Burkini
Une restriction de l’accès aux plages peut encore être mise en place en cas de risque avéré de trouble à l’ordre public
La préfecture a envoyé aux maires de ces deux communes deux recours gracieux demandant le retrait de ces arrêtés.
Sur Facebook, l’arrêté du maire a provoqué des réactions très variées.
Ce lundi 18 juillet, le Conseil d’État a suspendu l’arrêté interdisant le port du burkini sur les plages
Naguère, on a appelé ça les « accommodements raisonnables ». C’est l’esprit de Juppé en slip et bonnet de bain qui prend un bain de jouvence après le passage obligatoire à la douche et aux pédiluves du politiquement correct.
Le burkini autorisé dans le centre aquatique du Lac de Tours Métropole La Nouvelle République a révélé que la direction du centre aquatique du Lac
Il se passe toujours quelque chose, dans les métropoles gagnées par des maires pastèques. Après Plus belle la vie à la Guillotière, régalons-nous de l’épisode
On ne saurait faire plus incitatif au développement de cette « tenue modeste », qui ne fait que propager la présence visible de l’islam dans notre pays.
Le maire de Toulouse, Jean-Luc Moudenc, a demandé l’application stricte des règles en vigueur dans la piscine.
Le port du burkini reste donc interdit dans les piscines municipales de Grenoble et de toute la France.
Soucieux de rassurer son public, le quotidien publie un article risiblement consensuel, évoquant des avis « certes partagés mais toujours dans le respect de l’autre ».
Le Conseil d’État examinait, ce mardi matin, le recours déposé par la municipalité de Grenoble après que le tribunal administratif a suspendu la disposition particulière d’autoriser le port du burkini dans les piscines municipales.
Cette loi contre le séparatisme, en tournant autour du pot, n’est pas l’arme fatale contre l’avancée de l’islamisme dans notre espace public.
Le tribunal administratif de la ville a examiné le recours ce mercredi et a décidé de suspendre ce « déféré-suspension laïcité » en vertu de la loi séparatisme du 24 août 2021.
Un nouveau concept, inspiré des avant-gardistes d’Iran et d’Afghanistan, est apparu, porté aux nues par les maires écologistes de la NUPES et les hijabeuses sportives : le burkini.
Le maire de Marignane contre « l’islamisation extrême de la France » Le quotidien La Provence a révélé que le maire de Marignane, Éric Le
Il y a longtemps que je le dis : la France est en état d’auto-dhimmitude. La complaisance envers le burkini en est une nouvelle marque après tant d’autres.
Pour ou contre le port d’un étui pénien dans l’espace public ? La question amuse les réseaux sociaux depuis qu’un Papou d’opérette a lancé sa revendication sur Twitter.
Pourquoi faudrait-il davantage s’inquiéter de l’autorisation du port du burkini à Grenoble, alors que Rennes l’autorise depuis juin 2018 ?
Comme lors des discussions autour de la loi contre le séparatisme, le pouvoir politique se retrouve incapable de désigner l’ennemi.
Le financement d’Alliance citoyenne questionne. Son communautarisme affiché et revendiqué lui vaut d’être considérée par les services de renseignement comme une des principales organisations soupçonnées de séparatisme en France.
L’épave du paquebot féministe, navire amiral du progressisme occidental, vient de se fracasser sur ses insondables contradictions.
Émilie Chalas, députée de l’Isère LREM et conseillère municipale d’opposition à Grenoble, dit sa consternation : « Monsieur le maire, vous faites honte à notre ville », Grenoble est devenue « la risée de la France ».
Si Marine Chiaberto a pu s’échapper, les militants eux, se retrouvent face à une foule d’antifas, munis de barre de fer pour certains et prêts à en découdre.
Alors, qui peuvent bien être ces 26 % de partisans du « maillot couvrant » que l’on mettrait « par pudeur ou pour ne pas s’exposer au soleil » ?
Faut-il considérer le burkini comme un signe religieux contraire au principe de laïcité ?
« Les femmes sont déterminées à se baigner tout l’été. »
Une restriction de l’accès aux plages peut encore être mise en place en cas de risque avéré de trouble à l’ordre public
La préfecture a envoyé aux maires de ces deux communes deux recours gracieux demandant le retrait de ces arrêtés.
Sur Facebook, l’arrêté du maire a provoqué des réactions très variées.
Ce lundi 18 juillet, le Conseil d’État a suspendu l’arrêté interdisant le port du burkini sur les plages
Naguère, on a appelé ça les « accommodements raisonnables ». C’est l’esprit de Juppé en slip et bonnet de bain qui prend un bain de jouvence après le passage obligatoire à la douche et aux pédiluves du politiquement correct.
Le burkini autorisé dans le centre aquatique du Lac de Tours Métropole La Nouvelle République a révélé que la direction du centre aquatique du Lac
Il se passe toujours quelque chose, dans les métropoles gagnées par des maires pastèques. Après Plus belle la vie à la Guillotière, régalons-nous de l’épisode
On ne saurait faire plus incitatif au développement de cette « tenue modeste », qui ne fait que propager la présence visible de l’islam dans notre pays.
Le maire de Toulouse, Jean-Luc Moudenc, a demandé l’application stricte des règles en vigueur dans la piscine.
Le port du burkini reste donc interdit dans les piscines municipales de Grenoble et de toute la France.
Soucieux de rassurer son public, le quotidien publie un article risiblement consensuel, évoquant des avis « certes partagés mais toujours dans le respect de l’autre ».
Le Conseil d’État examinait, ce mardi matin, le recours déposé par la municipalité de Grenoble après que le tribunal administratif a suspendu la disposition particulière d’autoriser le port du burkini dans les piscines municipales.
Cette loi contre le séparatisme, en tournant autour du pot, n’est pas l’arme fatale contre l’avancée de l’islamisme dans notre espace public.
Le tribunal administratif de la ville a examiné le recours ce mercredi et a décidé de suspendre ce « déféré-suspension laïcité » en vertu de la loi séparatisme du 24 août 2021.
Un nouveau concept, inspiré des avant-gardistes d’Iran et d’Afghanistan, est apparu, porté aux nues par les maires écologistes de la NUPES et les hijabeuses sportives : le burkini.
Le maire de Marignane contre « l’islamisation extrême de la France » Le quotidien La Provence a révélé que le maire de Marignane, Éric Le
Il y a longtemps que je le dis : la France est en état d’auto-dhimmitude. La complaisance envers le burkini en est une nouvelle marque après tant d’autres.
Pour ou contre le port d’un étui pénien dans l’espace public ? La question amuse les réseaux sociaux depuis qu’un Papou d’opérette a lancé sa revendication sur Twitter.
Pourquoi faudrait-il davantage s’inquiéter de l’autorisation du port du burkini à Grenoble, alors que Rennes l’autorise depuis juin 2018 ?
Comme lors des discussions autour de la loi contre le séparatisme, le pouvoir politique se retrouve incapable de désigner l’ennemi.
Le financement d’Alliance citoyenne questionne. Son communautarisme affiché et revendiqué lui vaut d’être considérée par les services de renseignement comme une des principales organisations soupçonnées de séparatisme en France.
L’épave du paquebot féministe, navire amiral du progressisme occidental, vient de se fracasser sur ses insondables contradictions.
Émilie Chalas, députée de l’Isère LREM et conseillère municipale d’opposition à Grenoble, dit sa consternation : « Monsieur le maire, vous faites honte à notre ville », Grenoble est devenue « la risée de la France ».
Si Marine Chiaberto a pu s’échapper, les militants eux, se retrouvent face à une foule d’antifas, munis de barre de fer pour certains et prêts à en découdre.
Alors, qui peuvent bien être ces 26 % de partisans du « maillot couvrant » que l’on mettrait « par pudeur ou pour ne pas s’exposer au soleil » ?
Faut-il considérer le burkini comme un signe religieux contraire au principe de laïcité ?
« Les femmes sont déterminées à se baigner tout l’été. »
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