont pas étudiants… Clément Armato, porte-parole de l’UNI, s’indigne de
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
Le message envoyé, c’est que ce n’est pas très grave d’agresser un médecin
Lire la vidéo
