Christine Angot

Pour lancer une enseigne nouvelle, au moins faut-il un produit porteur à mettre sous vide en tête de gondole. Pour Christine Angot, ce sera l’inceste dont elle aurait été victime dans son enfance.
Elle succède à Patrick Rambaud et sera membre du jury qui décerne, chaque année, le prix Goncourt.

Tandis que les invités défilent, les chroniqueurs se défilent.
Si Yann Moix n’était pas là, notre existence serait bien morne.
Mais, après tout, il faut bien les publier : ils passent à la télé !
Sébastien déplaît à la direction parce qu’il ressemble aux gens de la France dite « d’en bas ».

Ruquier a été pitoyable tant il a été évident qu’il n’était pas là pour modérer le débat mais seulement pour rire avec ses hyènes de service.
Remercions donc Michel Onfray de son courage.
Christine Angot se prend tellement au sérieux qu’il serait indélicat, presque grossier de la prendre à la légère.
Elle tient le titre, n’hésitant pas à le remettre en jeu chaque samedi soir, chez Laurent Ruquier. Et opiniâtre, avec ça. La marque des grands, on vous dit.

L’analphabète d’Afrique du Nord et la romancière de la rue du Bac possèdent une langue également dénaturée, et inutile, puisqu’elle n’exprime rien.

Un monde médiatique qui facilite de telles dévastations et s’en repaît devrait être jugé avant de juger.

Notre monde est empreint d’une infinie délicatesse, dans lequel la course à la souffrance cathodique se taille la part du lion.

Pour lancer une enseigne nouvelle, au moins faut-il un produit porteur à mettre sous vide en tête de gondole. Pour Christine Angot, ce sera l’inceste dont elle aurait été victime dans son enfance.
Elle succède à Patrick Rambaud et sera membre du jury qui décerne, chaque année, le prix Goncourt.

Tandis que les invités défilent, les chroniqueurs se défilent.
Si Yann Moix n’était pas là, notre existence serait bien morne.
Mais, après tout, il faut bien les publier : ils passent à la télé !
Sébastien déplaît à la direction parce qu’il ressemble aux gens de la France dite « d’en bas ».

Ruquier a été pitoyable tant il a été évident qu’il n’était pas là pour modérer le débat mais seulement pour rire avec ses hyènes de service.
Remercions donc Michel Onfray de son courage.
Christine Angot se prend tellement au sérieux qu’il serait indélicat, presque grossier de la prendre à la légère.
Elle tient le titre, n’hésitant pas à le remettre en jeu chaque samedi soir, chez Laurent Ruquier. Et opiniâtre, avec ça. La marque des grands, on vous dit.

L’analphabète d’Afrique du Nord et la romancière de la rue du Bac possèdent une langue également dénaturée, et inutile, puisqu’elle n’exprime rien.

Un monde médiatique qui facilite de telles dévastations et s’en repaît devrait être jugé avant de juger.

Notre monde est empreint d’une infinie délicatesse, dans lequel la course à la souffrance cathodique se taille la part du lion.
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