Crise économique
Répéter en boucle que les Français sont préoccupés de leur pouvoir d’achat est un peu le minimum syndical des candidats…
N’oublions jamais que les États peuvent faire faillite. Nous avons l’exemple terrifiant du Liban…
Si on suit le socialiste Gleyze, il faudrait doubler l’impôt sur le revenu ou confisquer la part des retraites au-dessus de 1.500 euros par mois. Est-ce cela, la justice sociale ? Nous aurions affaire, plutôt, à un vol qualifié.
Il faut sans doute à la France un plan de redressement économique et financier à court terme dont les effets immédiats permettent de maintenir l’emploi et les revenus et de booster le moral des acteurs./
Il n’y a que des inconscients, style Mélenchon, pour croire que tout va se terminer pour le mieux en France par une dette perpétuelle dans un monde où, demain, on rasera gratis.
Nous sommes déjà sortis de la récession, précise Tim Wallace, du Telegraph, en parlant du Royaume-Uni.
Pourquoi ne pas vendre progressivement la nue-propriété des œuvres d’art et des monuments historiques ?
J’ai lu les 150 propositions de cette Convention : les trois verbes les plus employés sont « interdire », « obliger » et « taxer ».
« En ce moment, les entreprises sont en suspension, mais cela, ça va s’arrêter et l’on va se retrouver dans une situation très compliquée. »
En 1931, l’Allemagne, alors sous le régime de Weimar, avait enregistrée une récession de 12 % qui avait plongé le pays dans une crise économique et sociale dramatique.
Cette épidémie n’est qu’un déclencheur de l’effondrement du système.
Que la dette monte jusqu’à 124 % du PIB avant de se stabiliser est l’un des scénarios les plus probables.
Il est heureux que nous nous réapproprions nos vies en prenant le temps d’analyser ce qui est essentiel pour nous.
La conjoncture est inédite puisque c’est le premier exemple historique d’une crise économique décidée par les pouvoirs publics !
Ceux-ci ont à cœur de réfléchir et proposer des mesures concrètes pour relancer l’économie et revenir à l’essentiel.
Le système repose sur l’illusion que les peuples vont rembourser les dettes accumulées par les États (2.400 milliards d’euros pour les Français).
Les politiques qui nous gouvernent, les mêmes qui ont été placés là où ils sont avec le soutien des financiers, vont nous solliciter pour que tout reprenne comme avant : il vont tout faire pour maintenir coûte que coûte le système pourri à flot.
Répéter en boucle que les Français sont préoccupés de leur pouvoir d’achat est un peu le minimum syndical des candidats…
N’oublions jamais que les États peuvent faire faillite. Nous avons l’exemple terrifiant du Liban…
Si on suit le socialiste Gleyze, il faudrait doubler l’impôt sur le revenu ou confisquer la part des retraites au-dessus de 1.500 euros par mois. Est-ce cela, la justice sociale ? Nous aurions affaire, plutôt, à un vol qualifié.
Il faut sans doute à la France un plan de redressement économique et financier à court terme dont les effets immédiats permettent de maintenir l’emploi et les revenus et de booster le moral des acteurs./
Il n’y a que des inconscients, style Mélenchon, pour croire que tout va se terminer pour le mieux en France par une dette perpétuelle dans un monde où, demain, on rasera gratis.
Nous sommes déjà sortis de la récession, précise Tim Wallace, du Telegraph, en parlant du Royaume-Uni.
Pourquoi ne pas vendre progressivement la nue-propriété des œuvres d’art et des monuments historiques ?
J’ai lu les 150 propositions de cette Convention : les trois verbes les plus employés sont « interdire », « obliger » et « taxer ».
« En ce moment, les entreprises sont en suspension, mais cela, ça va s’arrêter et l’on va se retrouver dans une situation très compliquée. »
En 1931, l’Allemagne, alors sous le régime de Weimar, avait enregistrée une récession de 12 % qui avait plongé le pays dans une crise économique et sociale dramatique.
Cette épidémie n’est qu’un déclencheur de l’effondrement du système.
Que la dette monte jusqu’à 124 % du PIB avant de se stabiliser est l’un des scénarios les plus probables.
Il est heureux que nous nous réapproprions nos vies en prenant le temps d’analyser ce qui est essentiel pour nous.
La conjoncture est inédite puisque c’est le premier exemple historique d’une crise économique décidée par les pouvoirs publics !
Ceux-ci ont à cœur de réfléchir et proposer des mesures concrètes pour relancer l’économie et revenir à l’essentiel.
Le système repose sur l’illusion que les peuples vont rembourser les dettes accumulées par les États (2.400 milliards d’euros pour les Français).
Les politiques qui nous gouvernent, les mêmes qui ont été placés là où ils sont avec le soutien des financiers, vont nous solliciter pour que tout reprenne comme avant : il vont tout faire pour maintenir coûte que coûte le système pourri à flot.