Christophe Castaner
Ce qui emmerde nos politiques, c’est que ce mouvement échappe à toute mainmise, bien qu’on l’attribue un peu vite à l’extrême droite, ce qui est très pratique.
Christophe Castaner a souligné que « l’entrée en fonction de ce gouvernement a marqué un tournant » dans la lutte contre l’immigration irrégulière. On croit rêver !
Le nouveau sport national est de frapper, blesser et tuer les gardiens de notre paix.
Le 1er novembre est le jour de la Toussaint. C’est aussi le malheureux anniversaire de la rébellion algérienne avec l’assassinat, par le FLN, du couple d’instituteurs Guy et Janine Monnerot dans les Aurès.
Comment un « chef des armées », qui a évité le service militaire, insulté la présence française en Algérie et salué la mémoire d’un traître, peut-il avoir le culot de minimiser le rôle et les sacrifices des poilus et de leurs chefs…
Quand l’État en appelle aux forces de l’ordre, c’est que le problème en question n’a pas été résolu en amont.
Gérard Collomb aurait manifesté sa crainte de l’élection de maires salafistes.
Il est vrai que madame Belloubet s’est fixé pour objectif principal non pas de lutter contre la délinquance mais contre la surpopulation carcérale…
Est-ce bien sérieux ! Castaner le libertaire islamo-compatible au ministère de l’Intérieur, on ne pouvait pas imaginer pire scénario.
Quatorze mots pour ne rien dire.
Et d’évoquer, tout aussi sérieusement, la police de sécurité du quotidien, cette vaste pantomime sécuritaire pour « bobo » qui, selon lui, serait le remède à tous nos maux.
Après un silence de quinze jours, on a su enfin quelle était la composition du nouveau gouvernement. Beaucoup s’accordent à penser qu’il n’est pas le
Christophe Castaner, un proche d’Emmanuel Macron, a été nommé hier au ministère de l’Intérieur. Pour Alexandre Langlois, le représentant du syndicat VIGI, c’est une bonne
En choisissant de confier la paix intérieure de la France à deux « amateurs », Macron indique sans ambages que la problématique sécuritaire que connaît notre pays ne l’intéresse pas.
Castaner, le Poniatowski de Macron ? N’exagérons pas !
Mais, en attendant, dormez en paix, braves gens, Édouard Philippe patrouille.
Encore une start-up qui part à la godille.
Le coaching, décidément, fait des miracles.
Que retenir de ce nouveau cafouillage au sommet de l’État ?
Mais, au fait, pourquoi de telles intimidations ? Ne seraient-elles pas le signe d’un affolement du pouvoir ?
La piétaille n’est pas faite pour penser mais pour suivre le guide suprême !
Le coup est parti d’un petit camarade qui adore être au premier rang lui aussi mais qui a su se faire très discret durant l’affaire Benalla.
Le fameux « maître des horloges », remonté comme une pendule dans les Pyrénées, pouvait être content.
Emmanuel Macron était au milieu des siens. Il n’était pas le président de la République française mais celui de La République en marche.
Il faut donc être bien noté, si l’on veut être de nouveau investi, et montrer qu’on est non seulement utile, mais indispensable…
Tout est donc sur la table, disait Mme Buzyn. Tout ?
Castaner, c’est le valet de chambre que même la reine d’Angleterre, en 65 ans de carrière au compteur, n’a jamais eu.
Pas de cuisine électorale au niveau national, mais les recettes locales sont admises.
Ce qui emmerde nos politiques, c’est que ce mouvement échappe à toute mainmise, bien qu’on l’attribue un peu vite à l’extrême droite, ce qui est très pratique.
Christophe Castaner a souligné que « l’entrée en fonction de ce gouvernement a marqué un tournant » dans la lutte contre l’immigration irrégulière. On croit rêver !
Le nouveau sport national est de frapper, blesser et tuer les gardiens de notre paix.
Le 1er novembre est le jour de la Toussaint. C’est aussi le malheureux anniversaire de la rébellion algérienne avec l’assassinat, par le FLN, du couple d’instituteurs Guy et Janine Monnerot dans les Aurès.
Comment un « chef des armées », qui a évité le service militaire, insulté la présence française en Algérie et salué la mémoire d’un traître, peut-il avoir le culot de minimiser le rôle et les sacrifices des poilus et de leurs chefs…
Quand l’État en appelle aux forces de l’ordre, c’est que le problème en question n’a pas été résolu en amont.
Gérard Collomb aurait manifesté sa crainte de l’élection de maires salafistes.
Il est vrai que madame Belloubet s’est fixé pour objectif principal non pas de lutter contre la délinquance mais contre la surpopulation carcérale…
Est-ce bien sérieux ! Castaner le libertaire islamo-compatible au ministère de l’Intérieur, on ne pouvait pas imaginer pire scénario.
Quatorze mots pour ne rien dire.
Et d’évoquer, tout aussi sérieusement, la police de sécurité du quotidien, cette vaste pantomime sécuritaire pour « bobo » qui, selon lui, serait le remède à tous nos maux.
Après un silence de quinze jours, on a su enfin quelle était la composition du nouveau gouvernement. Beaucoup s’accordent à penser qu’il n’est pas le
Christophe Castaner, un proche d’Emmanuel Macron, a été nommé hier au ministère de l’Intérieur. Pour Alexandre Langlois, le représentant du syndicat VIGI, c’est une bonne
En choisissant de confier la paix intérieure de la France à deux « amateurs », Macron indique sans ambages que la problématique sécuritaire que connaît notre pays ne l’intéresse pas.
Castaner, le Poniatowski de Macron ? N’exagérons pas !
Mais, en attendant, dormez en paix, braves gens, Édouard Philippe patrouille.
Encore une start-up qui part à la godille.
Le coaching, décidément, fait des miracles.
Que retenir de ce nouveau cafouillage au sommet de l’État ?
Mais, au fait, pourquoi de telles intimidations ? Ne seraient-elles pas le signe d’un affolement du pouvoir ?
La piétaille n’est pas faite pour penser mais pour suivre le guide suprême !
Le coup est parti d’un petit camarade qui adore être au premier rang lui aussi mais qui a su se faire très discret durant l’affaire Benalla.
Le fameux « maître des horloges », remonté comme une pendule dans les Pyrénées, pouvait être content.
Emmanuel Macron était au milieu des siens. Il n’était pas le président de la République française mais celui de La République en marche.
Il faut donc être bien noté, si l’on veut être de nouveau investi, et montrer qu’on est non seulement utile, mais indispensable…
Tout est donc sur la table, disait Mme Buzyn. Tout ?
Castaner, c’est le valet de chambre que même la reine d’Angleterre, en 65 ans de carrière au compteur, n’a jamais eu.
Pas de cuisine électorale au niveau national, mais les recettes locales sont admises.
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