Confinement

Et puis Noël se profile, avec ses fiestas nombreuses dans et hors les familles, ses achats compulsifs, sources de toutes contaminations ; bref, la naissance du petit Jésus a toutes chances de se télescoper avec une hyper-activité de la Grande Faucheuse…

Ou quand un virus microscopique entreprend un grand nettoyage par le (Co)vide…

Quand on laisse les femmes enceintes se consacrer à leur grossesse, on réduit les risques.

Je serai présente pour honorer ma patrie…

L’être humain étant ce qu’il est, beaucoup ont sauté sur l’occasion pour frauder au risque de deux ans de prison ferme, de 30.000 € d’amende, du remboursement des aides et de l’exclusion des aides pendant cinq ans.

Si l’essentiel, c’est notre nombril, alors le confinement nous a bien recentrés dessus, en effet.

Les mesures gouvernementales ont gelé les problèmes et anesthésié l’économie française, mais celle-ci sort peu à peu de son coma.

Le virus, qui s’étend très vite, s’appelle communautarisme, couve depuis de nombreuses années, et il ne suffira pas de quelques mois, saupoudrés d’un peu de Doliprane™ ou de chloroquine, pour s’en débarrasser.

Prem’s sur la ligne d’arrivée de la course aux ouvrages à paraître sur le sujet. Le Lucky Luke de la plume dégaine Ce virus qui rend fou, aux Éditions Grasset.

Il regarde une dernière fois son zinc fatigué et ne peut éviter les douleurs éreintées, les mollets grossis, les poumons encrassés.

Pour eux, serrés les uns contre les autres, c’était un véritable appel à l’insurrection défiant les gestes barrières…

Comment expliquer ce phénomène et cette information importante dont les médias ont consciencieusement évité de parler jusqu’à présent ?

La crise sera d’autant plus terrible que la crainte du lendemain poussera les Français qui peuvent encore dépenser à privilégier l’épargne au détriment de la consommation.

À gagner dès demain sur RMC : un tour de périph en marche arrière dans la voiture d’Agnès Buzyn. À vos téléphones !

Le temps qu’ils réfléchissent, qu’ils se ressaisissent, qu’ils se mettent en conformité avec la bonne pensée…

Sans tomber dans le conspirationnisme, il est clair que le confinement a aussi constitué un test de docilité grandeur nature.

Quand cette vie ne sera plus une vie, pensez bien à passer votre corde au gel hydroalcoolique. Il serait malheureux qu’un quidam se contamine en vous enterrant.

Le confinement a été une violence qui nous a été imposée à tous et, par conséquent, le traumatisme est bien présent.

Pourquoi continuer d’abusivement asphyxier certains domaines d’activité et d’imposer à la population des contraintes rocambolesques ?

Les manifestations anti-confinement s’étendent.

Réjouissons-nous : quand nous serons des robots ou des humains transgéniques, aucune bactérie ni aucun virus n’auront d’effets sur nous.

Étant médecin, spécialiste du stress et du stress post-traumatique (TSPT), j’aimerais partager pourquoi la réponse à cette question tombe sous le sens.

Si Olivier Véran a quelques amis, ceux-ci devraient le mettre en garde.

On me prend la température lorsque je pénètre dans le hall d’entrée des bureaux de mon employeur. S’y ajoute, depuis hier 13 mai, la surveillance orwellienne de mes paroles.

Le discours des Bernardins avait manifesté à l’égard de l’Église catholique un mépris qui n’a pas d’équivalent dans l’histoire de la République française.

À sa décharge, le texte est si confus qu’on s’y perd immédiatement. Difficile d’y voir clair.

Souvenons-nous des mots de Gandhi : « Un individu conscient, éveillé et debout est plus dangereux pour le pouvoir en place que 10.000 individus endormis et apeurés. »

L’École démagogique, qui se réfugie derrière la technique comme derrière un petit doigt, a « oublié » ce qui a toujours été depuis que l’homme vit en société.

Et puis Noël se profile, avec ses fiestas nombreuses dans et hors les familles, ses achats compulsifs, sources de toutes contaminations ; bref, la naissance du petit Jésus a toutes chances de se télescoper avec une hyper-activité de la Grande Faucheuse…

Ou quand un virus microscopique entreprend un grand nettoyage par le (Co)vide…

Quand on laisse les femmes enceintes se consacrer à leur grossesse, on réduit les risques.

Je serai présente pour honorer ma patrie…

L’être humain étant ce qu’il est, beaucoup ont sauté sur l’occasion pour frauder au risque de deux ans de prison ferme, de 30.000 € d’amende, du remboursement des aides et de l’exclusion des aides pendant cinq ans.

Si l’essentiel, c’est notre nombril, alors le confinement nous a bien recentrés dessus, en effet.

Les mesures gouvernementales ont gelé les problèmes et anesthésié l’économie française, mais celle-ci sort peu à peu de son coma.

Le virus, qui s’étend très vite, s’appelle communautarisme, couve depuis de nombreuses années, et il ne suffira pas de quelques mois, saupoudrés d’un peu de Doliprane™ ou de chloroquine, pour s’en débarrasser.

Prem’s sur la ligne d’arrivée de la course aux ouvrages à paraître sur le sujet. Le Lucky Luke de la plume dégaine Ce virus qui rend fou, aux Éditions Grasset.

Il regarde une dernière fois son zinc fatigué et ne peut éviter les douleurs éreintées, les mollets grossis, les poumons encrassés.

Pour eux, serrés les uns contre les autres, c’était un véritable appel à l’insurrection défiant les gestes barrières…

Comment expliquer ce phénomène et cette information importante dont les médias ont consciencieusement évité de parler jusqu’à présent ?

La crise sera d’autant plus terrible que la crainte du lendemain poussera les Français qui peuvent encore dépenser à privilégier l’épargne au détriment de la consommation.

À gagner dès demain sur RMC : un tour de périph en marche arrière dans la voiture d’Agnès Buzyn. À vos téléphones !

Le temps qu’ils réfléchissent, qu’ils se ressaisissent, qu’ils se mettent en conformité avec la bonne pensée…

Sans tomber dans le conspirationnisme, il est clair que le confinement a aussi constitué un test de docilité grandeur nature.

Quand cette vie ne sera plus une vie, pensez bien à passer votre corde au gel hydroalcoolique. Il serait malheureux qu’un quidam se contamine en vous enterrant.

Le confinement a été une violence qui nous a été imposée à tous et, par conséquent, le traumatisme est bien présent.

Pourquoi continuer d’abusivement asphyxier certains domaines d’activité et d’imposer à la population des contraintes rocambolesques ?

Les manifestations anti-confinement s’étendent.

Réjouissons-nous : quand nous serons des robots ou des humains transgéniques, aucune bactérie ni aucun virus n’auront d’effets sur nous.

Étant médecin, spécialiste du stress et du stress post-traumatique (TSPT), j’aimerais partager pourquoi la réponse à cette question tombe sous le sens.

Si Olivier Véran a quelques amis, ceux-ci devraient le mettre en garde.

On me prend la température lorsque je pénètre dans le hall d’entrée des bureaux de mon employeur. S’y ajoute, depuis hier 13 mai, la surveillance orwellienne de mes paroles.

Le discours des Bernardins avait manifesté à l’égard de l’Église catholique un mépris qui n’a pas d’équivalent dans l’histoire de la République française.

À sa décharge, le texte est si confus qu’on s’y perd immédiatement. Difficile d’y voir clair.

Souvenons-nous des mots de Gandhi : « Un individu conscient, éveillé et debout est plus dangereux pour le pouvoir en place que 10.000 individus endormis et apeurés. »

L’École démagogique, qui se réfugie derrière la technique comme derrière un petit doigt, a « oublié » ce qui a toujours été depuis que l’homme vit en société.
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