Christiane Taubira

Plusieurs lectures de la question calédonienne sont possibles, mais l’ extrême gauche s’en tient à la « colonisation ».

Il y a Mélenchon, bien sûr, donné autour de 12 % et dont une certaine gauche rêve de le voir rafler la mise
Christiane Taubira n’avait rassemblé, à ce jour, que 181 signatures d’élus, contre les 500 signatures requises pour se présenter à la présidentielle.
Le candidat Reconquête a, quant à lui, fait part de sa disponibilité pour un éventuel débat avec Christiane Taubira : « C’est quand vous voulez, Madame Taubira. »

Avec un sens de l’humour qu’on ne lui connaissait pas, le quotidien 20 Minutes affirme : « Les choses ne se présentent pas bien pour Christiane Taubira. » Honnêtement, on ne voit pas pourquoi.
D’habitude, les craintes d’embrasement émanent plutôt du camp du mal.

C’est en participant à cet exercice périlleux que la nouvelle candidate estampillée par la Primaire populaire, Mme Taubira, s’est lamentablement vautrée.
Jean-Luc Mélenchon, Yannick Jadot et Anne Hidalgo nient toute « légitimité » au radio-crochet en question.
Christiane Taubira emporte la primaire populaire à laquelle la majeure partie des autres candidats de gauche ont refusé de participer.

Christiane Taubira, pourtant, ne fait pas seulement rire : elle sait aussi faire perdre.

Heureusement, 93 % des Français n’ont aucune envie de suivre une pasionaria qui semble tenaillée par des démons identitaires et racialistes.
Tout ce joli petit monde finira par appeler à voter Emmanuel Macron au second tour de l’élection présidentielle…

En Provence, pour se « souhaiter les vœux », on dit traditionnellement : « À l’année prochaine, que si nous ne sommes pas plus, nous ne soyons pas moins ! » Là, c’est tout le contraire, que nous dit Taubira.

Le rideau est tiré : les électeurs de gauche contemplent désespérément une scène presque vide. Mais on ne vit pas sans espoir et qu’importe si l’espoir est fou. Christiane Taubira, c’est certain, sauvera le radeau de la Méduse gauchiste.

Alors que la candidature d’Anne Hidalgo ne décolle pas, la rumeur commence à bruisser du côté de Christiane Taubira, comme le racontait Nicolas Gauthier dans

Certes, la gauche française est mal en point, mais elle n’avait tout de même pas mérité de se retrouver avec Christiane Taubira sous le sapin.

On frémit en imaginant ce que pourrait être son programme. On tremble à l’idée de la composition de son gouvernement.
Il est vrai que son parcours offre de quoi plaire à chacun des courants de la gauche.

Réponse dans les prochaines heures.

Si on ne nous a pas raconté des craques sur la réincarnation, quelle pourrait être ma seconde chance ? Sans hésiter, je le dis tout de go : féministe !

« Qu’est-ce qu’ils font aux États-Unis, les Afro-Américains ? Qui a construit ce pays pendant quatre siècles ? Qui a fécondé la terre de ce pays ? Qui a souffert pour ce pays ? », a-t-elle interrogé

Le 10 mai est la journée commémorative du souvenir de l’esclavage et de son abolition. C’est un héritage de la première loi Taubira, une loi mémorielle de 2001.

Faut-il considérer que, pour un garde des Sceaux, la constance dans l’erreur représente une qualité ?

La sémantique aide à planter un décor résolument vintage : c’est bien la société patriarcale héritée de nos aïeuls qu’il s’agit de dénoncer. Tout autre discours serait réputé déviant.
Le 26 mai prochain, jour des élections européennes, grâce à Mme Belloubet, on va aller encore plus loin. Les détenus pourront voter par correspondance.

La loi Taubira sur l’esclavage subsiste comme un tabou vénéré, alors qu’elle cumule tous les défauts.

Ah ! Si seulement on faisait appel à elle pour un grand combat ! Mais on ne lui propose que des combats perdus d’avance.
Ce soir, je vous ai préparé du Poutine en lamelles à la guyanaise, vous m’en direz des nouvelles.

Plusieurs lectures de la question calédonienne sont possibles, mais l’ extrême gauche s’en tient à la « colonisation ».

Il y a Mélenchon, bien sûr, donné autour de 12 % et dont une certaine gauche rêve de le voir rafler la mise
Christiane Taubira n’avait rassemblé, à ce jour, que 181 signatures d’élus, contre les 500 signatures requises pour se présenter à la présidentielle.
Le candidat Reconquête a, quant à lui, fait part de sa disponibilité pour un éventuel débat avec Christiane Taubira : « C’est quand vous voulez, Madame Taubira. »

Avec un sens de l’humour qu’on ne lui connaissait pas, le quotidien 20 Minutes affirme : « Les choses ne se présentent pas bien pour Christiane Taubira. » Honnêtement, on ne voit pas pourquoi.
D’habitude, les craintes d’embrasement émanent plutôt du camp du mal.

C’est en participant à cet exercice périlleux que la nouvelle candidate estampillée par la Primaire populaire, Mme Taubira, s’est lamentablement vautrée.
Jean-Luc Mélenchon, Yannick Jadot et Anne Hidalgo nient toute « légitimité » au radio-crochet en question.
Christiane Taubira emporte la primaire populaire à laquelle la majeure partie des autres candidats de gauche ont refusé de participer.

Christiane Taubira, pourtant, ne fait pas seulement rire : elle sait aussi faire perdre.

Heureusement, 93 % des Français n’ont aucune envie de suivre une pasionaria qui semble tenaillée par des démons identitaires et racialistes.
Tout ce joli petit monde finira par appeler à voter Emmanuel Macron au second tour de l’élection présidentielle…

En Provence, pour se « souhaiter les vœux », on dit traditionnellement : « À l’année prochaine, que si nous ne sommes pas plus, nous ne soyons pas moins ! » Là, c’est tout le contraire, que nous dit Taubira.

Le rideau est tiré : les électeurs de gauche contemplent désespérément une scène presque vide. Mais on ne vit pas sans espoir et qu’importe si l’espoir est fou. Christiane Taubira, c’est certain, sauvera le radeau de la Méduse gauchiste.

Alors que la candidature d’Anne Hidalgo ne décolle pas, la rumeur commence à bruisser du côté de Christiane Taubira, comme le racontait Nicolas Gauthier dans

Certes, la gauche française est mal en point, mais elle n’avait tout de même pas mérité de se retrouver avec Christiane Taubira sous le sapin.

On frémit en imaginant ce que pourrait être son programme. On tremble à l’idée de la composition de son gouvernement.
Il est vrai que son parcours offre de quoi plaire à chacun des courants de la gauche.

Réponse dans les prochaines heures.

Si on ne nous a pas raconté des craques sur la réincarnation, quelle pourrait être ma seconde chance ? Sans hésiter, je le dis tout de go : féministe !

« Qu’est-ce qu’ils font aux États-Unis, les Afro-Américains ? Qui a construit ce pays pendant quatre siècles ? Qui a fécondé la terre de ce pays ? Qui a souffert pour ce pays ? », a-t-elle interrogé

Le 10 mai est la journée commémorative du souvenir de l’esclavage et de son abolition. C’est un héritage de la première loi Taubira, une loi mémorielle de 2001.

Faut-il considérer que, pour un garde des Sceaux, la constance dans l’erreur représente une qualité ?

La sémantique aide à planter un décor résolument vintage : c’est bien la société patriarcale héritée de nos aïeuls qu’il s’agit de dénoncer. Tout autre discours serait réputé déviant.
Le 26 mai prochain, jour des élections européennes, grâce à Mme Belloubet, on va aller encore plus loin. Les détenus pourront voter par correspondance.

La loi Taubira sur l’esclavage subsiste comme un tabou vénéré, alors qu’elle cumule tous les défauts.

Ah ! Si seulement on faisait appel à elle pour un grand combat ! Mais on ne lui propose que des combats perdus d’avance.
Ce soir, je vous ai préparé du Poutine en lamelles à la guyanaise, vous m’en direz des nouvelles.
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