Brésil

Et si, demain, Marine Le Pen parvenait enfin à ses fins, que se passerait-il ?

Comme l’actualité rythme aussi la vie politique, bon nombre d’élus et de commentateurs en ont profité pour cibler le Rassemblement national accusé de proximité avec les partisans de Bolsonaro au Brésil et de Trump aux États-Unis.

Avec la victoire de Lula, ils jubilent. Il n’y a pas forcément de quoi.

Aujourd’hui et jusqu’au 30 octobre, les jeux sont ouverts et chacun des camps peut espérer l’emporter. Mais il faudra alors affronter un contexte social, économique et sécuritaire explosif.

Un tel ralliement peut-il être déterminant pour l’issue du scrutin ?

À un an de l’élection présidentielle, les opposants au président Jair Bolsonaro (élu en 2018 avec un peu plus de 55 % des voix) ont manifesté aux cris de « Fora Bolsonaro » (« Dehors Bolsonaro ») dans la plupart des grandes villes du pays…

Au moins, le rhum brésilien aura été servi à bonne température. Ce qui permet de toujours passer agréablement le temps et d’éviter d’en perdre à faire de la politique.

Quand Monsieur Bolsonaro évoque la désinformation, dans sa défense, il a donc bien raison car les faits parlent pour lui.

Emmanuel Macron souhaite-t-il instaurer un droit d’ingérence environnemental, à l’imitation du droit d’ingérence humanitaire inventé par Kouchner en son temps ?

Comme l’avait montré Henry Kissinger, la politique internationale impose le réalisme et doit viser l’équilibre. L’un et l’autre passent par les nations.

La France paye aujourd’hui une sorte de mépris hautain, au passage doublé de crasse incurie en matière de politique étrangère.

La concurrence déloyale qu’il engendrera provoquera, une fois de plus, un séisme social destructeur ainsi qu’un recul environnemental irréversible.

Devant l’opposition unanime le nouveau pouvoir brésilien a dû reculer.

Vers une Internationale populiste ?
S’il y a des gilets jaunes au Brésil, ils y trouveront difficilement leur compte !

Jair Bolsonaro se veut disciple de Donald Trump, sauf en matière de protectionnisme, semble-t-il…

La composition du gouvernement du désormais célèbre « fasciste-raciste-homophobe » agite déjà le « Landernão » brésilien.

Être « populiste » consiste avant tout à défendre son peuple. Ce n’est manifestement pas le cas de Jair Bolsonaro, malgré des promesses de campagne dignes de celles d’un Emmanuel Macron.

Un tremblement de terre politique parfaitement prévisible en raison de la situation catastrophique du Brésil où l’ont conduit la démagogie et la corruption de la gauche au pouvoir.

Un cycle s’achève. Pendant longtemps, le vent de l’Histoire a soufflé à gauche. Aujourd’hui, il souffle dans le sens contraire.

L’intérêt supérieur national aura donc transcendé les différences ethniques et sexuelles.

…c’est donc un candidat « populiste », Jair Bolsonaro, qui, au Brésil, a manqué de peu le sacre « populiste ».

En Europe, le sursaut populaire est dénoncé comme populiste par l’oligarchie qui contrôle les rouages complexes de l’Union européenne.
L’ancien joueur de football aurait, selon le quotidien brésilien O Globo, rallié l’extrême droite brésilienne.

Le peuple brésilien ne bouge pas et assiste en spectateur à l’effondrement du système.

Et si, demain, Marine Le Pen parvenait enfin à ses fins, que se passerait-il ?

Comme l’actualité rythme aussi la vie politique, bon nombre d’élus et de commentateurs en ont profité pour cibler le Rassemblement national accusé de proximité avec les partisans de Bolsonaro au Brésil et de Trump aux États-Unis.

Avec la victoire de Lula, ils jubilent. Il n’y a pas forcément de quoi.

Aujourd’hui et jusqu’au 30 octobre, les jeux sont ouverts et chacun des camps peut espérer l’emporter. Mais il faudra alors affronter un contexte social, économique et sécuritaire explosif.

Un tel ralliement peut-il être déterminant pour l’issue du scrutin ?

À un an de l’élection présidentielle, les opposants au président Jair Bolsonaro (élu en 2018 avec un peu plus de 55 % des voix) ont manifesté aux cris de « Fora Bolsonaro » (« Dehors Bolsonaro ») dans la plupart des grandes villes du pays…

Au moins, le rhum brésilien aura été servi à bonne température. Ce qui permet de toujours passer agréablement le temps et d’éviter d’en perdre à faire de la politique.

Quand Monsieur Bolsonaro évoque la désinformation, dans sa défense, il a donc bien raison car les faits parlent pour lui.

Emmanuel Macron souhaite-t-il instaurer un droit d’ingérence environnemental, à l’imitation du droit d’ingérence humanitaire inventé par Kouchner en son temps ?

Comme l’avait montré Henry Kissinger, la politique internationale impose le réalisme et doit viser l’équilibre. L’un et l’autre passent par les nations.

La France paye aujourd’hui une sorte de mépris hautain, au passage doublé de crasse incurie en matière de politique étrangère.

La concurrence déloyale qu’il engendrera provoquera, une fois de plus, un séisme social destructeur ainsi qu’un recul environnemental irréversible.

Devant l’opposition unanime le nouveau pouvoir brésilien a dû reculer.

Vers une Internationale populiste ?
S’il y a des gilets jaunes au Brésil, ils y trouveront difficilement leur compte !

Jair Bolsonaro se veut disciple de Donald Trump, sauf en matière de protectionnisme, semble-t-il…

La composition du gouvernement du désormais célèbre « fasciste-raciste-homophobe » agite déjà le « Landernão » brésilien.

Être « populiste » consiste avant tout à défendre son peuple. Ce n’est manifestement pas le cas de Jair Bolsonaro, malgré des promesses de campagne dignes de celles d’un Emmanuel Macron.

Un tremblement de terre politique parfaitement prévisible en raison de la situation catastrophique du Brésil où l’ont conduit la démagogie et la corruption de la gauche au pouvoir.

Un cycle s’achève. Pendant longtemps, le vent de l’Histoire a soufflé à gauche. Aujourd’hui, il souffle dans le sens contraire.

L’intérêt supérieur national aura donc transcendé les différences ethniques et sexuelles.

…c’est donc un candidat « populiste », Jair Bolsonaro, qui, au Brésil, a manqué de peu le sacre « populiste ».

En Europe, le sursaut populaire est dénoncé comme populiste par l’oligarchie qui contrôle les rouages complexes de l’Union européenne.
L’ancien joueur de football aurait, selon le quotidien brésilien O Globo, rallié l’extrême droite brésilienne.

Le peuple brésilien ne bouge pas et assiste en spectateur à l’effondrement du système.
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