Consommation de drogue
Non, ne dormez pas tranquilles, braves gens ! Le drame des toxicomanies s’intensifie…
On peut être en échec scolaire et réussir dans les affaires…
Le film My Beautiful Boy, d’un réalisateur d’origine belge, se déroule aux USA. Il relate la descente dans l’enfer des drogues du jeune Nicolas Steff
Alaska, Colorado, Oregon, Washington – les quatre premiers États ayant légalisé le cannabis récréatif – connaissent tous, depuis lors (dit le FBI), une nette augmentation des homicides et vols avec violence.
Ces parents drogués, victimes eux-mêmes de la nocivité du cannabis, deviendront ainsi parents de drogués.
Un « cannabis à points », à l’instar du permis du même nom, aurait constitué un intéressant moyen de prévention.
À l’heure où l’on devient plus attentif à la préservation des espèces animales, ne devrait-on pas s’intéresser un peu plus à l’espèce humaine ?
Dans un marché mondialisé, autrement dit totalement fluidifié, il n’est pas étonnant de constater que cette drogue dure soit passée du statut de tabou à celui de totem.
Les premiers usages sont de plus en plus précoces ; au collège, dès la cinquième.
Le cannabis incite à la consommation d’alcool.
Ce fut pourtant dans la douleur que les habitants du quartier de la gare du Nord accueillirent cette salle de shoot ; douleur qui, d’ailleurs, n’est toujours pas calmée.
…retard du développement, hyperactivité avec déficit de l’attention, risque accru de mort subite « inexpliquée »…
Ils étaient cinq pour faire leurs sottises et ils voudraient en faire davantage.
Ces données terrifiantes auraient dû mobiliser médecins, éducateurs, politiques…
Et c’est alors un véritable tsunami du principe actif du cannabis, le THC, qui envahit le sang, puis le cerveau.
Outre les intoxiqués par cette drogue, on trouve à la manœuvre des investisseurs, sans autre morale que l’espoir de revenus considérables.
Non, ne dormez pas tranquilles, braves gens ! Le drame des toxicomanies s’intensifie…
On peut être en échec scolaire et réussir dans les affaires…
Le film My Beautiful Boy, d’un réalisateur d’origine belge, se déroule aux USA. Il relate la descente dans l’enfer des drogues du jeune Nicolas Steff
Alaska, Colorado, Oregon, Washington – les quatre premiers États ayant légalisé le cannabis récréatif – connaissent tous, depuis lors (dit le FBI), une nette augmentation des homicides et vols avec violence.
Ces parents drogués, victimes eux-mêmes de la nocivité du cannabis, deviendront ainsi parents de drogués.
Un « cannabis à points », à l’instar du permis du même nom, aurait constitué un intéressant moyen de prévention.
À l’heure où l’on devient plus attentif à la préservation des espèces animales, ne devrait-on pas s’intéresser un peu plus à l’espèce humaine ?
Dans un marché mondialisé, autrement dit totalement fluidifié, il n’est pas étonnant de constater que cette drogue dure soit passée du statut de tabou à celui de totem.
Les premiers usages sont de plus en plus précoces ; au collège, dès la cinquième.
Le cannabis incite à la consommation d’alcool.
Ce fut pourtant dans la douleur que les habitants du quartier de la gare du Nord accueillirent cette salle de shoot ; douleur qui, d’ailleurs, n’est toujours pas calmée.
…retard du développement, hyperactivité avec déficit de l’attention, risque accru de mort subite « inexpliquée »…
Ils étaient cinq pour faire leurs sottises et ils voudraient en faire davantage.
Ces données terrifiantes auraient dû mobiliser médecins, éducateurs, politiques…
Et c’est alors un véritable tsunami du principe actif du cannabis, le THC, qui envahit le sang, puis le cerveau.
Outre les intoxiqués par cette drogue, on trouve à la manœuvre des investisseurs, sans autre morale que l’espoir de revenus considérables.