Chine

En faisant le choix de l’alignement sur les États-Unis, les Européens se retrouvent aujourd’hui démunis et instrumentalisés au milieu d’une gigantesque partie d’échecs géopolitique.

C’est, en réalité, une révolution géostratégique qui se dessine sous nos yeux dans un silence assourdissant.

« En raison d’une très faible natalité, la Chine fait face à un vieillissement démographique rapide et à une réduction de sa population d’âge actif. À l’horizon 2050, plus d’un habitant sur trois en Chine sera âgé de soixante ans ou plus. »

La Chine, avec son crédit social que l’on a souvent moqué, est devenue un modèle pour certains.

L’ouvrage de Christian Lamouroux relate l’avènement des Song par le général Zhao Kuangyin, des Zhou postérieurs, à l’époque dite « des cinq dynasties et des dix royaumes » qui succéda directement à la chute des Tang.

Un aveu d’impuissance qui en dit long sur les errements des instances européennes en matière diplomatique.

De mauvais esprits commencent à s’inquiéter d’autres relations singulièrement plus troubles, entretenues par certain baron de la Macronie avec une puissance tout aussi étrangère et guère plus « libérale » que la Russie : la Chine.
La politique erratique des USA aura réussi ce miracle : réconcilier les frères ennemis russes et chinois.
Ce type d’humiliation publique était interdit depuis 2010. Le pays a décidé d’en faire de nouveau usage pour stigmatiser les personnes ne respectant pas les contraintes sanitaires.

Et la volonté du peuple, dans tout cela ? En effet, ce n’est pas après une nuit trop arrosée de vodka que celui de Pologne a mis le PiS au pouvoir, mais en parfaite connaissance de cause, n’en déplaise aux médias occidentaux.

Plus grave pour Washington, la capitale chinoise vient maintenant la chatouiller sur son propre terrain, celui du soft power.

Après, il faut être bien nigaud pour croire à cette fable voulant que les USA soient des alliés, alors qu’ils ne connaissent que vassaux et obligés.

Et la diplomatie française, dans tout ça ? Parlons d’autre chose, on risquerait de s’énerver.

Mais, comme pour l’immigration, pour être dans le vent et satisfaire son appétit de mondialisme, nos élites peinent encore à dénoncer ce mal qui nous vient de l’Orient.

Ils n’auront aucune pitié pour nous, pas plus qu’ils n’en ont pour le Monténégro !
Empressons-nous de rassurer ceux de nos compatriotes que ce tout petit monde s’efforce benoîtement de terrifier à dessein, depuis des décennies.
Malgré un accord signé entre le Vatican et la Chine, en 2018, et renouvelé en octobre 2020, les persécutions se poursuivent et s’accentuent…

Le cinéma américain, enfin, pénétra le marché chinois, tandis que les Hongkongais investirent massivement dans la construction de salles en Chine continentale en vue d’y exporter leurs films.

Alors, attention à la prochaine étincelle !

Quinze ans pour s’apercevoir d’un problème que nous dénonçons à cor et à cri, dans l’indifférence générale : à ce rythme, Pékin a encore de belles années devant elle.

Il faut dire que la Chine a des arguments de poids pour étendre son influence.

Le chat parti, les souris dansent…

Un bel exemple d’un homme attaché aux libertés qui nous sont si chères et qui se bat en chrétien.

France : capitale Berlin. Chef d’État : Angela Merkel.

Qu’est devenu le multimilliardaire chinois Jack Ma, patron d’Ant Financial, groupe pesant 173 milliards de dollars, et propriétaire du site Alibaba, équivalent local de l’Américain Amazon

Dans le mille pour l’empire du Milieu, le 1er décembre 2020…

Ensuite, pourquoi cet horizon 2035 ? C’est, tout simplement, le temps jugé nécessaire par Pékin pour asseoir durablement la Chine au rang de première puissance mondiale et faire passer les USA à celui de bon deuxième.

Les services d’Erdoğan arrêtent et renvoient en Chine ces Ouïghours réfugiés en Turquie qui comptaient peut-être imprudemment sur la solidarité entre musulmans, la fameuse oumma des croyants.

En faisant le choix de l’alignement sur les États-Unis, les Européens se retrouvent aujourd’hui démunis et instrumentalisés au milieu d’une gigantesque partie d’échecs géopolitique.

C’est, en réalité, une révolution géostratégique qui se dessine sous nos yeux dans un silence assourdissant.

« En raison d’une très faible natalité, la Chine fait face à un vieillissement démographique rapide et à une réduction de sa population d’âge actif. À l’horizon 2050, plus d’un habitant sur trois en Chine sera âgé de soixante ans ou plus. »

La Chine, avec son crédit social que l’on a souvent moqué, est devenue un modèle pour certains.

L’ouvrage de Christian Lamouroux relate l’avènement des Song par le général Zhao Kuangyin, des Zhou postérieurs, à l’époque dite « des cinq dynasties et des dix royaumes » qui succéda directement à la chute des Tang.

Un aveu d’impuissance qui en dit long sur les errements des instances européennes en matière diplomatique.

De mauvais esprits commencent à s’inquiéter d’autres relations singulièrement plus troubles, entretenues par certain baron de la Macronie avec une puissance tout aussi étrangère et guère plus « libérale » que la Russie : la Chine.
La politique erratique des USA aura réussi ce miracle : réconcilier les frères ennemis russes et chinois.
Ce type d’humiliation publique était interdit depuis 2010. Le pays a décidé d’en faire de nouveau usage pour stigmatiser les personnes ne respectant pas les contraintes sanitaires.

Et la volonté du peuple, dans tout cela ? En effet, ce n’est pas après une nuit trop arrosée de vodka que celui de Pologne a mis le PiS au pouvoir, mais en parfaite connaissance de cause, n’en déplaise aux médias occidentaux.

Plus grave pour Washington, la capitale chinoise vient maintenant la chatouiller sur son propre terrain, celui du soft power.

Après, il faut être bien nigaud pour croire à cette fable voulant que les USA soient des alliés, alors qu’ils ne connaissent que vassaux et obligés.

Et la diplomatie française, dans tout ça ? Parlons d’autre chose, on risquerait de s’énerver.

Mais, comme pour l’immigration, pour être dans le vent et satisfaire son appétit de mondialisme, nos élites peinent encore à dénoncer ce mal qui nous vient de l’Orient.

Ils n’auront aucune pitié pour nous, pas plus qu’ils n’en ont pour le Monténégro !
Empressons-nous de rassurer ceux de nos compatriotes que ce tout petit monde s’efforce benoîtement de terrifier à dessein, depuis des décennies.
Malgré un accord signé entre le Vatican et la Chine, en 2018, et renouvelé en octobre 2020, les persécutions se poursuivent et s’accentuent…

Le cinéma américain, enfin, pénétra le marché chinois, tandis que les Hongkongais investirent massivement dans la construction de salles en Chine continentale en vue d’y exporter leurs films.

Alors, attention à la prochaine étincelle !

Quinze ans pour s’apercevoir d’un problème que nous dénonçons à cor et à cri, dans l’indifférence générale : à ce rythme, Pékin a encore de belles années devant elle.

Il faut dire que la Chine a des arguments de poids pour étendre son influence.

Le chat parti, les souris dansent…

Un bel exemple d’un homme attaché aux libertés qui nous sont si chères et qui se bat en chrétien.

France : capitale Berlin. Chef d’État : Angela Merkel.

Qu’est devenu le multimilliardaire chinois Jack Ma, patron d’Ant Financial, groupe pesant 173 milliards de dollars, et propriétaire du site Alibaba, équivalent local de l’Américain Amazon

Dans le mille pour l’empire du Milieu, le 1er décembre 2020…

Ensuite, pourquoi cet horizon 2035 ? C’est, tout simplement, le temps jugé nécessaire par Pékin pour asseoir durablement la Chine au rang de première puissance mondiale et faire passer les USA à celui de bon deuxième.

Les services d’Erdoğan arrêtent et renvoient en Chine ces Ouïghours réfugiés en Turquie qui comptaient peut-être imprudemment sur la solidarité entre musulmans, la fameuse oumma des croyants.
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