Corse
Toussaint Luciani, une personnalité emblématique de l’île de Beauté, s’en est allé pour son dernier voyage, ce dimanche 4 février.
Je ne doute pas qu’Emmanuel Macron saura démontrer que « en même temps » n’est pas un vain mot mais une belle occasion pour une authentique action lui ressemblant.
Préambule à l’accueil chaleureux du Président, les mouvements nationalistes et indépendantistes ont organisé, samedi dernier, une manifestation pour peser sur les discussions à venir.
Comme à l’accoutumée, les évaluations varient du simple au quadruple, de 5600 à 6000 de la police, à 20.000 des organisateurs.
Il reprend à son compte des slogans ressassés, tels la sclérose du pouvoir central, l’existence d’un peuple corse et la détention de prisonniers politiques insulaires.
Les représentants de la région de Corse ont pris l’initiative de rompre les discussions en cours.
Tout est « politique ».
Encouragés par quarante-cinq années de laxisme d’État, les séparatistes spéculent à présent sur la « modernité » du gouvernement actuel pour arracher enfin la Corse à la France.
Un monument doit être inauguré par le chef de l’État à Ajaccio, sur les lieux mêmes où il fut abattu.
L’élection territoriale corse a provoqué un emballement médiatique débridé occultant l’essentiel.
Après le mirage d’une régionalisation qui aurait pu présenter un véritable intérêt, le centralisme est revenu en force mais plus dévoyé que jamais.
Toussaint Luciani, une personnalité emblématique de l’île de Beauté, s’en est allé pour son dernier voyage, ce dimanche 4 février.
Je ne doute pas qu’Emmanuel Macron saura démontrer que « en même temps » n’est pas un vain mot mais une belle occasion pour une authentique action lui ressemblant.
Préambule à l’accueil chaleureux du Président, les mouvements nationalistes et indépendantistes ont organisé, samedi dernier, une manifestation pour peser sur les discussions à venir.
Comme à l’accoutumée, les évaluations varient du simple au quadruple, de 5600 à 6000 de la police, à 20.000 des organisateurs.
Il reprend à son compte des slogans ressassés, tels la sclérose du pouvoir central, l’existence d’un peuple corse et la détention de prisonniers politiques insulaires.
Les représentants de la région de Corse ont pris l’initiative de rompre les discussions en cours.
Tout est « politique ».
Encouragés par quarante-cinq années de laxisme d’État, les séparatistes spéculent à présent sur la « modernité » du gouvernement actuel pour arracher enfin la Corse à la France.
Un monument doit être inauguré par le chef de l’État à Ajaccio, sur les lieux mêmes où il fut abattu.
L’élection territoriale corse a provoqué un emballement médiatique débridé occultant l’essentiel.
Après le mirage d’une régionalisation qui aurait pu présenter un véritable intérêt, le centralisme est revenu en force mais plus dévoyé que jamais.
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