Charles De Gaulle
Évidemment, Emmanuel Macron devrait mettre son mandat dans la balance, le 9 juin prochain.
Le 9 novembre 1970, la France apprenait la disparition du général de Gaulle. L’occasion de rappeler ses phrases chocs.
Cette fuite en avant gesticulatoire montre assez bien que l’état réel du pays (tout comme l’état du pays réel) lui importe assez peu.
Ces dégradations ont fait réagir le maire de la ville François Grosdidier, qui avait lui-même inauguré la statue, l’an dernier, sur la place du Général-de-Gaulle.
Si la Grèce et la Turquie entretiennent une mémoire vive de l’événement, il serait bon que nos dirigeants en fassent autant, eux qui se piquent de redessiner les frontières de l’Europe…
Au moins le drapeau rouge n’a-t-il pas flotté sous l’Arc de Triomphe. Grâce à la réaction du peuple français.
Nous avons plus que jamais besoin de De Gaulle, mais certainement pas d’un de Gaulle à la sauce Mélenchon.
Décembre 1965 : une époque très différente de la nôtre dont les plus anciens de nos lecteurs se souviennent.
Déposer des chrysanthèmes, à défaut de les inaugurer, devient un acte militant, un combat, une lutte contre la bête immonde. Un petit effort, encore, et Charles de Gaulle sera érigé en défenseur des migrants.
Charles de Gaulle lance alors son appel, qui est finalement plus reproduit et lu, qu’entendu.
La vérité sur les responsabilités n’est toujours pas très claire.
l’édifice de la défense continentale s’appuie sur deux piliers : l’un en béton précontraint, marqué par la grande et inaltérable étoile bleue de l’OTAN, l’autre en ciment encore mal armé, illustré par quelques étoiles jaunes à la peinture fraîche…
On a compris : Macron a commencé sa seconde campagne électorale.
Le général de Gaulle explique aux Français qu’il entend rendre « au vieux franc français une substance conforme au respect qui lui est dû ».
Il faut tenir son rang, disait-on autrefois.
Honorer le 18 juin, ce n’est pas simplement déposer une gerbe au mont Valérien
Alors que le général quittait la conduite du gouvernement avant l’avènement de la IVe République, la « culture de gauche » avait pris le pouvoir en France, un pouvoir qu’elle conserve encore aujourd’hui.
Tout se passe, en effet, comme si Bruxelles était devenue, au contraire, le centre nerveux de l’antichristianisme en Europe.
Il aurait pu prendre la voie législative et vaincre sans coup férir. Il préfère celle du référendum et de la vox populi.
Les Français ont eux, la tête un peu ailleurs. Les vacances de Pâques viennent de commencer. Beaucoup préfèrent la campagne agricole à la campagne électorale…
Il me semble que la dernière fois qu’un chef de l’État a appelé les Français « enfants », c’était le maréchal Pétain.
Quels esprits incultes ont bien pu enfanter une idée aussi absurde : comparer Emmanuel Macron à Charles de Gaulle…
Cette fois encore, la France signe un traité inégal dans lequel elle donne ce qu’elle a sans en recevoir la contrepartie.
Le président de la République René Coty avait fait appel au « plus illustre des Français » en mai 1958 pour régler les différentes crises secouant la IVe République.
Le couple Giscard-Chirac provoqua, à travers quatre réformes funestes, l’affaissement d’une France désormais effondrée.
Il ne serait pas étonnant que les gilets jaunes n’aboutissent à rien… pour l’instant.
Un discours technocratique enrobé, pour le coup, d’un peu d’empathie d’apparat.
Évidemment, Emmanuel Macron devrait mettre son mandat dans la balance, le 9 juin prochain.
Le 9 novembre 1970, la France apprenait la disparition du général de Gaulle. L’occasion de rappeler ses phrases chocs.
Cette fuite en avant gesticulatoire montre assez bien que l’état réel du pays (tout comme l’état du pays réel) lui importe assez peu.
Ces dégradations ont fait réagir le maire de la ville François Grosdidier, qui avait lui-même inauguré la statue, l’an dernier, sur la place du Général-de-Gaulle.
Si la Grèce et la Turquie entretiennent une mémoire vive de l’événement, il serait bon que nos dirigeants en fassent autant, eux qui se piquent de redessiner les frontières de l’Europe…
Au moins le drapeau rouge n’a-t-il pas flotté sous l’Arc de Triomphe. Grâce à la réaction du peuple français.
Nous avons plus que jamais besoin de De Gaulle, mais certainement pas d’un de Gaulle à la sauce Mélenchon.
Décembre 1965 : une époque très différente de la nôtre dont les plus anciens de nos lecteurs se souviennent.
Déposer des chrysanthèmes, à défaut de les inaugurer, devient un acte militant, un combat, une lutte contre la bête immonde. Un petit effort, encore, et Charles de Gaulle sera érigé en défenseur des migrants.
Charles de Gaulle lance alors son appel, qui est finalement plus reproduit et lu, qu’entendu.
La vérité sur les responsabilités n’est toujours pas très claire.
l’édifice de la défense continentale s’appuie sur deux piliers : l’un en béton précontraint, marqué par la grande et inaltérable étoile bleue de l’OTAN, l’autre en ciment encore mal armé, illustré par quelques étoiles jaunes à la peinture fraîche…
On a compris : Macron a commencé sa seconde campagne électorale.
Le général de Gaulle explique aux Français qu’il entend rendre « au vieux franc français une substance conforme au respect qui lui est dû ».
Il faut tenir son rang, disait-on autrefois.
Honorer le 18 juin, ce n’est pas simplement déposer une gerbe au mont Valérien
Alors que le général quittait la conduite du gouvernement avant l’avènement de la IVe République, la « culture de gauche » avait pris le pouvoir en France, un pouvoir qu’elle conserve encore aujourd’hui.
Tout se passe, en effet, comme si Bruxelles était devenue, au contraire, le centre nerveux de l’antichristianisme en Europe.
Il aurait pu prendre la voie législative et vaincre sans coup férir. Il préfère celle du référendum et de la vox populi.
Les Français ont eux, la tête un peu ailleurs. Les vacances de Pâques viennent de commencer. Beaucoup préfèrent la campagne agricole à la campagne électorale…
Il me semble que la dernière fois qu’un chef de l’État a appelé les Français « enfants », c’était le maréchal Pétain.
Quels esprits incultes ont bien pu enfanter une idée aussi absurde : comparer Emmanuel Macron à Charles de Gaulle…
Cette fois encore, la France signe un traité inégal dans lequel elle donne ce qu’elle a sans en recevoir la contrepartie.
Le président de la République René Coty avait fait appel au « plus illustre des Français » en mai 1958 pour régler les différentes crises secouant la IVe République.
Le couple Giscard-Chirac provoqua, à travers quatre réformes funestes, l’affaissement d’une France désormais effondrée.
Il ne serait pas étonnant que les gilets jaunes n’aboutissent à rien… pour l’instant.
Un discours technocratique enrobé, pour le coup, d’un peu d’empathie d’apparat.