Coupe du monde de football
Nous sommes si habitués à entendre des concerts de cornes de brume, de klaxons, de youyous dans nos rues, les soirs de match…
L’équipe des Bleus a retrouvé la France.
Dans les grands moments d’exaltation collective – et la Coupe du monde nous en a donné une illustration éclatante dans la soirée du 10 juillet
Il a manqué, à cette Coupe du monde, un sélectionneur de spectateurs. Un Didier Deschamps chargé de constituer des groupes de supporters filmables.
Qui a remarqué, hier soir, qu’un pilote d’hélicoptère était mort en Côte d’Ivoire, en service aérien commandé ?
1998-2018 : vingt après, nous savons que le foot ne suffit pas à faire une nation, surtout quand celle-ci est gravement fracturée.
À l’occasion de l’organisation de la Coupe du monde de football, depuis le 14 juin, tous les projecteurs sont braqués sur la Russie. Au micro
Une France « bisounours » unifiée grâce au sport, comme les utopistes en rêvent.
Faut-il que la France soit si dépréciée pour qu’on veuille à tout prix lui échapper ?
Très majoritairement, les stars du Mondial se revendiquent chrétiennes.
On parie que Giroud nous donnera la Coupe du monde.
Après tout, résister aux tout-puissants, c’est un peu la marque de fabrique des Serbes.
L’Equipe de France aura besoin de joueurs de foi et de dévouement si elle veut montrer un meilleur visage face au Pérou et au Danemark.
… cette folle espérance d’une réconciliation entre les pauvres et les riches, les inclus et les exclus, les Blacks, les Blancs et les Beurs, les amoureux de la France et les épris seulement du sport étaient du vent, de l’illusion.
Ce qui vaut pour l’islamisme vaut pour le football. On attend la fatwa de la FIFA.
C’est donc sur cette escroquerie intellectuelle que s’est bâti le mythe de l’équipe de France « black, blanc, leur ».
Nous sommes si habitués à entendre des concerts de cornes de brume, de klaxons, de youyous dans nos rues, les soirs de match…
L’équipe des Bleus a retrouvé la France.
Dans les grands moments d’exaltation collective – et la Coupe du monde nous en a donné une illustration éclatante dans la soirée du 10 juillet
Il a manqué, à cette Coupe du monde, un sélectionneur de spectateurs. Un Didier Deschamps chargé de constituer des groupes de supporters filmables.
Qui a remarqué, hier soir, qu’un pilote d’hélicoptère était mort en Côte d’Ivoire, en service aérien commandé ?
1998-2018 : vingt après, nous savons que le foot ne suffit pas à faire une nation, surtout quand celle-ci est gravement fracturée.
À l’occasion de l’organisation de la Coupe du monde de football, depuis le 14 juin, tous les projecteurs sont braqués sur la Russie. Au micro
Une France « bisounours » unifiée grâce au sport, comme les utopistes en rêvent.
Faut-il que la France soit si dépréciée pour qu’on veuille à tout prix lui échapper ?
Très majoritairement, les stars du Mondial se revendiquent chrétiennes.
On parie que Giroud nous donnera la Coupe du monde.
Après tout, résister aux tout-puissants, c’est un peu la marque de fabrique des Serbes.
L’Equipe de France aura besoin de joueurs de foi et de dévouement si elle veut montrer un meilleur visage face au Pérou et au Danemark.
… cette folle espérance d’une réconciliation entre les pauvres et les riches, les inclus et les exclus, les Blacks, les Blancs et les Beurs, les amoureux de la France et les épris seulement du sport étaient du vent, de l’illusion.
Ce qui vaut pour l’islamisme vaut pour le football. On attend la fatwa de la FIFA.
C’est donc sur cette escroquerie intellectuelle que s’est bâti le mythe de l’équipe de France « black, blanc, leur ».
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
LES PLUS LUS DU JOUR
Un vert manteau de mosquées