Brexit
En attendant de probables rebondissements à venir, ça navigue à vue, au 10 Downing Street.
C’est à ce moment que le chroniqueur de Boulevard Voltaire s’efface pour faire place au psychiatre Boris Cyrulnik, davantage en mesure de comprendre la genèse du phénomène.
Ce choix n’est peut-être pas étranger au fait que madame May était, au départ, hostile au Brexit.
Nous aurions bien tort de nous réjouir des malheurs de nos meilleurs amis anglais, puisque en France, de semblables manœuvres de coulisses sont depuis longtemps la norme.
L’idéologue Barnier et la grisâtre May ont, certes, fini par élucubrer un « accord » pour gérer les conséquences du vote souverain du peuple britannique…
L’économie n’est pas une science exacte et aucune prévision n’est assurée de se réaliser.
Si cette manifestation ne réussit pas à faire changer la décision du Premier ministre britannique, elle s’apparente tout bonnement à une propagande.
On ne peut que partager leur légitime inquiétude. En effet, avant que la perfide Albion ne rejoigne l’Europe en 1973, il ne se passait rien de notoire de l’autre côté de la Manche. Les Beatles étaient un groupe de Vladivostok. Les Rolling Stones venaient de Romorantin.
Il est donc particulièrement liberticide d’évoquer la possibilité de faire revoter les Britanniques sur le Brexit.
Le « hard Brexit » fait peur et serait sans doute catastrophique. Voilà la chance de l’opiniâtre Mme May.
L’avenir de l’Europe n’est pas dans un prêt-à-porter universel…
Comment sortir l’Angleterre de l’Europe tout en y restant ?
A cause du Brexit… C’est, en tout cas, ce que l’on tente de nous faire croire…
le philosophe se produisait sur les planches londoniennes pour démonter consciencieusement le Brexit.
Cette représentation permettra à nouveau au mari d’Arielle (d’où la blancheur de sa chemise) de magnifier sa personne.
Suite au Brexit, il importe de mettre fin à l’unilinguisme anglo-américain à Bruxelles en mettant sur la table du Conseil européen la question du français et des autres grandes langues nationales.
Le PDG de JP Morgan hurlait à qui voulait bien l’entendre qu’il déplacerait 4.000 employés de Londres vers d’autres grandes Bourses européennes…
La France et le Royaume Uni devront rapidement réfléchir à leur destin commun, bien plus qu’avec l’Allemagne.
Du coup, ce bloody Brexit sera-t-il mis oui ou non en œuvre dans sa phase finale de négociations ?
En attendant de probables rebondissements à venir, ça navigue à vue, au 10 Downing Street.
C’est à ce moment que le chroniqueur de Boulevard Voltaire s’efface pour faire place au psychiatre Boris Cyrulnik, davantage en mesure de comprendre la genèse du phénomène.
Ce choix n’est peut-être pas étranger au fait que madame May était, au départ, hostile au Brexit.
Nous aurions bien tort de nous réjouir des malheurs de nos meilleurs amis anglais, puisque en France, de semblables manœuvres de coulisses sont depuis longtemps la norme.
L’idéologue Barnier et la grisâtre May ont, certes, fini par élucubrer un « accord » pour gérer les conséquences du vote souverain du peuple britannique…
L’économie n’est pas une science exacte et aucune prévision n’est assurée de se réaliser.
Si cette manifestation ne réussit pas à faire changer la décision du Premier ministre britannique, elle s’apparente tout bonnement à une propagande.
On ne peut que partager leur légitime inquiétude. En effet, avant que la perfide Albion ne rejoigne l’Europe en 1973, il ne se passait rien de notoire de l’autre côté de la Manche. Les Beatles étaient un groupe de Vladivostok. Les Rolling Stones venaient de Romorantin.
Il est donc particulièrement liberticide d’évoquer la possibilité de faire revoter les Britanniques sur le Brexit.
Le « hard Brexit » fait peur et serait sans doute catastrophique. Voilà la chance de l’opiniâtre Mme May.
L’avenir de l’Europe n’est pas dans un prêt-à-porter universel…
Comment sortir l’Angleterre de l’Europe tout en y restant ?
A cause du Brexit… C’est, en tout cas, ce que l’on tente de nous faire croire…
le philosophe se produisait sur les planches londoniennes pour démonter consciencieusement le Brexit.
Cette représentation permettra à nouveau au mari d’Arielle (d’où la blancheur de sa chemise) de magnifier sa personne.
Suite au Brexit, il importe de mettre fin à l’unilinguisme anglo-américain à Bruxelles en mettant sur la table du Conseil européen la question du français et des autres grandes langues nationales.
Le PDG de JP Morgan hurlait à qui voulait bien l’entendre qu’il déplacerait 4.000 employés de Londres vers d’autres grandes Bourses européennes…
La France et le Royaume Uni devront rapidement réfléchir à leur destin commun, bien plus qu’avec l’Allemagne.
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