Christophe Castaner
Dans ce monde de brutes, comme dirait Castaner, un peu de tendresse ne fait pas de mal.
Christophe Castaner aurait expliqué à Gavroche, en 1832, qu’il était un dangereux fasciste !
Pourtant, que Castaner se rassure : certains d’entre eux fonctionnent encore très bien. Notamment celui qui a pris la secrétaire d’État à l’Écologie à 150 km/h au lieu de 110 sur une autoroute !
Au fond, on l’aura compris, Emmanuel Macron veut que ces manifestations cessent et, en même temps, il sait très bien que leur banalisation hebdomadaire le sert.
Toute la presse en bruit, les réseaux sociaux aussi : le passage de Christophe Castaner dans l’émission « Au tableau » sur C8.
Le rapport de la commission d’enquête du Sénat sur « l’affaire Benalla » a été particulièrement critiqué par plusieurs membres du gouvernement. Au micro de Boulevard Voltaire,
Alors, sans doute un peu naïf, on imagine qu’ils vont taper un grand coup. Par exemple, fermer quelques salles de prière où l’on prêche – pas en latin – la haine de la France…
Le maire de Nice sera donc le premier candidat à s’essayer à cet Où est Charlie ? à la mode macronnienne.
Une motion de principe, en quelque sorte, histoire de se faire plaisir, quoi ! En gros, c’est pas bien d’être méchant avec les gentils.
Ce n’est pas la première fois que les socialistes font le coup.
Le ministre de l’Intérieur est dans son rôle quand il s’inquiète de la hausse de 74 % des actes antisémites en France…
La police de sécurité du quotidien – comme si la police était une mission autre que quotidienne -, n’a, en vérité, jamais été autre chose qu’un vaste plan de communication destiné à donner de la visibilité à une politique sécuritaire anémique.
Politiquement, ce sont des traîtres, des renégats, et leur appartenance nationale doit être mise entre guillemets : ce sont d’abord des djihadistes, juridiquement « français ».
N’en déplaise à Castaner, ces individus aux mains couvertes de sang sont des terroristes avant d’être des Français. Et ils doivent être considérés et traités comme tels.
C’est fou, d’ailleurs, comme on devient vite complice d’un crime ou d’un délit dans le système intellectuel castanero-macronien…
C’est ce mardi qu’à l’Assemblée nationale était discutée la loi « anti-casseur » concoctée par Christophe Castaner.
Quinze secondes de gagnées. C’est toujours ça de pris. Ça y est, je peux partir ?
Les héritiers de Mai 68 encostardés qui s’érigent en défenseurs de l’ordre : certainement l’une des grandes impostures de notre époque.
Contester la réalité d’une blessure et donc le statut même d’une victime, c’est faire subir à la victime une seconde agression – morale.
Le Sud-Ouest avait tenu à signifier au président souillagais d’un jour qu’il n’était pas dupe de cette campagne de com’.
Quand un pouvoir en est réduit à s’abaisser à ce niveau…
…la droite LR, suicidaire, s’est enfoncée dans un conformisme craintif qu’elle croit être de la responsabilité.
Un rapide petit tour de France à travers la presse régionale semble bien nous indiquer qu’il n’y a pas eu le feu que sur les ronds-points, où les irréductibles gilets jaunes brûlaient des palettes pour se réchauffer.
On se souvient des célèbres vœux de De Gaulle en 1967 : « Que sera 1968 ? L’avenir n’appartient à personne et je ne le prédis pas. »
En réalité, toute cette cacophonie ne connaît qu’une origine. L’incompétence.
Et cela risque de mal finir.
Ironie du sort : c’est en œuvrant à la sécurité de l’action qu’il a été fauché.
Ils souffrent des mêmes maux et sont surtout du même monde. Celui de la petite France méritante dont on méprise les valeurs désuètes.
Dans ce monde de brutes, comme dirait Castaner, un peu de tendresse ne fait pas de mal.
Christophe Castaner aurait expliqué à Gavroche, en 1832, qu’il était un dangereux fasciste !
Pourtant, que Castaner se rassure : certains d’entre eux fonctionnent encore très bien. Notamment celui qui a pris la secrétaire d’État à l’Écologie à 150 km/h au lieu de 110 sur une autoroute !
Au fond, on l’aura compris, Emmanuel Macron veut que ces manifestations cessent et, en même temps, il sait très bien que leur banalisation hebdomadaire le sert.
Toute la presse en bruit, les réseaux sociaux aussi : le passage de Christophe Castaner dans l’émission « Au tableau » sur C8.
Le rapport de la commission d’enquête du Sénat sur « l’affaire Benalla » a été particulièrement critiqué par plusieurs membres du gouvernement. Au micro de Boulevard Voltaire,
Alors, sans doute un peu naïf, on imagine qu’ils vont taper un grand coup. Par exemple, fermer quelques salles de prière où l’on prêche – pas en latin – la haine de la France…
Le maire de Nice sera donc le premier candidat à s’essayer à cet Où est Charlie ? à la mode macronnienne.
Une motion de principe, en quelque sorte, histoire de se faire plaisir, quoi ! En gros, c’est pas bien d’être méchant avec les gentils.
Ce n’est pas la première fois que les socialistes font le coup.
Le ministre de l’Intérieur est dans son rôle quand il s’inquiète de la hausse de 74 % des actes antisémites en France…
La police de sécurité du quotidien – comme si la police était une mission autre que quotidienne -, n’a, en vérité, jamais été autre chose qu’un vaste plan de communication destiné à donner de la visibilité à une politique sécuritaire anémique.
Politiquement, ce sont des traîtres, des renégats, et leur appartenance nationale doit être mise entre guillemets : ce sont d’abord des djihadistes, juridiquement « français ».
N’en déplaise à Castaner, ces individus aux mains couvertes de sang sont des terroristes avant d’être des Français. Et ils doivent être considérés et traités comme tels.
C’est fou, d’ailleurs, comme on devient vite complice d’un crime ou d’un délit dans le système intellectuel castanero-macronien…
C’est ce mardi qu’à l’Assemblée nationale était discutée la loi « anti-casseur » concoctée par Christophe Castaner.
Quinze secondes de gagnées. C’est toujours ça de pris. Ça y est, je peux partir ?
Les héritiers de Mai 68 encostardés qui s’érigent en défenseurs de l’ordre : certainement l’une des grandes impostures de notre époque.
Contester la réalité d’une blessure et donc le statut même d’une victime, c’est faire subir à la victime une seconde agression – morale.
Le Sud-Ouest avait tenu à signifier au président souillagais d’un jour qu’il n’était pas dupe de cette campagne de com’.
Quand un pouvoir en est réduit à s’abaisser à ce niveau…
…la droite LR, suicidaire, s’est enfoncée dans un conformisme craintif qu’elle croit être de la responsabilité.
Un rapide petit tour de France à travers la presse régionale semble bien nous indiquer qu’il n’y a pas eu le feu que sur les ronds-points, où les irréductibles gilets jaunes brûlaient des palettes pour se réchauffer.
On se souvient des célèbres vœux de De Gaulle en 1967 : « Que sera 1968 ? L’avenir n’appartient à personne et je ne le prédis pas. »
En réalité, toute cette cacophonie ne connaît qu’une origine. L’incompétence.
Et cela risque de mal finir.
Ironie du sort : c’est en œuvrant à la sécurité de l’action qu’il a été fauché.
Ils souffrent des mêmes maux et sont surtout du même monde. Celui de la petite France méritante dont on méprise les valeurs désuètes.
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