Crèche
Charles Aslangul, le maire de Bry-sur-Marne, a trouvé la solution pour installer une crèche de Noël en toute légalité.
Grâce à ses santons modernes, Arterra a permis aux jeunes de « renouer avec la tradition » de la crèche.
À ce stade, l’honnêteté nous oblige à saluer la cohérence de la politique menée dans la capitale des Gaules.
Elles sont pour eux le symbole d’une identité locale qui résiste.
Un an plus tard, il retente le coup, plus grandiose encore que l’année dernière.
Le maire de Perpignan Louis Aliot a affirmé qu’il respecterait cette décision de justice, la crèche sera donc enlevée… le 2 janvier, à la date prévue initialement par la municipalité.
« Il y a eu plusieurs départs de feu, dont un sur le petit Jésus, quelques petits animaux, et différents endroits de la crèche », a fait savoir le chef de cabinet du maire.
Pourquoi ce pays hait-il à ce point ses enfants ?
Le cercle vicieux, absurde, est le même que pour l’Éducation, la restauration, la santé… le métier, mal rémunéré et déprécié, n’attire plus ? Qu’à cela ne tienne, déprécions-le un peu plus pour recruter.
Charles Aslangul, le maire de Bry-sur-Marne, a trouvé la solution pour installer une crèche de Noël en toute légalité.
Grâce à ses santons modernes, Arterra a permis aux jeunes de « renouer avec la tradition » de la crèche.
À ce stade, l’honnêteté nous oblige à saluer la cohérence de la politique menée dans la capitale des Gaules.
Elles sont pour eux le symbole d’une identité locale qui résiste.
Un an plus tard, il retente le coup, plus grandiose encore que l’année dernière.
Le maire de Perpignan Louis Aliot a affirmé qu’il respecterait cette décision de justice, la crèche sera donc enlevée… le 2 janvier, à la date prévue initialement par la municipalité.
« Il y a eu plusieurs départs de feu, dont un sur le petit Jésus, quelques petits animaux, et différents endroits de la crèche », a fait savoir le chef de cabinet du maire.
Pourquoi ce pays hait-il à ce point ses enfants ?
Le cercle vicieux, absurde, est le même que pour l’Éducation, la restauration, la santé… le métier, mal rémunéré et déprécié, n’attire plus ? Qu’à cela ne tienne, déprécions-le un peu plus pour recruter.
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