Cyril Hanouna
Reçue jeudi dernier, 18 février, par l’immense artiste Cyril Hanouna (qu’on ne présente plus), Isabelle Balkany s’est prêtée au jeu de l’interview-confession.
Tout cela donne une assez juste idée de ce qu’est devenue la profession de journaliste.
Jean-Marie Bigard, dans tous les cas, de quelque manière qu’on le juge, est bien plus que Bigard.
À ce massacre imaginaire des Français dont Camélia Jordana accusait la police en aura succédé un autre, bien réel, celui-là. Celui de la dignité politique.
On dit que l’élection présidentielle au suffrage universel est la rencontre d’un homme (ou d’une femme, bien sûr) et d’un peuple. Nous ne sommes pas à l’abri de « belles rencontres »…
Un Hanouna bien au chaud dans son succès et dans son émission, dont la seule audace est de pousser loin l’inélégance, venant donner des leçons à une Zineb et jeter sa pincée odieuse dans le risque qu’elle court !
Il y aura toujours un cancre qui lancera, du fond de la classe, des boulettes en papier en direction des plus studieux pour leur pourrir la vie…
Cette dérive, qui nous vient d’Amérique, est un symptôme supplémentaire du pourrissement de la vie publique.
L’animateur le plus controversé du PAF est, de fait, un occulte conseiller gouvernemental…
Le gouvernement met en scène une grande consultation, qui n’est qu’un vaste enfumage.
Que dire de Laurent Ruquier, si ce n’est qu’il se vautre dans une semblable vulgarité, le vernis culturel en plus ?
La Schiappanouna sera bientôt sur nos écrans. Il paraît que Macron espère ainsi que les gilets jaunes, épuisés, demanderont grâce.
On voudrait croire que c’est une info du Gorafi, une bonne grosse « infox », une poilade XXL.
Il en va, visiblement, de cela comme du reste dans notre pays à deux vitesses : il y a loi et loi.
Dire qu’il y en a encore qui s’étonnent que nos jeunes têtes blondes n’en finissent plus de bouder les médias officiels.
J’avais trouvé la chasse à cet homme outrancière et, à la longue, injuste.
C’est, en tout cas, ce que réclament plus de 6.500 personnes.
Reçue jeudi dernier, 18 février, par l’immense artiste Cyril Hanouna (qu’on ne présente plus), Isabelle Balkany s’est prêtée au jeu de l’interview-confession.
Tout cela donne une assez juste idée de ce qu’est devenue la profession de journaliste.
Jean-Marie Bigard, dans tous les cas, de quelque manière qu’on le juge, est bien plus que Bigard.
À ce massacre imaginaire des Français dont Camélia Jordana accusait la police en aura succédé un autre, bien réel, celui-là. Celui de la dignité politique.
On dit que l’élection présidentielle au suffrage universel est la rencontre d’un homme (ou d’une femme, bien sûr) et d’un peuple. Nous ne sommes pas à l’abri de « belles rencontres »…
Un Hanouna bien au chaud dans son succès et dans son émission, dont la seule audace est de pousser loin l’inélégance, venant donner des leçons à une Zineb et jeter sa pincée odieuse dans le risque qu’elle court !
Il y aura toujours un cancre qui lancera, du fond de la classe, des boulettes en papier en direction des plus studieux pour leur pourrir la vie…
Cette dérive, qui nous vient d’Amérique, est un symptôme supplémentaire du pourrissement de la vie publique.
L’animateur le plus controversé du PAF est, de fait, un occulte conseiller gouvernemental…
Le gouvernement met en scène une grande consultation, qui n’est qu’un vaste enfumage.
Que dire de Laurent Ruquier, si ce n’est qu’il se vautre dans une semblable vulgarité, le vernis culturel en plus ?
La Schiappanouna sera bientôt sur nos écrans. Il paraît que Macron espère ainsi que les gilets jaunes, épuisés, demanderont grâce.
On voudrait croire que c’est une info du Gorafi, une bonne grosse « infox », une poilade XXL.
Il en va, visiblement, de cela comme du reste dans notre pays à deux vitesses : il y a loi et loi.
Dire qu’il y en a encore qui s’étonnent que nos jeunes têtes blondes n’en finissent plus de bouder les médias officiels.
J’avais trouvé la chasse à cet homme outrancière et, à la longue, injuste.
C’est, en tout cas, ce que réclament plus de 6.500 personnes.
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