Confinement

Par strict égalitarisme, des éléments clés de l’économie réelle ont été sacrifiés.

Interdiction est faite aux bouseux du Cantal de se mélanger aux ploucs du Berry. Chacun chez soi et les vaches – c’est-à-dire nous – seront bien gardées.

Emmanuelle Ménard, députée de l’Hérault, est intervenue à l’Assemblée nationale pour demander que les lieux de culte soient rouverts dès le 11 mai.

Le télétravail, tel le cheval de Troie, porte en lui une refonte inéluctable des relations de travail, et surtout une conception totalement nouvelle du travail lui-même dont la valeur, vertu suprême, peut prendre enfin d’autres directions.

Pour le Big Brother le « crime-pensée » par excellence est bien la reconnaissance de la finitude humaine.

Une panique de cette nature était-elle pensable, il y a cinquante ans ?

On n’existe qu’avec l’autre, que par l’autre. Altérité que l’injonction du confinement ne manque pas d’oublier.

Hélas, ces monolithes pesants handicapent plus qu’ils n’aident. On attendait de la flexibilité et de la hauteur, on se retrouve avec un bloc de béton non armé.

Bonne nouvelle : si 11 % ont envie de prendre le large et 4 % définitivement, 80 % des couples sont prêts à se reconfiner ensemble.

Reprenons nos vies en main !

N’oublions pas qu’en France, le confinement a succédé à deux ans de révolte des gilets jaunes suivis par les manifestions contre la technocratique et libérale réforme des retraites.

Combien de lecteurs assidus connaissaient mieux un pays que les masses en tongs qui prétendent « avoir fait l’Italie » parce qu’ils y ont été trois jours ?

Une majorité d’entre nous, compte tenu de la gestion catastrophique de cette crise sanitaire, n’est certainement pas prête à revivre un épisode aussi délirant.

Désolé de continuer les conversations de bistrot, mais comme le dit Jean-Marc Robine, « seule la pression médiatique parvient à les faire changer d’attitude »…

Messeigneurs, la mollesse ou l’esquive ne sont plus de mise face à ceux qui ne veulent que votre effacement et la perdition de vos brebis.

En ces temps de confinement, tous les ingrédients sont réunis pour la méthode du lavage de cerveau…

L’homme des champs passera cette crise. Il n’est pas survivaliste, mais il a gardé une distance protectrice avec la fragile société moderne.

« Ne pas subir » disait le Maréchal de Lattre. N’est ce pas un spectacle de soumission que nous donnons à nos enfants ?

Dans ce cher et vieux pays, le curé et le bistroquet feront sans doute partie de la dernière charrette à bénéficier de la levée d’écrou post-confinement.

Je me demande bien quelle peut être cette « population qui suit le ramadan » ! Si vous avez la réponse, merci d’écrire à Boulevard Voltaire qui fera suivre.

Exemple : les librairies de quartiers sont fermées, en revanche on peut acheter des livres dans les supermarchés…

Quel est le décideur qui a fait le cauchemar de plages surchargées alors que les Français n’avaient le droit ni de circuler ni de prendre des vacances de Pâques ?

Les pensionnaires d’EHPAD, recluses dans leur chambre pour ne pas mourir, ont pour seule compagnie une télé anxiogène qui ne leur parle en boucle que de pensionnaires d’EHPAD, recluses dans leur chambre et en train de mourir…

C’est officiel : on sait, désormais, qu’en France, ou tout du moins en Normandie, le pays des hommes du Nord, il existe des « quartiers à forte concentration de population suivant le ramadan ».
On les sent perdus, dépassés…

Alors que le déconfinement est prévu le 11 mai, on a appris cette semaine que les messes publiques ne devraient pas reprendre avant mi-juin…

Dimanche dernier, trois policiers armés font irruption dans l’église Saint-André-de-l’Europe, à Paris, pour demander l’arrêt d’une messe…

La députée Marie-France Lorho a interpellé le ministre de l’Intérieur.

Par strict égalitarisme, des éléments clés de l’économie réelle ont été sacrifiés.

Interdiction est faite aux bouseux du Cantal de se mélanger aux ploucs du Berry. Chacun chez soi et les vaches – c’est-à-dire nous – seront bien gardées.

Emmanuelle Ménard, députée de l’Hérault, est intervenue à l’Assemblée nationale pour demander que les lieux de culte soient rouverts dès le 11 mai.

Le télétravail, tel le cheval de Troie, porte en lui une refonte inéluctable des relations de travail, et surtout une conception totalement nouvelle du travail lui-même dont la valeur, vertu suprême, peut prendre enfin d’autres directions.

Pour le Big Brother le « crime-pensée » par excellence est bien la reconnaissance de la finitude humaine.

Une panique de cette nature était-elle pensable, il y a cinquante ans ?

On n’existe qu’avec l’autre, que par l’autre. Altérité que l’injonction du confinement ne manque pas d’oublier.

Hélas, ces monolithes pesants handicapent plus qu’ils n’aident. On attendait de la flexibilité et de la hauteur, on se retrouve avec un bloc de béton non armé.

Bonne nouvelle : si 11 % ont envie de prendre le large et 4 % définitivement, 80 % des couples sont prêts à se reconfiner ensemble.

Reprenons nos vies en main !

N’oublions pas qu’en France, le confinement a succédé à deux ans de révolte des gilets jaunes suivis par les manifestions contre la technocratique et libérale réforme des retraites.

Combien de lecteurs assidus connaissaient mieux un pays que les masses en tongs qui prétendent « avoir fait l’Italie » parce qu’ils y ont été trois jours ?

Une majorité d’entre nous, compte tenu de la gestion catastrophique de cette crise sanitaire, n’est certainement pas prête à revivre un épisode aussi délirant.

Désolé de continuer les conversations de bistrot, mais comme le dit Jean-Marc Robine, « seule la pression médiatique parvient à les faire changer d’attitude »…

Messeigneurs, la mollesse ou l’esquive ne sont plus de mise face à ceux qui ne veulent que votre effacement et la perdition de vos brebis.

En ces temps de confinement, tous les ingrédients sont réunis pour la méthode du lavage de cerveau…

L’homme des champs passera cette crise. Il n’est pas survivaliste, mais il a gardé une distance protectrice avec la fragile société moderne.

« Ne pas subir » disait le Maréchal de Lattre. N’est ce pas un spectacle de soumission que nous donnons à nos enfants ?

Dans ce cher et vieux pays, le curé et le bistroquet feront sans doute partie de la dernière charrette à bénéficier de la levée d’écrou post-confinement.

Je me demande bien quelle peut être cette « population qui suit le ramadan » ! Si vous avez la réponse, merci d’écrire à Boulevard Voltaire qui fera suivre.

Exemple : les librairies de quartiers sont fermées, en revanche on peut acheter des livres dans les supermarchés…

Quel est le décideur qui a fait le cauchemar de plages surchargées alors que les Français n’avaient le droit ni de circuler ni de prendre des vacances de Pâques ?

Les pensionnaires d’EHPAD, recluses dans leur chambre pour ne pas mourir, ont pour seule compagnie une télé anxiogène qui ne leur parle en boucle que de pensionnaires d’EHPAD, recluses dans leur chambre et en train de mourir…

C’est officiel : on sait, désormais, qu’en France, ou tout du moins en Normandie, le pays des hommes du Nord, il existe des « quartiers à forte concentration de population suivant le ramadan ».
On les sent perdus, dépassés…

Alors que le déconfinement est prévu le 11 mai, on a appris cette semaine que les messes publiques ne devraient pas reprendre avant mi-juin…

Dimanche dernier, trois policiers armés font irruption dans l’église Saint-André-de-l’Europe, à Paris, pour demander l’arrêt d’une messe…

La députée Marie-France Lorho a interpellé le ministre de l’Intérieur.
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