Boris Johnson
En revanche, 46.000 embarcations illégales ont réussi à traverser, l’année dernière.
La classe politique a fini par accepter avec résignation la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne.
En l’état, Boris Johnson a-t-il encore un avenir politique ? On l’a vu trébucher, tomber et se relever tant de fois qu’il est encore bien tôt pour l’enterrer de son vivant…
Boris Johnson a décidé de renvoyer tous les migrants illégaux arrivant sur le territoire britannique vers le Rwanda, suite à un accord passé avec ce
Est-il impossible de restreindre l’immigration dans son pays ?
En envoyant des demandeurs d’asile à plus de 6.000 kilomètres de Londres, le gouvernement souhaite dissuader tout nouveau migrant de venir sur le sol britannique.
Alors que Boris Johnson risquait son poste, hier, suite à un vote de défiance déclenché au sein de son parti, il est aujourd’hui encore Premier
Outre-Manche, Boris Johnson, cheveux en bataille façon « j’ai énormément réfléchi », se lance sur le sujet au risque de sombrer dans la transphobie la plus éliminatoire.
En France comme au Royaume-Uni, les malheurs de Johnson laissent espérer la fin de la politique frondeuse qu’il mène face à Bruxelles. Mais le changement de gouvernement n’entraînerait pas une modification profonde de la politique britannique.
Le dirigeant conservateur s’est, en effet, expliqué au Parlement ce matin, arguant : « Alors que le Covid devient endémique, nous devons remplacer les obligations légales par des conseils et recommandations. »
Boris Johnson risque une motion de défiance, si cinquante-quatre des 361 députés conservateurs la demandent auprès du Comité 1922, qui réunit les parlementaires de la majorité.
Cette loi poursuit trois objectifs : désengorger les services administratifs, dissuader les migrants et faciliter l’expulsion des immigrés illégaux. Boris Johnson ne tremble pas.
Le gouvernement britannique s’apprête à durcir les conditions d’octroi d’asile afin de décourager les passeurs.
Ses propos ont suscité l’indignation habituelle des habituels indignés.
Macron a doublement tort de vouloir jouer les bons élèves du régime de Bruxelles au détriment des intérêts français.
Le Parlement de Westminster et tout le Royaume-Uni sont ébranlés par le meurtre de David Amess, élu conservateur de 69 ans
Pendant quarante-cinq minutes, Boris a fait du BoJo sous les rires et les applaudissements d’un public acquis.
Le taux de chômage britannique, à 4,6 % en juillet, « est plus bas qu’en Amérique, au Canada, en France, en Espagne, en Italie » et le pays a un nombre record de postes vacants.
Il n’y a pas qu’en France que la question du passeport vaccinal pour accéder aux endroits fréquentés agite les esprits.
Souvenez-vous du slogan placardé sur un bus pendant la campagne référendaire de 2017 soutenue par BoJo qui suggérait d’envoyer 350 millions de livres par semaine au
Le gouvernement de Boris Johnson a rétropédalé sur son projet de passeport vaccinal, le pays étant à son sens assez vacciné.
La cote de BoJo commence à fléchir, même si les électeurs sont capables de se reconnaître dans ce mari mené par le bout du nez par une épouse ravissante de vingt-quatre ans sa cadette…
Après tout, pourquoi les USA s’embarrasseraient-ils davantage d’une Angleterre dont ils n’ont plus que faire, tant ses véritables enjeux géopolitiques sont désormais ailleurs ?
La reine a réitéré la promesse du gouvernement de réformer le mode de financement des soins sociaux pour les personnes âgées, confirmé son grand projet environnemental, ainsi que son projet de loi sur la police, les frontières, la criminalité, les peines et les tribunaux.
Boris Johnson veut « libérer » l’économie britannique en la transformant en paradis du monde des affaires. Le Premier ministre britannique tient une nouvelle réunion avec
Du sang et des larmes, pendant qu’on y est !
L’Union européenne bureaucratique, laboratoire de la globalisation, déjà mitée par la Pologne et la Hongrie, commence à sentir le sapin.
Joignant le geste à la parole, quatre bâtiments de guerre de la Royal Navy, des patrouilleurs armés et longs de 80 mètres, sont déjà mobilisés pour empêcher des chalutiers européens de pénétrer dans les eaux britanniques en cas de no deal.
En revanche, 46.000 embarcations illégales ont réussi à traverser, l’année dernière.
La classe politique a fini par accepter avec résignation la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne.
En l’état, Boris Johnson a-t-il encore un avenir politique ? On l’a vu trébucher, tomber et se relever tant de fois qu’il est encore bien tôt pour l’enterrer de son vivant…
Boris Johnson a décidé de renvoyer tous les migrants illégaux arrivant sur le territoire britannique vers le Rwanda, suite à un accord passé avec ce
Est-il impossible de restreindre l’immigration dans son pays ?
En envoyant des demandeurs d’asile à plus de 6.000 kilomètres de Londres, le gouvernement souhaite dissuader tout nouveau migrant de venir sur le sol britannique.
Alors que Boris Johnson risquait son poste, hier, suite à un vote de défiance déclenché au sein de son parti, il est aujourd’hui encore Premier
Outre-Manche, Boris Johnson, cheveux en bataille façon « j’ai énormément réfléchi », se lance sur le sujet au risque de sombrer dans la transphobie la plus éliminatoire.
En France comme au Royaume-Uni, les malheurs de Johnson laissent espérer la fin de la politique frondeuse qu’il mène face à Bruxelles. Mais le changement de gouvernement n’entraînerait pas une modification profonde de la politique britannique.
Le dirigeant conservateur s’est, en effet, expliqué au Parlement ce matin, arguant : « Alors que le Covid devient endémique, nous devons remplacer les obligations légales par des conseils et recommandations. »
Boris Johnson risque une motion de défiance, si cinquante-quatre des 361 députés conservateurs la demandent auprès du Comité 1922, qui réunit les parlementaires de la majorité.
Cette loi poursuit trois objectifs : désengorger les services administratifs, dissuader les migrants et faciliter l’expulsion des immigrés illégaux. Boris Johnson ne tremble pas.
Le gouvernement britannique s’apprête à durcir les conditions d’octroi d’asile afin de décourager les passeurs.
Ses propos ont suscité l’indignation habituelle des habituels indignés.
Macron a doublement tort de vouloir jouer les bons élèves du régime de Bruxelles au détriment des intérêts français.
Le Parlement de Westminster et tout le Royaume-Uni sont ébranlés par le meurtre de David Amess, élu conservateur de 69 ans
Pendant quarante-cinq minutes, Boris a fait du BoJo sous les rires et les applaudissements d’un public acquis.
Le taux de chômage britannique, à 4,6 % en juillet, « est plus bas qu’en Amérique, au Canada, en France, en Espagne, en Italie » et le pays a un nombre record de postes vacants.
Il n’y a pas qu’en France que la question du passeport vaccinal pour accéder aux endroits fréquentés agite les esprits.
Souvenez-vous du slogan placardé sur un bus pendant la campagne référendaire de 2017 soutenue par BoJo qui suggérait d’envoyer 350 millions de livres par semaine au
Le gouvernement de Boris Johnson a rétropédalé sur son projet de passeport vaccinal, le pays étant à son sens assez vacciné.
La cote de BoJo commence à fléchir, même si les électeurs sont capables de se reconnaître dans ce mari mené par le bout du nez par une épouse ravissante de vingt-quatre ans sa cadette…
Après tout, pourquoi les USA s’embarrasseraient-ils davantage d’une Angleterre dont ils n’ont plus que faire, tant ses véritables enjeux géopolitiques sont désormais ailleurs ?
La reine a réitéré la promesse du gouvernement de réformer le mode de financement des soins sociaux pour les personnes âgées, confirmé son grand projet environnemental, ainsi que son projet de loi sur la police, les frontières, la criminalité, les peines et les tribunaux.
Boris Johnson veut « libérer » l’économie britannique en la transformant en paradis du monde des affaires. Le Premier ministre britannique tient une nouvelle réunion avec
Du sang et des larmes, pendant qu’on y est !
L’Union européenne bureaucratique, laboratoire de la globalisation, déjà mitée par la Pologne et la Hongrie, commence à sentir le sapin.
Joignant le geste à la parole, quatre bâtiments de guerre de la Royal Navy, des patrouilleurs armés et longs de 80 mètres, sont déjà mobilisés pour empêcher des chalutiers européens de pénétrer dans les eaux britanniques en cas de no deal.
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