Bolloré
L’objectif : faire de l’ESJ Paris une école de référence reconnue par la profession.
La station séduit 2,486 millions de paires d’oreilles, soit 347.000 de plus depuis sa reprise par le groupe Bolloré.
Le cas C8 est emblématique pour les téléspectateurs français, d’abord.
Le mauvais goût a tous les droits quand il est drôle et talentueux, mais là…
« En interne, les gens sont évidemment très inquiets pour la suite », témoigne une salariée.
L’homme vaut mieux qu’un faire-valoir pour militants anti-Bolloré, point de ralliement paresseux de la gauche.
Le titre intéresserait Vincent Bolloré et Pierre-Edouard Stérin : cirque médiatique garanti en cas de succès !
La mésaventure de la syndicaliste illustre l’hypocrisie d’une gauche aussi sectaire que malhonnête.
Une autre personnalité fait parler d’elle : Jordan Bardella, en tête dans les sondages pour les élections européennes.
Dans son dossier, L’Obs va jusqu’à comparer Pascal Praud à un journaliste négationniste et antisémite notoire.
Si l’exécutif promet un comité indépendant, force est de constater que le casting retenu n’a rien de neutre.
Quelle différence avec le modèle américain ! Outre-Atlantique, l’existence d’une chaîne clairement de droite comme Fox News n’est jamais remise en cause.
Le très macroniste milliardaire des télécoms tente aujourd’hui sa chance avec un projet ficelé à la va-vite. Il aura une heure pour convaincre.
« S’il n’avait pas mis tout son empire au service d’Éric Zemmour, je ne me serais jamais lancé dans cette croisade », explique l’écrivain Erik Orsenna.
France Bleu perd… 564.000 paires d’oreilles et France Info en abandonne 115.000 ! Bilan des courses pour la maison mère de France Inter : 278.000 auditeurs partis voir si l’herbe n’est pas un peu moins rouge-verte ailleurs.
La très moralisante radio de service public, tout sauf neutre, a encore élargi son spectre et son influence en période électorale. Mais elle donne des signes de faiblesse.
À gauche, Bolloré a pris les dimensions d’un fantasme, d’un épouvantail à moineaux politiquement corrects. Il est partout, il voit tout, il finance tout, il manigance tout, jusqu’à cette élection présidentielle.
L’objectif : faire de l’ESJ Paris une école de référence reconnue par la profession.
La station séduit 2,486 millions de paires d’oreilles, soit 347.000 de plus depuis sa reprise par le groupe Bolloré.
Le cas C8 est emblématique pour les téléspectateurs français, d’abord.
Le mauvais goût a tous les droits quand il est drôle et talentueux, mais là…
« En interne, les gens sont évidemment très inquiets pour la suite », témoigne une salariée.
L’homme vaut mieux qu’un faire-valoir pour militants anti-Bolloré, point de ralliement paresseux de la gauche.
Le titre intéresserait Vincent Bolloré et Pierre-Edouard Stérin : cirque médiatique garanti en cas de succès !
La mésaventure de la syndicaliste illustre l’hypocrisie d’une gauche aussi sectaire que malhonnête.
Une autre personnalité fait parler d’elle : Jordan Bardella, en tête dans les sondages pour les élections européennes.
Dans son dossier, L’Obs va jusqu’à comparer Pascal Praud à un journaliste négationniste et antisémite notoire.
Si l’exécutif promet un comité indépendant, force est de constater que le casting retenu n’a rien de neutre.
Quelle différence avec le modèle américain ! Outre-Atlantique, l’existence d’une chaîne clairement de droite comme Fox News n’est jamais remise en cause.
Le très macroniste milliardaire des télécoms tente aujourd’hui sa chance avec un projet ficelé à la va-vite. Il aura une heure pour convaincre.
« S’il n’avait pas mis tout son empire au service d’Éric Zemmour, je ne me serais jamais lancé dans cette croisade », explique l’écrivain Erik Orsenna.
France Bleu perd… 564.000 paires d’oreilles et France Info en abandonne 115.000 ! Bilan des courses pour la maison mère de France Inter : 278.000 auditeurs partis voir si l’herbe n’est pas un peu moins rouge-verte ailleurs.
La très moralisante radio de service public, tout sauf neutre, a encore élargi son spectre et son influence en période électorale. Mais elle donne des signes de faiblesse.
À gauche, Bolloré a pris les dimensions d’un fantasme, d’un épouvantail à moineaux politiquement corrects. Il est partout, il voit tout, il finance tout, il manigance tout, jusqu’à cette élection présidentielle.