Conflans-Sainte-Honorine
On attend tout de l’école alors qu’elle est confrontée à un problème qui la dépasse.
Qu’il est choquant de lire, surtout quand l’auteur est un magistrat, qu’un contexte devrait moduler la liberté d’expression.
Par-dessus la foule des invités, comme sur une coupe glacée, le bon sirop de République vient tout édulcorer et parfumer…
Robert Ménard a fait afficher des caricatures de Mahomet de Charlie Hebdo dans sa ville de Béziers, en hommage à l’enseignant Samuel Paty.
Après la décapitation de Samuel Paty, chers collègues, nous n’avons plus droit au « hors-sujet » !
Pardon, Samuel, soldat inconnu de l’Éducation nationale.
Ce billet iconoclaste dit sans doute tout haut ce que d’autres pensent tout bas.
Le lien pourtant limpide entre le djihadisme et les écoles chrétiennes échappa à cette foule inculte, dont ne tardèrent pas à fuser cris et sifflements.
Après l’attentat de Conflans-Saint-Honorine, Noam Anouar livre sa vision de l’islam de France aujourd’hui. Un état des lieux sans concessions.
Selon le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, ces derniers ont « manifestement lancé une fatwa » contre Samuel Paty.
La situation se tend : les fondamentalistes se sentent en pays conquis, ils voient qu’en face, il n’y a pas de résistance (apprendre l’arabe à l’école !).
Avec l’attentat de Conflans-Saint-Honorine qui a coûté la vie à Samuel Paty dans les conditions abominables que l’on sait, une personnalité se détache en marge
Après l’attentat de Conflans-Sainte-Honorine, des voix se font entendre pour contrôler davantage les réseaux sociaux. Et l’on reparle de la proposition de loi de Laetitia
Prétendre sauver la liberté d’expression en appelant de ses vœux une loi pour la limiter, c’est osé, mais ça se tentait, ils l’ont fait. Michel Audiard a, paraît-il, une théorie sur le sujet.
Enfant, je n’aurais jamais imaginé, sauf dans mes pires cauchemars, voir dans ma douce France ce qui s’est passé vendredi.
Combien y a-t-il de Tchétchènes, en France ? On ne sait pas. Certes, on le devrait, vu qu’ils sont tous « réfugiés politiques », mais
Face à la menace qui nous étreint aujourd’hui, il y deux réponses : l’une politique, qui se fait sans cesse plus attendre, l’autre morale et civilisationnelle, qui dépend de nous tous.
La victime est un enseignant du collège du Bois d’Aulne de Conflans-Sainte-Honorine. L’homme aurait montré les caricatures de Mahomet durant un cours, ce qui aurait motivé l’acte du tueur.
On attend tout de l’école alors qu’elle est confrontée à un problème qui la dépasse.
Qu’il est choquant de lire, surtout quand l’auteur est un magistrat, qu’un contexte devrait moduler la liberté d’expression.
Par-dessus la foule des invités, comme sur une coupe glacée, le bon sirop de République vient tout édulcorer et parfumer…
Robert Ménard a fait afficher des caricatures de Mahomet de Charlie Hebdo dans sa ville de Béziers, en hommage à l’enseignant Samuel Paty.
Après la décapitation de Samuel Paty, chers collègues, nous n’avons plus droit au « hors-sujet » !
Pardon, Samuel, soldat inconnu de l’Éducation nationale.
Ce billet iconoclaste dit sans doute tout haut ce que d’autres pensent tout bas.
Le lien pourtant limpide entre le djihadisme et les écoles chrétiennes échappa à cette foule inculte, dont ne tardèrent pas à fuser cris et sifflements.
Après l’attentat de Conflans-Saint-Honorine, Noam Anouar livre sa vision de l’islam de France aujourd’hui. Un état des lieux sans concessions.
Selon le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, ces derniers ont « manifestement lancé une fatwa » contre Samuel Paty.
La situation se tend : les fondamentalistes se sentent en pays conquis, ils voient qu’en face, il n’y a pas de résistance (apprendre l’arabe à l’école !).
Avec l’attentat de Conflans-Saint-Honorine qui a coûté la vie à Samuel Paty dans les conditions abominables que l’on sait, une personnalité se détache en marge
Après l’attentat de Conflans-Sainte-Honorine, des voix se font entendre pour contrôler davantage les réseaux sociaux. Et l’on reparle de la proposition de loi de Laetitia
Prétendre sauver la liberté d’expression en appelant de ses vœux une loi pour la limiter, c’est osé, mais ça se tentait, ils l’ont fait. Michel Audiard a, paraît-il, une théorie sur le sujet.
Enfant, je n’aurais jamais imaginé, sauf dans mes pires cauchemars, voir dans ma douce France ce qui s’est passé vendredi.
Combien y a-t-il de Tchétchènes, en France ? On ne sait pas. Certes, on le devrait, vu qu’ils sont tous « réfugiés politiques », mais
Face à la menace qui nous étreint aujourd’hui, il y deux réponses : l’une politique, qui se fait sans cesse plus attendre, l’autre morale et civilisationnelle, qui dépend de nous tous.
La victime est un enseignant du collège du Bois d’Aulne de Conflans-Sainte-Honorine. L’homme aurait montré les caricatures de Mahomet durant un cours, ce qui aurait motivé l’acte du tueur.
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