Charlie Hebdo
Quand le scénariste de la cérémonie d’ouverture considère les attentats de Charlie comme des “assassinats politiques ».
« L’égalité » a au moins ce mérite de montrer que l’intelligence autant que la dignité sont également partagées.
Bravo à Charlie Hebdo, dont les opinions sont souvent à l’opposé de celles des lecteurs de BV.
L’humour à deux balles des révolutionnaires en peau de lapin ne fait plus rire grand monde, alors il faut en rajouter
La seule question intéressante est celle-ci : la publication de nouvelles caricatures obscènes va-t-elle améliorer le sort des femmes iraniennes ?
Si Charlie Hebdo a parfaitement le droit de s’exprimer en toute liberté – et ce n’est pas BV qui lui récusera ce droit -, doit-on forcément approuver tout ce que fait Charlie Hebdo ?
Et pourquoi donc le peuple, le populus, devrait-il par essence être le vulgus du bobo ?
Une femme nue en position gynécologique, les jambes écartées, accueille dans son vagin, marchant en file indienne, des religieux iraniens. En titre de cette nouvelle une du journal satirique : « Mollahs, retournez d’où vous venez ! »
La Turquie se classe à la 154e position sur 180 dans l’index de la liberté de la presse…
Ce sondage a été clôturé, voici les résultats :
Notre faiblesse n’est pas le fait que nous ne sommes pas « assez Charlie » mais que nous le sommes devenus trop.
Le droit au mauvais goût et celui de déplaire doivent être inaliénables.
Ce sondage a été clôturé, en voici les résultats :
La France, ce n’est pas seulement les fesses de Mahomet sur la couverture de Charlie Hebdo.
Robert Ménard a fait afficher des caricatures de Mahomet de Charlie Hebdo dans sa ville de Béziers, en hommage à l’enseignant Samuel Paty.
L’assaillant arrêté lors de l’attaque de vendredi dernier avait menti sur son âge et son identité.
Boulevard Richard-Lenoir, à proximité des anciens locaux de Charlie Hebdo où avait eu lieu la tuerie, deux hommes ont attaqué au hasard des passants à l’arme blanche.
Mais, Charlie ou pas Charlie, la guerre était là, avant le 7 janvier 2015. Pour l’ennemi islamiste, il n’y a pas d’innocents…
Quant à Virginie Despentes, écrivaine grande productrice d’écrits vains (merci Lacan), l’assassinat de 17 personnes par des demeurés lui a fait plus d’effet que sa collection de sextoys.
74 % des musulmans de moins de 25 ans font passer leurs convictions religieuses avant la République. Parmi eux, 26 % ne condamnent pas l’attentat
41 % des musulmans déclarent qu’ils n’auraient pas participé à la minute de silence organisée en hommage aux journalistes victimes de l’attentat contre Charlie Hebdo…
« Nous ne renoncerons jamais », s’est justifié le directeur de l’hebdomadaire, Riss.
D’où nous vient donc cette manie d’insulter, de blasphémer et d’injurier les dieux des autres ?
Charlie, étendard rassembleur ou brûlot imposteur ?
De souterraine, la guerre devient donc publique, et d’autant plus inexpiable que le terrorisme islamique s’en mêle…
Quand le scénariste de la cérémonie d’ouverture considère les attentats de Charlie comme des “assassinats politiques ».
« L’égalité » a au moins ce mérite de montrer que l’intelligence autant que la dignité sont également partagées.
Bravo à Charlie Hebdo, dont les opinions sont souvent à l’opposé de celles des lecteurs de BV.
L’humour à deux balles des révolutionnaires en peau de lapin ne fait plus rire grand monde, alors il faut en rajouter
La seule question intéressante est celle-ci : la publication de nouvelles caricatures obscènes va-t-elle améliorer le sort des femmes iraniennes ?
Si Charlie Hebdo a parfaitement le droit de s’exprimer en toute liberté – et ce n’est pas BV qui lui récusera ce droit -, doit-on forcément approuver tout ce que fait Charlie Hebdo ?
Et pourquoi donc le peuple, le populus, devrait-il par essence être le vulgus du bobo ?
Une femme nue en position gynécologique, les jambes écartées, accueille dans son vagin, marchant en file indienne, des religieux iraniens. En titre de cette nouvelle une du journal satirique : « Mollahs, retournez d’où vous venez ! »
La Turquie se classe à la 154e position sur 180 dans l’index de la liberté de la presse…
Ce sondage a été clôturé, voici les résultats :
Notre faiblesse n’est pas le fait que nous ne sommes pas « assez Charlie » mais que nous le sommes devenus trop.
Le droit au mauvais goût et celui de déplaire doivent être inaliénables.
Ce sondage a été clôturé, en voici les résultats :
La France, ce n’est pas seulement les fesses de Mahomet sur la couverture de Charlie Hebdo.
Robert Ménard a fait afficher des caricatures de Mahomet de Charlie Hebdo dans sa ville de Béziers, en hommage à l’enseignant Samuel Paty.
L’assaillant arrêté lors de l’attaque de vendredi dernier avait menti sur son âge et son identité.
Boulevard Richard-Lenoir, à proximité des anciens locaux de Charlie Hebdo où avait eu lieu la tuerie, deux hommes ont attaqué au hasard des passants à l’arme blanche.
Mais, Charlie ou pas Charlie, la guerre était là, avant le 7 janvier 2015. Pour l’ennemi islamiste, il n’y a pas d’innocents…
Quant à Virginie Despentes, écrivaine grande productrice d’écrits vains (merci Lacan), l’assassinat de 17 personnes par des demeurés lui a fait plus d’effet que sa collection de sextoys.
74 % des musulmans de moins de 25 ans font passer leurs convictions religieuses avant la République. Parmi eux, 26 % ne condamnent pas l’attentat
41 % des musulmans déclarent qu’ils n’auraient pas participé à la minute de silence organisée en hommage aux journalistes victimes de l’attentat contre Charlie Hebdo…
« Nous ne renoncerons jamais », s’est justifié le directeur de l’hebdomadaire, Riss.
D’où nous vient donc cette manie d’insulter, de blasphémer et d’injurier les dieux des autres ?
Charlie, étendard rassembleur ou brûlot imposteur ?
De souterraine, la guerre devient donc publique, et d’autant plus inexpiable que le terrorisme islamique s’en mêle…
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