Chine
La Chine a fait son nid économique en Afrique et compte bien le consolider
Xi porte haut et fort sa campagne de sinisation, quand la France se défend de vouloir assimiler quiconque au nom de la liberté individuelle.
Destructions de croix sous prétexte d’enfreindre les règles d’urbanisme, suppressions d’allocations pour avoir refusé d’ôter des images pieuses chez soi, symboles chrétiens remplacés par des
La Chine, accusée d’être responsable de la pandémie, fait tout pour éviter d’être traduite au banc des accusés et, pour cela, engage un rapport de force, y compris sur le terrain militaire.
Quand notre pays souffre d’un rejet massif de toute autorité, la Chine fait montre d’une discipline de fer.
Une politique d’athéisation forcée, ignorée par l’opinion publique française.
Ce « séparatisme » ? Une hantise multimillénaire pour Pékin…
Un ouvrage de géopolitique très instructif.
Les libéraux croient généralement que l’adoption du système du marché entraîne immanquablement l’avènement d’une démocratie libérale. Les Chinois démentent tous les jours cette prédiction.
Après avoir engendré un tel désastre, la Chine se vante donc d’être un pays totalitaire et nous incite à l’imiter.
Les formules magiques, comme les licornes, les sirènes ou les dragons, n’existent pas.
En s’intégrant dans les mécanismes de l’économie capitaliste et en lui proposant d’acheter la corde pour les pendre, la Chine a réussi où la grande Union soviétique avait échoué.
Si les autorités chinoises ont, à l’évidence, menti, est-ce intrinsèquement pour cause de communisme ?
C’est la Chine qui a contaminé le monde, personne d’autre.
Depuis fin février, les entreprises recommencent progressivement leur activité. Les personnes sans fièvre peuvent circuler dans leur province en présentant un certificat médical.
La Chine d’aujourd’hui drogue l’Occident avec une surconsommation de produits manufacturés chez elle. Elle est devenue le dealer et nous le junkie. On fait quoi, pour changer la donne ?
Géopolitiquement, l’Occident a déjà perdu la partie. Cette pandémie va juste accélérer la bascule du leadership mondial vers l’Asie au profit du « contre-monde » chinois, ainsi que j’aime le nommer. Une bascule en cours depuis vingt ans.
Véran a beau se montrer rassurant, la frontière avec l’Italie n’arrêtera pas plus le virus qu’elle n’avait arrêté le nuage de Tchernobyl en son temps.
Si le virus se répand, nous paierons tous très cher la désinvolture d’un régime qui sacrifie tout sur l’autel de l’expansion.
On peut espérer que l’ampleur de cette épidémie fera réfléchir nos responsables politiques sur le système économique mondialisé, qui se développe pour son propre intérêt sans tenir compte des effets secondaires…
La Chine est devenue une bombe sanitaire et environnementale prête à exploser et à s’exporter dans le monde entier, dans l’indifférence quasi générale.
Le discours de Trump à la Chine est simple, fort et sensé (mais oui), celui de Macron est confus et faible.
À l’occasion d’une prise de parole officielle lors de son voyage en Chine, le Président Emmanuel Macron et son homologue chinois se sont exprimés devant
La Chine s’étant maintenant bien éveillée, il est urgent que la France sorte de sa torpeur et se remette à produire au moins autant de richesses qu’elle en consomme.
À l’occasion de ce nouveau rendez-vous, la France part perdante de fait.
La planification communiste et l’ultralibéralisme se rejoignent pour asservir le droit à des calculs d’utilité.
La Chine a fait son nid économique en Afrique et compte bien le consolider
Xi porte haut et fort sa campagne de sinisation, quand la France se défend de vouloir assimiler quiconque au nom de la liberté individuelle.
Destructions de croix sous prétexte d’enfreindre les règles d’urbanisme, suppressions d’allocations pour avoir refusé d’ôter des images pieuses chez soi, symboles chrétiens remplacés par des
La Chine, accusée d’être responsable de la pandémie, fait tout pour éviter d’être traduite au banc des accusés et, pour cela, engage un rapport de force, y compris sur le terrain militaire.
Quand notre pays souffre d’un rejet massif de toute autorité, la Chine fait montre d’une discipline de fer.
Une politique d’athéisation forcée, ignorée par l’opinion publique française.
Ce « séparatisme » ? Une hantise multimillénaire pour Pékin…
Un ouvrage de géopolitique très instructif.
Les libéraux croient généralement que l’adoption du système du marché entraîne immanquablement l’avènement d’une démocratie libérale. Les Chinois démentent tous les jours cette prédiction.
Après avoir engendré un tel désastre, la Chine se vante donc d’être un pays totalitaire et nous incite à l’imiter.
Les formules magiques, comme les licornes, les sirènes ou les dragons, n’existent pas.
En s’intégrant dans les mécanismes de l’économie capitaliste et en lui proposant d’acheter la corde pour les pendre, la Chine a réussi où la grande Union soviétique avait échoué.
Si les autorités chinoises ont, à l’évidence, menti, est-ce intrinsèquement pour cause de communisme ?
C’est la Chine qui a contaminé le monde, personne d’autre.
Depuis fin février, les entreprises recommencent progressivement leur activité. Les personnes sans fièvre peuvent circuler dans leur province en présentant un certificat médical.
La Chine d’aujourd’hui drogue l’Occident avec une surconsommation de produits manufacturés chez elle. Elle est devenue le dealer et nous le junkie. On fait quoi, pour changer la donne ?
Géopolitiquement, l’Occident a déjà perdu la partie. Cette pandémie va juste accélérer la bascule du leadership mondial vers l’Asie au profit du « contre-monde » chinois, ainsi que j’aime le nommer. Une bascule en cours depuis vingt ans.
Véran a beau se montrer rassurant, la frontière avec l’Italie n’arrêtera pas plus le virus qu’elle n’avait arrêté le nuage de Tchernobyl en son temps.
Si le virus se répand, nous paierons tous très cher la désinvolture d’un régime qui sacrifie tout sur l’autel de l’expansion.
On peut espérer que l’ampleur de cette épidémie fera réfléchir nos responsables politiques sur le système économique mondialisé, qui se développe pour son propre intérêt sans tenir compte des effets secondaires…
La Chine est devenue une bombe sanitaire et environnementale prête à exploser et à s’exporter dans le monde entier, dans l’indifférence quasi générale.
Le discours de Trump à la Chine est simple, fort et sensé (mais oui), celui de Macron est confus et faible.
À l’occasion d’une prise de parole officielle lors de son voyage en Chine, le Président Emmanuel Macron et son homologue chinois se sont exprimés devant
La Chine s’étant maintenant bien éveillée, il est urgent que la France sorte de sa torpeur et se remette à produire au moins autant de richesses qu’elle en consomme.
À l’occasion de ce nouveau rendez-vous, la France part perdante de fait.
La planification communiste et l’ultralibéralisme se rejoignent pour asservir le droit à des calculs d’utilité.
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