Cannabis
Les frasques du député LFI sont si nombreuses que certains le soupçonnent de les multiplier à dessein…
Quand le cannabis se retire, il laisse chez son consommateur des empreintes aux conséquences nombreuses.
Ce documentaire « à valeur pédagogique » a été diffusé sur France.tv Slash, à destination d’un public jeune…
On peut s’étonner que l’Allemagne, avec une guerre presque à sa frontière, n’ait rien de plus urgent à traiter…
Sa ville pourrait être le terrain d’une tentative de vente presque légalisée du produit
Il sort libre et sera convoqué plus tard pour la mise en place du système électronique chez sa mère. Cela suffira-t-il pour qu’on ne le croise plus à la gare de Le-Mée-sur-Seine, avec ses pochons de cannabis ?…
Si tous les éducateurs, les détenteurs d’autorité, les diffuseurs d’informations, si tous ceux qui savent avaient fait savoir, nous n’en serions pas là…
On s’inquiète pour l’avenir de la médecine si elle venait à être pratiquée par des praticiens incapables de convaincre leur patientèle de ne pas consommer une drogue qu’ils ne pourraient s’empêcher de consommer eux-mêmes.
N’est inéluctable que ce que l’on ne veut pas combattre ; si les toxicomanies sont une tentation, elles ne sont pas une fatalité !
Un addictologue, Amine Benyamina, est érigé par la complaisance des médias comme la référence de sa discipline pour ses prises de position banalisantes en faveur de diverses drogues, excepté l’alcool.
Drogue de la « crétinisation », elle fait stagner intellectuellement ses victimes, recrutant même des assistés à vie.
Après une courte délibération, le président a finalement annoncé que le tribunal était dans l’impossibilité d’entendre le prévenu et qu’il prononçait « en conséquence sa libération ».
La semaine dernière, au cours de l’émission « Face à l’info », Éric Zemmour a surpris tout le monde au sujet de la dépénalisation du
Désaveux cinglants exprimés par le ministre de l’Intérieur et par le président de la République…
Cette « mission » véhicule des relents de tromperies, de bêtise, de mercantilisme, d’idéologie « soixante-huit tarée », de démagogie, d’incohérence.
Ce n’est pas par accident que l’on consomme du cannabis.
Il est urgent de déciller les yeux de ceux que ces formules ont dupés
Il est inconvenant de pratiquer cette consultation au cœur de l’épidémie de Covid-19…
Monsieur le Président, on ne peut « en même temps » prôner l’éradication du tabac et laisser filer le cannabis.
Ont évidemment été oubliés, dans ce « débat », les méfaits graves et multiples du cannabis, dont ceux qui, il y a déjà un demi-siècle, l’avaient fait rejeter de la pharmacopée française.
Selon lui, « la prohibition n’est pas une solution ».
La responsabilité des addictologues est aggravée par leur herméticité aux informations scientifiques inquiétantes qui s’accumulent sur ce cannabis…
Ni légalisé, ni fortement réprimé. Disons, pour sortir le politicien de l’ornière dans laquelle il s’est embourbé, que le cannabis doit être déclaré « un peu interdit ». « Illégal mais pas trop ».
Traduisons : ne pourrait-on pas « shooter » nos vieux ?
Les cannabinophiles impénitents viennent à nouveau de frapper : à la porte du gouvernement, cette fois !
Le ministère de la Santé a omis d’avertir qu’en l’occurrence, le cannabis constituait une contre-indication manifeste, en raison de ses effets dépresseurs de l’immunité.
Les méfaits du THC sont nombreux et graves. Un médecin s’impliquant dans les aspects législatifs d’un médicament doit manifester une prudence redoublée.
Tous les États qui ont légalisé le cannabis l’ont préalablement fait adouber comme « médicament ».
Les frasques du député LFI sont si nombreuses que certains le soupçonnent de les multiplier à dessein…
Quand le cannabis se retire, il laisse chez son consommateur des empreintes aux conséquences nombreuses.
Ce documentaire « à valeur pédagogique » a été diffusé sur France.tv Slash, à destination d’un public jeune…
On peut s’étonner que l’Allemagne, avec une guerre presque à sa frontière, n’ait rien de plus urgent à traiter…
Sa ville pourrait être le terrain d’une tentative de vente presque légalisée du produit
Il sort libre et sera convoqué plus tard pour la mise en place du système électronique chez sa mère. Cela suffira-t-il pour qu’on ne le croise plus à la gare de Le-Mée-sur-Seine, avec ses pochons de cannabis ?…
Si tous les éducateurs, les détenteurs d’autorité, les diffuseurs d’informations, si tous ceux qui savent avaient fait savoir, nous n’en serions pas là…
On s’inquiète pour l’avenir de la médecine si elle venait à être pratiquée par des praticiens incapables de convaincre leur patientèle de ne pas consommer une drogue qu’ils ne pourraient s’empêcher de consommer eux-mêmes.
N’est inéluctable que ce que l’on ne veut pas combattre ; si les toxicomanies sont une tentation, elles ne sont pas une fatalité !
Un addictologue, Amine Benyamina, est érigé par la complaisance des médias comme la référence de sa discipline pour ses prises de position banalisantes en faveur de diverses drogues, excepté l’alcool.
Drogue de la « crétinisation », elle fait stagner intellectuellement ses victimes, recrutant même des assistés à vie.
Après une courte délibération, le président a finalement annoncé que le tribunal était dans l’impossibilité d’entendre le prévenu et qu’il prononçait « en conséquence sa libération ».
La semaine dernière, au cours de l’émission « Face à l’info », Éric Zemmour a surpris tout le monde au sujet de la dépénalisation du
Désaveux cinglants exprimés par le ministre de l’Intérieur et par le président de la République…
Cette « mission » véhicule des relents de tromperies, de bêtise, de mercantilisme, d’idéologie « soixante-huit tarée », de démagogie, d’incohérence.
Ce n’est pas par accident que l’on consomme du cannabis.
Il est urgent de déciller les yeux de ceux que ces formules ont dupés
Il est inconvenant de pratiquer cette consultation au cœur de l’épidémie de Covid-19…
Monsieur le Président, on ne peut « en même temps » prôner l’éradication du tabac et laisser filer le cannabis.
Ont évidemment été oubliés, dans ce « débat », les méfaits graves et multiples du cannabis, dont ceux qui, il y a déjà un demi-siècle, l’avaient fait rejeter de la pharmacopée française.
Selon lui, « la prohibition n’est pas une solution ».
La responsabilité des addictologues est aggravée par leur herméticité aux informations scientifiques inquiétantes qui s’accumulent sur ce cannabis…
Ni légalisé, ni fortement réprimé. Disons, pour sortir le politicien de l’ornière dans laquelle il s’est embourbé, que le cannabis doit être déclaré « un peu interdit ». « Illégal mais pas trop ».
Traduisons : ne pourrait-on pas « shooter » nos vieux ?
Les cannabinophiles impénitents viennent à nouveau de frapper : à la porte du gouvernement, cette fois !
Le ministère de la Santé a omis d’avertir qu’en l’occurrence, le cannabis constituait une contre-indication manifeste, en raison de ses effets dépresseurs de l’immunité.
Les méfaits du THC sont nombreux et graves. Un médecin s’impliquant dans les aspects législatifs d’un médicament doit manifester une prudence redoublée.
Tous les États qui ont légalisé le cannabis l’ont préalablement fait adouber comme « médicament ».
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