Caroline De Haas
« Il est question de témoignages anonymes, recueillis de manière non contradictoire, dans des conditions ignorées… »
Le contrat concerne le Conseil d’État, mais aussi tous les tribunaux administratifs de France.
Ne craignant aucune contradiction, elle a participé à la marche contre l’islamophobie de 2019 aux côtés d’islamistes radicaux un brin misogynes…
Diverses structures étatiques et privées préfèrent passer par les ciseaux acérées d’Egae plutôt qu’être soupçonnées, un jour, de la moindre atteinte à la gent féminine interne.
Susceptible, donneuse de leçons, dogmatique comme une bonne sœur agnostique.
En fin de compte, la médiocrité n’est pas seulement devenue la norme. En république politicienne parvenue, elle est devenue la condition sine qua non pour exister.
Si on ne nous a pas raconté des craques sur la réincarnation, quelle pourrait être ma seconde chance ? Sans hésiter, je le dis tout de go : féministe !
Et là, la boulette, l’erreur tragique consistant à faire de l’humour avec une féministe…
La prochaine manif anti-islamophobie s’annonce des plus complexes pour la plupart des participants. Des banderoles double face sont à l’étude.
Ce n’est pas en favorisant l’émergence d’une société soumises aux codes archaïques des cultures patriarcales que l’on permettra aux femmes, chez nous, de s’éloigner définitivement du terrain dangereux qui les expose aux violences…
Dans quel monde de noirceur vit la pauvre Caroline !
Va-t-on, demain, traîner des femmes en place publique pour les tondre parce qu’elles ont refusé de « balancer leur porc » et de se présenter en victimes d’une gent masculine honnie ?
« Il est question de témoignages anonymes, recueillis de manière non contradictoire, dans des conditions ignorées… »
Le contrat concerne le Conseil d’État, mais aussi tous les tribunaux administratifs de France.
Ne craignant aucune contradiction, elle a participé à la marche contre l’islamophobie de 2019 aux côtés d’islamistes radicaux un brin misogynes…
Diverses structures étatiques et privées préfèrent passer par les ciseaux acérées d’Egae plutôt qu’être soupçonnées, un jour, de la moindre atteinte à la gent féminine interne.
Susceptible, donneuse de leçons, dogmatique comme une bonne sœur agnostique.
En fin de compte, la médiocrité n’est pas seulement devenue la norme. En république politicienne parvenue, elle est devenue la condition sine qua non pour exister.
Si on ne nous a pas raconté des craques sur la réincarnation, quelle pourrait être ma seconde chance ? Sans hésiter, je le dis tout de go : féministe !
Et là, la boulette, l’erreur tragique consistant à faire de l’humour avec une féministe…
La prochaine manif anti-islamophobie s’annonce des plus complexes pour la plupart des participants. Des banderoles double face sont à l’étude.
Ce n’est pas en favorisant l’émergence d’une société soumises aux codes archaïques des cultures patriarcales que l’on permettra aux femmes, chez nous, de s’éloigner définitivement du terrain dangereux qui les expose aux violences…
Dans quel monde de noirceur vit la pauvre Caroline !
Va-t-on, demain, traîner des femmes en place publique pour les tondre parce qu’elles ont refusé de « balancer leur porc » et de se présenter en victimes d’une gent masculine honnie ?